Consultation publique sur la démarche d’étude d’impact selon l’approche équilibrée de l’aéroport de Paris - Charles-de-Gaulle

Consultation du 23/12/2024 au 18/03/2025 - 2367 contributions

Contexte
L’aéroport de Paris-CDG est situé sur 3 départements : Le Val d’Oise, la Seine-et-Marne et la Seine-Saint-Denis.

En 2023, il est le 1er aéroport de l’union européenne en termes de passagers et de tonnage de fret et le 10ème aéroport mondial pour le trafic passagers.

Il occupe par ailleurs une place singulière et centrale parmi les aéroports français puisqu’il représente, en France métropolitaine, plus d’1/3 du trafic passagers et plus de 80% du fret avionné.

Du fait de l’orientation des deux doublets de piste et des vents dominants, les zones les plus touchées par le bruit de l’aéroport sont des zones particulièrement peuplées du territoire du département du Val d’Oise. Ainsi, 90 % de la population comprise dans la carte stratégique de bruit du PPBE en vigueur est sur le territoire du Val d’Oise.

La plateforme est d’ores et déjà soumise à un certain nombre de restrictions afin de limiter les nuisances environnementales. Elles datent pour la plupart de 2003 :

- Applicables 24h/24

  • Interdiction des aéronefs de chapitre 2
  • Interdiction des aéronefs de chapitre 3 avec une marge cumulée < 5 EPNdB

- Applicable sur la plage de nuit (22h – 06h) : Interdiction des aéronefs de chapitre 3 avec une marge cumulée < 10 EPNdB

- Applicables sur le "cœur de nuit"

  • 00h30 – 05h30 : Interdiction des arrivées avec niveau de bruit certifié à l’approche > 104,5 EPNdB
  • 00h00 – 05h00 : Interdiction des départs avec niveau de bruit certifié en survol > 99 EPNdB
    Sur le cœur de nuit s’applique également un plafonnement des créneaux horaires de 00h00 à 05h30.

Malgré ces restrictions, il convient d’étudier les moyens de diminuer la forte gêne sonore.
Ainsi, afin d’améliorer la situation environnementale autour de l’aéroport dans le respect de la réglementation (Règlement (UE) n° 598/2014 du Parlement européen et du Conseil du 16 avril 2014 relatif à l’établissement de règles et de procédures concernant l’introduction de restrictions d’exploitation liées au bruit dans les aéroports de l’Union, dans le cadre d’une approche équilibrée, et abrogeant la directive 2002/30/CE), une étude d’impact selon l’approche équilibrée (EIAE) a été lancée sur Paris-CDG, sous l’autorité du préfet du Val d’Oise.

L’état d’avancement de la démarche a été présenté, lors d’une réunion à la préfecture du Val d’Oise le 17 décembre 2024, à différentes parties prenantes, membres de la commission consultative de l’environnement (CCE) de la plateforme aéroportuaire, représentants des entreprises et élus.

Lors de cette réunion, les objectifs de réduction de bruit ont été exposés. Ils s’entendent avec un intervalle de tolérance de 5 points (± 5 %), à la hausse comme à la baisse, compte-tenu de la précision des modèles retenus, à savoir :

  • Sur la journée complète : par rapport à 2019, réduire d’un tiers la population fortement gênée mesurée par l’indicateur HA55. L’objectif de réduction de bruit sera considéré comme atteint si la diminution de l’indicateur HA55 est comprise dans l’intervalle [-28% à -38%].
  • Sur la nuit (22h-06h) : par rapport à 2019, réduire de moitié la population fortement perturbée dans son sommeil mesurée par l’indicateur HSD50. L’objectif de réduction de bruit sera considéré comme atteint si la diminution de l’indicateur HSD50 est comprise dans l’intervalle [-45% à -55%].

