Décret modifiant la nomenclature annexée à l’article R. 214-1 du code de l’environnement

Consultation du 19/04/2023 au 11/05/2023 - 1592 contributions

Le présent décret modifie l’article R. 214-1 du code de l’environnement de manière à réintroduire la rubrique 3.3.5.0 dans la nomenclature IOTA (installations, ouvrages, travaux et activités ayant une incidence sur l’eau et les milieux aquatiques) qui a fait l’objet d’une annulation par le juge au 1er mars 2023.

La rubrique regroupe les travaux ayant uniquement pour objet la restauration des fonctionnalités naturelles des milieux aquatiques, y compris les ouvrages nécessaires à cet objectif. Les opérations qui relèvent de cette rubrique sont soumises à déclaration, ceci dans un but de simplification des projets de renaturation.

La rubrique est reprise à l’identique à l’exception des éléments ayant conduit à son annulation par le juge. Par conséquent, seuls les travaux de restauration des fonctionnalités naturelles des milieux aquatiques qui ne présentent pas de danger pour la sécurité publique et qui n’accroissent pas notablement le risque d’inondation, sont maintenus dans le champ d’application de la déclaration globale et exclusive au titre de la nouvelle rubrique 3.3.5.0. Ces travaux sont cités directement dans le corps de la rubrique.

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Commentaires

  •  Avis defavorable, le 22 avril 2023 à 01h22
    Ce décret n’a pour finalité que de poursuivre une politique catastrophique de destruction des ouvrages et du patrimoine en rivière. Ces destructions sont une atteinte majeure à l’environnement par leur impact sur les habitats établis. Les résultats après 10 ans de cette politique sont accablants : la Vire ou la Touque ou le Thouet par exemple sont dévastées et les populations aquatiques en chute libre. L’été dernier et son déficit hydrique a offert un spectacle de désolation comme jamais ces rivières n’en avait connu aux endroits précisément ou les ouvrages avaient été détruits. Cette politique de "restauration hydromorphologique" est purement idéologique et ne repose sur aucune base scientifique expérimentale solide. C’est de l’idéologie qui ne s’interroge même pas quand les résultats sont accablants et que les populations sont décimées pour laisser la place souvent aux espèces invasives étrangères. L’Espagne garde 54% de ces eaux douces, l’Italie 27% et la France 4% ! cherchez l’erreur ! quand tout le monde pleure pour la ressource en eau, la France envoie l’eau à la mer !! Mais pourquoi ? on sait pas ! Pourquoi détruire un réseau de réserves d’eau, refuges en période de sècheresse, distribué sur le territoire, agissant localement au bénéfice des niveaux des nappes phréatiques et au rechargement de la nappe alluvionnaire alors que le dérèglement climatique nous invite à la prudence et à la gestion économe de la ressource en eau ? le futur sera sévère pour les responsables de cette l’écologie destructrice et idéologique
  •  Un axe de simplification qui permet la réalisation de jolis projets en faveur des milieux aquatiques, humides et de la biodiversité, le 21 avril 2023 à 23h54
    Cette rubrique permet la mise en oeuvre de projets à unique but environnemental, sachant que certains n’auraient peut-être pas vu le jour s’ils nécessitaient une autorisation environnementale (de par les délais liés à la procédures, les coûts associés, etc.). Les projets sont néanmoins toujours soumis à instruction par les services de l’État concernés, ce qui assure un contrôle et des concertations sur les objectifs, les incidences, les modalités travaux et les interactions concernés par l’aménagement… Redonner cette possibilité d’instruire des initiatives écologiques est bienvenu !
  •  Avis très favorable à la rubrique 3.3.5.0, le 21 avril 2023 à 22h22
    Rubrique facilitant la restauration des cours d’eau par les personnes habilitées et compétentes pour la gestion des milieux aquatiques. Elle permet d’engager rapidement des actions tout en veillant au respect des lois, des usages, de la biodiversité et du milieu en général.
  •  Une rubrique plus que nécessaire , le 21 avril 2023 à 21h27
    Il est indispensable pour permettre la restauration des hydrausystèmes que cette rubrique soit à nouveau appliquée. Elle permettra aux structures Gemapiennes de restaurer au mieu les cours d’eau et les les zones humides et ainsi repondre aux enjeux de l’érosion de la biodiversité et du dérèglement climatique.
  •  Avis défavorable, le 21 avril 2023 à 21h03