La projection du trafic à horizon 2030, incorporant le recours aux mesures des trois premiers piliers mentionnés dans le règlement 598/2014 sans nouvelle restriction d’exploitation, montre que l’amélioration des performances acoustiques des flottes et la prise en compte de mesures opérationnelles optimisées ne suffisent pas à atteindre les objectifs de réduction de bruit.

1. Objet de la consultation du public
Compte tenu de l’avancement de l’EIAE, il convient désormais de bâtir des scénarios de restriction basés sur une amélioration accélérée des performances acoustiques des avions opérant sur la plateforme d’ici le 1er janvier 2030.

Aussi il est proposé aux participants d’apporter leurs contributions au regard des questions suivantes :

  • concernant les mesures du 3ème pilier, voyez-vous d’autres mesures opérationnelles qui pourraient être ajoutées et permettraient de réduire davantage les nuisances sonores ?
  • concernant les mesures de restriction à retenir pour favoriser une accélération du renouvellement des flottes d’avions opérant sur l’aéroport,
    * Faut-il mettre en place une restriction sur les avions de marge acoustique cumulée <11 EPNdB ?
    * Faut-il mettre en place une restriction sur les avions de marge acoustique <12 EPNdB ?
    * Faut-il mettre en place une restriction sur les avions de marge acoustique <13 EPNdB ?
    * Faut-il mettre en place une restriction sur les avions de marge acoustique <14 EPNdB ?
    * Faut-il mettre en place une restriction sur les avions de marge acoustique <15 EPNdB ?
    * Faut-il mettre en place une restriction sur les avions de marge acoustique <16 EPNdB ?
    * Faut-il mettre en place une restriction sur les avions de marge acoustique <17 EPNdB ?
    * Cette restriction sur les performances acoustiques des avions en deçà d’une certaine marge acoustique doit-elle s’appliquer sur toute la journée ? Sur la nuit ? Sur une plage horaire particulière ?
    * Faut-il mettre en place une restriction sur les niveaux de bruit certifiés à l’approche ?
    Sur quelle plage horaire ?
    À quel niveau entre 104,5 EPNdB (situation actuelle sur le coeur de nuit) et 97 EPNdB ?
    * Faut-il mettre en place une restriction sur les niveaux de bruit certifiés en survol ?
    Sur quelle plage horaire ?
    À quel niveau entre 99 EPNdB (situation actuelle sur le coeur de nuit) et 90 EPNdB ?

2. Consultations et étapes suivantes
Cette consultation vise à mieux apprécier la capacité des compagnies aériennes à satisfaire les nouvelles mesures opérationnelles envisagées et à recueillir les observations des parties prenantes sur ces nouvelles mesures opérationnelles.

Elle vise également à bien calibrer les différents types de restrictions visant à inciter les compagnies à accélérer l’amélioration de leur flotte, afin d’atteindre l’objectif de réduction de bruit.

Cette consultation durera 2 mois. Elle fera l’objet d’une synthèse qui sera publiée sur ce site, avec l’ensemble des contributions reçues.

Elle pourra conduire à l’élaboration de scénarios de restrictions dont les conséquences sur le bruit seront évaluées ainsi que le rapport coût-efficacité.

A l’issue de ces travaux, un rapport de synthèse de l’étude d’impact de l’approche équilibrée sera transmis par le préfet du Val-d’Oise aux ministères chargés des transports et de la transition écologique.

Si l’autorité réglementaire envisage des mesures de restriction d’exploitation, ces dernières seront elles-mêmes soumises à un processus de consultation, durant au moins 3 mois, conformément aux dispositions de l’article 6 du règlement (UE) n° 598/2014.

Le texte sera, en parallèle, présenté aux membres de CCE de l’aéroport, pour avis.

Le projet d’arrêté, éventuellement modifié pour tenir compte des consultations, pourra ensuite être transmis pour avis à l’ACNUSA puis à la Commission européenne.

La ou les restrictions d’exploitation, qui seront éventuellement envisagées, entreront en vigueur après application du délai de prévenance prévu à l’article 8.1 du règlement (UE) n° 598/2014.

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Commentaires

  •  Restrictions pour accélérer le renouvellement des flottes d’avions, le 18 mars 2025 à 15h55

    Je vis à proximité immédiate de l’aéroport, et chaque nuit est un véritable supplice. Dès que la nuit tombe, le bruit incessant des avions envahit mon domicile, rendant le sommeil totalement impossible. En participant à cette consultation, j’espère que mes remarques, ainsi que celles de nombreux autres riverains, seront enfin prises en compte.

    Propositions pour atténuer les nuisances sonores
    Il est urgent d’introduire des mesures supplémentaires pour réduire ces nuisances :
    • Généralisation de la descente continue et douce 24h/24 : Bien que des efforts aient été faits, cette technique devrait être appliquée en continu, sans distinction entre jour et nuit. Elle permettrait de limiter le bruit dès le début de la descente et changerait considérablement la situation pour nous, riverains, particulièrement affectés par les bruits nocturnes.
    • Répartition plus équitable du trafic aérien : Plutôt que de concentrer les vols sur une zone déjà saturée, une distribution plus équilibrée du trafic aérien soulagerait certaines zones particulièrement exposées au bruit.

    Restrictions pour accélérer le renouvellement des flottes d’avions
    D’après l’avis d’ADVOCNAR, il est essentiel de limiter l’utilisation des avions les plus bruyants pour favoriser leur remplacement rapide.
    • Restriction des avions à faible marge acoustique : Plutôt que de multiplier les seuils de bruit (11, 12, 13, 14, 15 ou 16 EPNdB), il serait plus efficace de fixer un seuil unique à 17 EPNdB. Retirer de l’exploitation les avions qui ne respectent pas ce seuil limiterait considérablement les nuisances sonores, surtout la nuit.
    • Application des restrictions en continu : Ces mesures doivent être appliquées 24h/24, en priorité la nuit, lorsque le bruit est le plus dérangeant et nuit profondément à notre sommeil et à notre santé.

    Révision des niveaux de bruit certifiés
    Il est également nécessaire de revoir les seuils de bruit certifiés :
    • À l’approche : Actuellement, les niveaux de bruit peuvent atteindre jusqu’à 104,5 EPNdB en pleine nuit, ce qui est inacceptable. Il serait préférable d’abaisser ce seuil à 97 EPNdB dès 2025 et de le maintenir en permanence.
    • En survol : Pour les zones survolées, un seuil de 90 EPNdB est nécessaire, appliqué tout au long de la journée et de la nuit.

    En tant que citoyen, mais surtout en tant que riverain épuisé par ces nuisances, je demande la mise en place de mesures concrètes et urgentes pour protéger la santé des habitants. Il est grand temps que nos préoccupations soient entendues et que ces mesures – la généralisation de la descente continue, la restriction des avions à marge acoustique inférieure à 17 EPNdB, et la réduction des seuils de bruit à 97 EPNdB pour l’approche et 90 EPNdB pour le survol – soient appliquées sans délai, jour et nuit, avec une priorité pour la nuit. Seules des actions fermes et continues permettront de retrouver la tranquillité et le repos dans nos quartiers.

    Chaque nuit, je suis réveillé plusieurs fois par le bruit des moteurs et le sifflement des avions qui passent à basse altitude. Ce bruit perturbe non seulement mon sommeil, mais affecte également ma santé et celle de ma famille. Je me réveille souvent épuisé, sans énergie pour commencer la journée. Ce stress constant a également des effets sur ma concentration au travail et sur mon bien-être général. Nous sommes nombreux à ne plus supporter cette situation.