    En tant que citoyen d’une rivière comportant de nombreux moulins, étangs et même un lac, je me joindrai si besoin au contentieux contre ce nouveau décret, en particulier tout ce qui menace le patrimoine et le droit démocratique des riverains, donc notamment mes droits.

    - Aucune envie que l’argent public soit dépensé sans publicité et sans contrôle citoyen par des administrations et des syndicats / parc non élus, c’est contraire à la démocratie environnementale, c’est une machien à grands et petits projets inutiles,
    - Aucune envie de détruire des moulins et des barrages alors qu’il y a des urgences autrement plus importantes, y compris pour l’eau (transition agricole qui est l’impact n°1 par les prélèvements et les pesticides, toute la science le dit ; le premier prédicteur de l’état d’une rivière est l’occupation de son lit majeur et bassin versant, absolument pas telle ou telle variation morphologique locale),
    - Aucune envie d’assécher des étangs, des lacs et des plans d’eau pour faire plaisir à quelques pêcheurs extrémistes dont j’observe le comportement et dont la seule obsession est le nombre de truites à pêcher (en outre, pour revenir à des rivières qui sont à sec chaque été, non merci, je préfère garder un peu d’eau),
    - Aucune envie de me voir imposer une vision technocratique de la rivière et de la nature alors que cette question doit relever du débat entre les riverains, pas de diktats de gens enfermés dans un conclave.

    Le ministère de l’écologie ne poursuit pas l’intérêt général ; il multiplie les contradictions, il entretient l’ignorance sur la hiérarchie des impacts, il fait des cadeaux à des lobbies et s’écrase devant les pollueurs (fort avec les faibles, faible devant les forts…).

  •  Je soutiens la réintroduction de la rubrique 3.3.5.0., le 21 avril 2023 à 17h28
    Je soutiens fortement la réintroduction de la rubrique 3.3.5.0. Les procédures d’autorisations sont trop lourdes et lentes alors qu’il est urgent d’intervenir rapidement et simplement pour la restauration de l’hydromorphologie et des fonctionnalités naturelles de nos cours d’eau. On ne pourra pas améliorer la qualité et la quantité de l’eau des milieux aquatiques s’il est plus fastidieux de faire un dossier pour de la restauration que pour une construction impactante sur les milieux De toute manière, dans une logique d’intérêt général de la part des porteurs de projets, des travaux de restauration des fonctionnalités naturelles d’un cours d’eau permettront presque toujours de réguler, d’atténuer et d’étaler la violence des ondes de crues que l’on connait sur nombres de nos bassins versants aujourd’hui. Cependant cela demande d’effectuer ces travaux sur l’ensemble des linéaires et non pas sur de petits secteurs de quelques centaines de mètres ou km selon le cours d’eau, comme c’est malheureusement encore trop souvent le cas, confronté au tout puissant droit de propriété… Il est urgent d’intervenir avant que la majorité de nos rivières et leur faune/flore aient atteint le point de non retour !
  •  Avis très favorable à la réintroduction de la rubrique 3.3.5.0., le 21 avril 2023 à 17h24

    Avis très favorable à la réintroduction de la rubrique 3.3.5.0., le 21 avril 2023 à 16h18
    Bonjour,

    Comme cela a déjà été évoqué dans les commentaires précédents, ces procédures d’autorisations sont lourdes, lentes et souvent onéreuses pour des services publiques (notamment), qui sont censés atteindre des objectifs ambitieux sans vraiment en avoir les moyens.