    La densité du trafic aérien continue d’augmenter, et nous en subissons directement les conséquences. Les troubles du sommeil, l’hypertension et les maladies cardiovasculaires ne sont plus des risques hypothétiques, mais une réalité quotidienne pour les habitants des zones survolées. Les solutions techniques comme l’optimisation des trajectoires de vol ou la descente continue sont utiles, mais elles ne suffisent pas. Tant que le volume global du trafic aérien n’est pas maîtrisé, nous continuerons à souffrir de ces nuisances. Je déplore que ces mesures nécessaires n’aient pas fait l’objet d’une consultation publique, car elles sont essentielles pour mettre fin à notre souffrance.

    Je propose donc les mesures suivantes :
    • Plafonnement du nombre de vols : Limiter le nombre de vols pour éviter d’aggraver encore nos conditions de vie.
    • Couvre-feu strict entre 22h00 et 06h00 : Garantir notre droit à un sommeil réparateur.
    • Véritable concertation avec les riverains : Veiller à ce que nos voix soient entendues dans les décisions qui affectent directement notre quotidien.

    Vivre sous les avions de Roissy, c’est subir en permanence un bruit constant, des vibrations et un sentiment d’impuissance face à une politique qui privilégie l’expansion du trafic aérien sans tenir compte de notre santé. Il est grand temps que les autorités prennent des décisions courageuses et équilibrées pour protéger les populations locales. Notre qualité de vie ne doit plus être sacrifiée pour les seuls impératifs économiques du secteur aérien.

    Je vous remercie de bien vouloir prendre en compte notre expérience et nos besoins pour un avenir plus calme et plus sain.

  •  Citoyen riverain d’Orly, en solidarité, le 18 mars 2025 à 15h53
    - 1 Plafonner à 440 000 mouvements d’avions par an (au lieu des 505 000 mouvements atteints en 2019).
    - 2 Plafonner les vols nocturnes à 30 000 mouvements d’avions entre 22h et 6h en 2025 puis réduction progressive des vols de nuit pour un couvre-feu.
    - 3 Retirer de la circulation les avions bruyants de marge inférieure à 17 EPNdB de jour comme de nuit dès 2025.
  •  Harcelés constamment , le 18 mars 2025 à 15h51
    Dr Héric Franck Viguié Comme tous les habitants du Val d’Oise, mon épouse et moi subissons le harcèlement des nombreux vols aériens au-dessus de nos têtes. Le plafonnement des vols promis à 440.000 passages par an n’a apparemment pas été respecté. Même chose pour le plafonnement des vols nocturnes limité à 30 000 mouvements d’avions entre 22h et 6h en 2025 puis une réduction progressive des vols de nuit pour un couvre-feu. De même était prévu, sans résultat actuellement, le retrait des avions bruyants de marge inférieure à 17 EPNdB de jour comme de nuit dès 2025. Au total, de jour et de nuit nous sommes harcelés constamment par la pollution sonore et écologique (émission de déchets pétroliers). Nous soutenons les 3 mesures portées par l’ADVOCNAR, les associations et de nombreux élus :
    - Plafonnement à 440 000 mouvements d’avions par an (au lieu des 505 000 mouvements atteints en 2019).
    - Plafonnement des vols nocturnes à 30 000 mouvements d’avions entre 22h et 6h en 2025 puis réduction progressive des vols de nuit pour un couvre-feu.
    - Retrait des avions bruyants de marge inférieure à 17 EPNdB de jour comme de nuit dès 2025.
  •  Restriction des avions à faible marge acoustique !! , le 18 mars 2025 à 15h49

    Je vis à proximité immédiate de l’aéroport et chaque nuit est un véritable calvaire. Dès que la nuit tombe, le bruit incessant des avions envahit ma maison, rendant le sommeil impossible. En participant à cette consultation, je souhaite que mes remarques, ainsi que celles de nombreux autres riverains, soient enfin prises en compte.