    Il est urgent que l’on permette à nos agents d’intervenir rapidement et simplement pour la restauration de l’hydromorphologie et des fonctionnalités naturelles de nos cours d’eau. C’est inconcevable d’espérer améliorer la qualité et la quantité de l’eau des milieux aquatiques des territoires Français comme l’annonce l’administration Européenne et Française, s’il est plus fastidieux de faire un dossier pour de la restauration que pour une construction impactante sur le(s) milieu(x) (rappelons d’ailleurs que nous n’avons souvent pas les même moyens financiers, matériels et humains).

    Je soutiens donc pleinement le retour de cette rubrique, tout en soulignant l’importance du travail des DDT qui devront être d’autant plus vigilantes pour contrôler la viabilité des projets vis à vis de la sécurité des personnes et des biens.

    De toute manière, dans une logique d’intérêt général de la part des porteurs de projets, des travaux de restauration des fonctionnalités naturelles d’un cours d’eau permettront presque toujours de réguler, d’atténuer et d’étaler la violence des ondes de crues que l’on connait sur nombres de nos bassins versants aujourd’hui. Cependant cela demande d’effectuer ces travaux sur l’ensemble des linéaires et non pas sur de petits secteurs de quelques centaines de mètres ou km selon le cours d’eau, comme c’est malheureusement encore trop souvent le cas, confronté au tout puissant droit de propriété… Il est urgent d’intervenir avant que la majorité de nos rivières et leur faune/flore aient atteint le point de non retour !

  •  Avis favorable à la réintroduction de la rubrique 3.3.5.0., le 21 avril 2023 à 16h18

    Bonjour,

    Comme cela a déjà été évoqué dans les commentaires précédents, ces procédures d’autorisations sont lourdes, lentes et souvent onéreuses pour des services publiques (notamment), qui sont censés atteindre des objectifs ambitieux sans vraiment en avoir les moyens.

    Il est urgent que l’on permette à nos agents d’intervenir rapidement et simplement pour la restauration de l’hydromorphologie et des fonctionnalités naturelles de nos cours d’eau. C’est inconcevable d’espérer améliorer la qualité et la quantité de l’eau des milieux aquatiques des territoires Français comme l’annonce l’administration Européenne et Française, s’il est plus fastidieux de faire un dossier pour de la restauration que pour une construction impactante sur le(s) milieu(x) (rappelons d’ailleurs que nous n’avons souvent pas les même moyens financiers, matériels et humains).

    Je soutiens donc pleinement le retour de cette rubrique, tout en soulignant l’importance du travail des DDT qui devront être d’autant plus vigilantes pour contrôler la viabilité des projets vis à vis de la sécurité des personnes et des biens.

    De toute manière, dans une logique d’intérêt général de la part des porteurs de projets, des travaux de restauration des fonctionnalités naturelles d’un cours d’eau permettront presque toujours de réguler, d’atténuer et d’étaler la violence des ondes de crues que l’on connait sur nombres de nos bassins versants aujourd’hui. Cependant cela demande d’effectuer ces travaux sur l’ensemble des linéaires et non pas sur de petits secteurs de quelques centaines de mètres ou km selon le cours d’eau, comme c’est malheureusement encore trop souvent le cas, confronté au tout puissant droit de propriété… Il est urgent d’intervenir avant que la majorité de nos rivières et leur faune/flore aient atteint le point de non retour !