    Propositions pour réduire les nuisances sonores
    Il est urgent de mettre en œuvre des mesures supplémentaires pour atténuer ces nuisances :
    • Généralisation de la descente continue et douce 24h/24 : Bien que des efforts aient été fournis, cette technique devrait être systématiquement appliquée, sans distinction entre le jour et la nuit. Elle permettrait de réduire le bruit dès le début de la descente et améliorerait considérablement la situation pour les riverains, en particulier la nuit.
    • Répartition plus équilibrée du trafic aérien : Plutôt que de concentrer le trafic aérien sur une zone déjà saturée, une répartition plus équitable des vols permettrait de soulager certaines zones particulièrement exposées au bruit.

    Restrictions pour favoriser le renouvellement des flottes d’avions
    D’après l’avis d’ADVOCNAR, il est crucial de limiter l’utilisation des avions les plus bruyants pour accélérer leur remplacement.
    • Restriction des avions à faible marge acoustique : Plutôt que de multiplier les seuils de bruit (11, 12, 13, 14, 15 ou 16 EPNdB), il serait plus pertinent d’imposer un seuil unique de 17 EPNdB. Retirer de l’exploitation les avions dépassant ce seuil limiterait les nuisances sonores, notamment la nuit.
    • Application continue de ces restrictions : Ces mesures doivent être appliquées en permanence, en particulier la nuit, lorsque le bruit devient le plus dérangeant et nuit à la qualité de notre sommeil et de notre santé.

    Révision des niveaux de bruit certifiés
    Il est également nécessaire de réviser les seuils de bruit certifiés :
    • À l’approche : Actuellement, les niveaux de bruit peuvent atteindre 104,5 EPNdB en pleine nuit, ce qui est inacceptable. Il serait judicieux de réduire ce seuil à 97 EPNdB dès 2025 et de le maintenir en permanence.
    • En survol : Pour les zones survolées, un seuil de 90 EPNdB serait indispensable, appliqué 24h/24.

    En tant que citoyen, mais surtout en tant que riverain fatigué par ces nuisances, je demande l’adoption de mesures concrètes et urgentes pour protéger la santé des habitants. Il est grand temps que nos voix soient entendues et que ces mesures – la généralisation de la descente continue, la restriction des avions à marge acoustique inférieure à 17 EPNdB, ainsi que la réduction des seuils de bruit à 97 EPNdB pour l’approche et 90 EPNdB pour le survol – soient mises en place sans délai, de jour comme de nuit, avec une priorité pour la nuit. Seules des actions fermes et continues pourront restaurer la tranquillité dans nos quartiers.

    Chaque nuit, je suis réveillé à plusieurs reprises par le bruit des moteurs et le sifflement des avions qui passent à basse altitude. Ce bruit perturbe mon sommeil et nuit à ma santé ainsi qu’à celle de ma famille. Je me réveille souvent épuisé, sans énergie pour attaquer la journée. Cette situation génère un stress permanent qui affecte également ma concentration au travail et mon bien-être général. Nous sommes nombreux à ne plus supporter cette situation.

    La densité du trafic aérien ne cesse d’augmenter, et nous en ressentons directement les effets. Les troubles du sommeil, l’hypertension et les maladies cardiovasculaires ne sont plus des risques hypothétiques, mais une réalité quotidienne pour les habitants des zones survolées. Les solutions techniques, comme l’optimisation des trajectoires de vol ou la descente continue, sont utiles, mais elles ne suffisent pas. Tant que le volume global du trafic aérien n’est pas maîtrisé, nous continuerons à subir ces nuisances. Je déplore que ces mesures indispensables ne soient pas soumises à une consultation publique, car elles sont essentielles pour mettre fin à notre souffrance.

    Je propose donc les mesures suivantes :
    • Plafonnement du nombre de vols : Limiter le nombre de vols pour éviter d’aggraver davantage nos conditions de vie.
    • Couvre-feu strict entre 22h00 et 06h00 : Protéger notre droit à un sommeil réparateur.
    • Vraie concertation avec les riverains : S’assurer que nos voix soient entendues dans les décisions qui impactent directement notre quotidien.