  •  Avis très favorable, le 21 avril 2023 à 16h01
    Les restaurations des rivières et des zones humides sont très longues à mettre en oeuvre déjà compte tenu de la contraintes foncières. Il y a énormément de dossiers qui n’ont pas d’impact sur la sécurité des biens et des personnes et qui ne concerne en rien des moulins. Ces projets sont plus que pertinent dans un contexte de changement climatique. Il faut absolument les favorisés en permettant de simplifié les démarches pour les projets qui sont sans impact.
  •  Favorable, le 21 avril 2023 à 15h04
    Indispensable pour atteindre les objectifs de restauration des milieux aquatiques (réduction des impacts dérèglement climatique, adaptation, solutions fondés sur la nature…) et objectifs qualité de l’eau. Cette rubrique doit s’accompagner de plus de terrains par les agents de l’état pour accompagner les techniciens bassins versants dans le respect de la réglementation.
  •  Avis très favorable, le 21 avril 2023 à 14h55
    Cette rubrique est nécessaire et essentielle pour la restauration des cours d’eau secondaires. Ceux-ci sont délaissés dès qu’il est nécessaire de rentrer dans le cadre d’un dossier d’autorisation, car le coût est trop important alors que ces cours d’eau sont essentiels au bon équilibre écologique. Sans cette rubrique, le milieu ne pourra pas être restauré comme il se doit.
  •  Avis très favorable, le 21 avril 2023 à 14h28
    La réintégration de cette rubrique dans la nomenclature "loi sur l’eau" permettra de simplifier le cadre administratif relatif à la mise en œuvre de projets de restauration des milieux aquatiques. Il semble en effet aberrant que les projets d’amélioration des fonctionnalités naturelles des cours d’eau et des zones humides soient encore soumis au mêmes contraintes réglementaires en termes de protection de l’environnement que les projets d’aménagement portant atteinte aux milieux aquatiques. Cela n’autorise pas pour autant les porteurs de ces projets à "faire n’importe quoi" comme veulent le faire croire les détracteurs de cette rubrique, et ces projets continueront d’être instruits par les services de l’État dans un souci de ne pas porter atteinte à l’environnement.
  •  avis extrêmement FAVORABLE, le 21 avril 2023 à 14h24
    C’est une absolue nécessité de pouvoir simplifier les démarches allant dans le sens de la restauration des écosystèmes aquatiques. Les procédures trop lourdes sont clairement un frein aux initiatives et sont en parfaites contradiction avec l’urgence et l’ampleur de la tâche. Un exemple : je travail actuellement sur l’accompagnement d’une commune pour une candidature à l’appel à projet "renaturation des villes et des villages" de l’AELB. La structure Gémapienne du territoire n’a ni priorisé ce secteur du territoire, ni budgétisé ce projet. La DIG qui couvre leurs actions n’est pas délégable à la commune. Sans la modification de la nomenclature, il faudrait repasser par une procédure d’autorisation avec toutes les dépenses supplémentaires, les lourdeurs administratives (enquête publique…) et le temps additionnel d’instruction. Ce n’est clairement pas compatible ! l’ambition affichée dans l’atteinte des objectifs DCE passe obligatoirement par une simplification des procédures.
  •  Favorable, le 21 avril 2023 à 14h22
    La simplification des procédures pour les travaux de restauration écologique des milieux aquatiques est un très bon signal ; les travaux de ce type ont des effets positifs sur le fonctionnement des milieux naturels et leur biodiversité, mais également des répercussions favorables sur les problématiques qualitatives et quantitatives.
  •  Avis favorable, le 21 avril 2023 à 14h18
    Ces travaux sont essentiels face à l’état des lieux de nos masse d’eau. Il y a urgence !
  •  Amendements au projet de nouvelle rubrique 3.3.5.0 (forme, fond), le 21 avril 2023 à 14h18

    Amendements proposés :

    1° Arasement ou dérasement d’ouvrages en lit mineur de cours d’eau ou canaux, à l’exclusion des barrages classés au titre de l’article R.214-112 ;
    5° Mise en dérivation ou suppression de plans d’eau ;
    6° Reprofilage améliorant les fonctionnalités naturelles ou revégétalisation de berges en lit mineur de cours d’eau ou canaux ;
    7° Reméandrage ou restauration d’une géométrie plus fonctionnelle du lit mineur de cours d’eau ;
    8° Reconstitution du matelas alluvial du lit mineur de cours d’eau ou canaux ;
    9° Remise à ciel ouvert du lit mineur de cours d’eau ou canaux couverts ;
    10° Restauration de zones naturelles d’expansion des crues en lit majeur de cours d’eau ou canaux ;
    SUPPRESSION des 11° et 12°