    Vivre sous les avions de Roissy signifie subir un bruit constant, des vibrations et une sensation d’impuissance face à une politique qui privilégie l’expansion du trafic aérien sans prendre en compte notre santé. Il est grand temps que les autorités prennent des décisions équilibrées et courageuses pour protéger les populations locales. Notre qualité de vie ne doit plus être sacrifiée pour des impératifs économiques du secteur aérien.

    Je vous remercie de tenir compte de notre expérience et de nos besoins pour un avenir plus calme et plus sain.

  •  Chaque nuit, je suis réveillé à plusieurs reprises par le bruit des moteurs et le sifflement des avions qui passent à basse altitude., le 18 mars 2025 à 15h47

    Je vis à proximité immédiate de l’aéroport, et chaque nuit devient un véritable calvaire. Dès la tombée de la nuit, le bruit constant des avions envahit mon domicile, rendant impossible un sommeil réparateur. En participant à cette consultation, j’espère que mes propos, ainsi que ceux de nombreux autres riverains, pourront enfin être entendus.

    Mesures complémentaires pour réduire les nuisances sonores
    Il est urgent d’introduire des mesures supplémentaires pour limiter ces nuisances :
    • Généralisation de la descente continue et douce 24h/24 : Bien que des efforts aient été réalisés, cette technique devrait être appliquée de façon continue, sans distinction entre jour et nuit. Elle permettrait de réduire le bruit dès le début de la descente, ce qui changerait considérablement la situation pour nous, riverains, particulièrement affectés par le bruit nocturne.
    • Répartition plus équilibrée du trafic aérien : Au lieu de concentrer les vols sur une zone déjà saturée, une répartition plus équitable permettrait de réduire la pression sonore sur certaines zones plus exposées.

    Restrictions sur les avions pour accélérer le renouvellement des flottes
    D’après l’avis d’ADVOCNAR, il est crucial de restreindre l’utilisation des avions les plus bruyants pour favoriser leur remplacement rapide.
    • Restriction des avions à faible marge acoustique : Plutôt que de multiplier les seuils (11, 12, 13, 14, 15 ou 16 EPNdB), un seuil unique de 17 EPNdB semble plus pertinent. Retirer de l’exploitation les avions dont la marge acoustique est inférieure à ce seuil permettrait de limiter les nuisances sonores, surtout nocturnes.
    • Application continue des restrictions : Ces restrictions devraient être appliquées 24h/24, en priorité la nuit, lorsque le bruit est le plus insupportable et nuit gravement à notre sommeil et à notre santé.

    Réduction des niveaux de bruit certifiés
    Il est également essentiel de revoir les niveaux de bruit certifiés :
    • À l’approche : Actuellement, les niveaux de bruit atteignent 104,5 EPNdB en pleine nuit, ce qui est inacceptable. Je propose d’abaisser ce seuil à 97 EPNdB dès 2025 et de l’appliquer de manière continue.
    • En survol : Pour les zones survolées, un seuil de 90 EPNdB est indispensable, appliqué 24h/24.

    En tant que citoyen, mais surtout en tant que riverain épuisé par ces nuisances, je demande l’adoption de mesures concrètes et immédiates pour protéger la santé des habitants. Il est grand temps que nos voix soient prises en compte et que ces mesures – la généralisation de la descente continue, la restriction des avions à marge acoustique inférieure à 17 EPNdB, et la réduction des seuils de bruit à 97 EPNdB pour l’approche et 90 EPNdB pour le survol – soient mises en place sans délai, de jour comme de nuit, avec une priorité la nuit. Seule une action rapide et durable pourra restaurer la tranquillité et le repos dans nos quartiers.

    Chaque nuit, je suis réveillé plusieurs fois par le bruit des moteurs et le sifflement des avions qui passent à basse altitude. Cette situation perturbe non seulement mon sommeil, mais affecte également ma santé et celle de ma famille. Je me réveille souvent épuisé, sans énergie pour la journée. Ce stress permanent nuit à ma concentration au travail et à mon bien-être. Nous sommes nombreux à ne plus supporter cette situation.