    Motifs des amendements proposés :
    a) Coller aux termes techniques des autres rubriques de la nomenclature (canaux/cours d’eau, lit majeur/lit mineur, étang/plan d’eau) ;
    b) Simplifier la nouvelle rubrique : la mention des opérations de restauration des fonctionnalités naturelles des milieux aquatiques prévues aux 11° et 12° n’emportent aucune plus-value opérationnelle, dès lors que si elles comprennent des opérations présentant des caractéristiques mentionnées aux 1° à 10°, elles bénéficieront de la simplification administrative en découlant pour leur réalisation… et qu’il n’est pas démontré (notamment par un retour d’expérience au regard de l’application de ces mêmes dispositions entre 2020 et 2023, à notre connaissance non mobilisée et inexistante) que ces références 11° à 12° soient utiles et nécessaires : si ces opérations ne comportent pas des actions entrant dans le champ d’application des 1° à 10°, elles seront soient extérieures à la nomenclature IOTA, soit devront faire l’objet d’une instruction classique.

    Sous toutes réserves

    nb : une évolution de l’application informatique utilisée par le MTE pour la consultation du public serait souhaitable, afin de i) pouvoir déposer des observations en mentionnant a minima des mots en italique, gras et/ou surligné, ii) pouvoir rectifier ses observations après 1ère prévisualisation et actualiser dans la foulée la 1ère prévisualisation (avant publication de la déposition), sans être piégé par un onglet préalable proposant la fermeture ou le maintien de la page (obligeant à sélectionner "maintien de la page", puis à réenclencher "prévisualisation", pour obtenir la prise en compte de l’actualisation des observations modifiées, avant publication finale).

  •  Avis très favorable, le 21 avril 2023 à 14h13
    Le rétablissement de cette rubrique est nécessaire pour pouvoir agir et permettre aux milieux aquatiques de retrouver un fonctionnement le plus naturel possible : remise du cours d’eau dans son fond de vallée là où historiquement il coulait, reconnexions lit mineure/lit majeur, zones humides reconnectées, champs d’expansion de crue rétablie, biodiversité sauvegardée, …. . Ceci concourra à l’atteinte des objectifs du bon état écologique des masses d’eau fixés par la loi et dont les échéances sont sans cesse repoussées, tout en permettant une meilleure résilience des milieux (humains et naturels) face aux changements climatiques.
  •  Avis favorable à la rubrique, le 21 avril 2023 à 14h11
    Il est temps de décadenasser la réglementation en matière de travaux vertueux des milieux aquatiques. Les maîtres d’ouvrages publics, avec l’appuie de l’administration, ne devraient plus en 2023 être contraints de devoir justifier de l’adéquation de leurs travaux avec les textes issus de la déclinaison française de la DCE. Dans le contexte actuel de changement climatique et de son adaptation, de la destruction organisée des zones humides et de l’artificialisation incontrôlée, les projets (toujours) reconnus par Arrêté Préfectoral comme étant d’Intérêt Général devraient avoir un boulevard pour leur réalisation. Aujourd’hui, il est plus simple de détruire que de restaurer, il est temps que la tendance s’inverse.
  •  Avis favorable, le 21 avril 2023 à 14h05
    Ce texte permettrait de faciliter les projets qui sont misent en place pour répondre a une volonté Européenne et Française visant à améliorer la continuité écologique, Par ailleurs ces projets sont montés par des structure compétentes avec l’aide de partenaires techniques et de bureau d’étude, la surcharge d’administratif (autorisation au lieu de déclaration) n’engendre généralement que peu d’améliorations notables du projet initial mais alourdi les projets, les délais et les volontés.
  •  Avis très favorable, le 21 avril 2023 à 12h57
    Ce décret est indispensable pour faciliter les démarches favorables d’un point de vue environnemental…. A ce jour, il est tout aussi complexe (et chronophage) de réaliser des travaux négatifs pour l’environnement en cours d’eau que de réaliser des actions de restauration écologique. Comment peut-on en être encore là, à l’heure des grands annonces présidentielles. On ne peut attendre ce décret qu’avec grande impatience !

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