    La densité du trafic aérien continue d’augmenter, et nous en subissons directement les effets. Les troubles du sommeil, l’hypertension et les maladies cardiovasculaires ne sont plus des risques hypothétiques mais une réalité quotidienne pour nous, habitants des zones survolées. Les solutions techniques, comme l’optimisation des trajectoires de vol et la descente continue, sont utiles, mais insuffisantes. Tant que le volume global du trafic aérien n’est pas contrôlé, nous continuerons à souffrir de ces nuisances. Je regrette que ces mesures nécessaires ne soient pas soumises à une consultation publique, car elles sont cruciales pour mettre fin à notre calvaire.

    Je propose donc les mesures suivantes :
    • Plafonnement du nombre de vols : Limiter le nombre de vols pour éviter de dégrader encore nos conditions de vie.
    • Couvre-feu strict entre 22h00 et 06h00 : Garantir notre droit à un sommeil réparateur.
    • Concertation avec les riverains : Assurer que nos voix soient prises en compte dans les décisions qui impactent directement notre quotidien.

    Vivre sous les avions de Roissy, c’est endurer un bruit constant, des vibrations et un sentiment d’impuissance face à une politique qui privilégie l’expansion du trafic aérien sans tenir compte de notre santé. Il est temps que les autorités prennent des décisions courageuses et équilibrées pour protéger les populations locales. Notre qualité de vie ne doit plus être sacrifiée au seul profit des intérêts économiques du secteur aérien.

    Je vous remercie de prendre en considération nos besoins et notre expérience pour un avenir plus calme et plus sain.

  •  stop aux avions bruiants , le 18 mars 2025 à 15h46

    Je vis à proximité immédiate de l’aéroport, et chaque nuit est un véritable calvaire. Dès que la nuit tombe, le vacarme des avions envahit mon domicile, rendant impossible tout sommeil réparateur. Je participe à cette consultation dans l’espoir que mes propos, ainsi que ceux de nombreux autres riverains, puissent enfin avoir un impact réel.

    Mesures complémentaires pour limiter les nuisances sonores
    À mon avis, il est urgent de mettre en place des mesures supplémentaires pour réduire ces nuisances :
    • Généralisation de la descente continue et douce 24h/24 : Bien que des efforts aient été faits, cette technique doit être appliquée en continu, de jour comme de nuit. Elle permettrait de réduire le bruit dès le début de la descente, un véritable changement pour nous, riverains, qui subissons particulièrement le bruit nocturne.
    • Répartition plus équilibrée du trafic aérien : Plutôt que de concentrer les vols sur une zone déjà saturée, il serait pertinent de répartir le trafic de manière plus équitable. Cela allégerait la pression sonore sur certaines zones particulièrement exposées.

    Restrictions sur les avions pour accélérer le renouvellement des flottes
    D’après l’avis d’ADVOCNAR, il est crucial de restreindre l’usage des avions les plus bruyants pour favoriser leur remplacement rapide.
    • Restriction des avions à faible marge acoustique : Plutôt que de multiplier les seuils de bruit (11, 12, 13, 14, 15 ou 16 EPNdB), il serait plus pertinent de fixer un seuil unique : retirer de l’exploitation les avions dont la marge acoustique est inférieure à 17 EPNdB. Ce sont souvent ces appareils qui génèrent les nuisances les plus importantes, de jour comme de nuit.
    • Application continue de ces restrictions : Ces mesures doivent s’appliquer 24h/24, en particulier la nuit, lorsque le bruit devient particulièrement insupportable et nuit à notre sommeil et à notre santé.

    Réduction des niveaux de bruit certifiés
    Il est également nécessaire de réviser les niveaux de bruit certifiés :
    • À l’approche : Actuellement, les niveaux de bruit peuvent atteindre jusqu’à 104,5 EPNdB en pleine nuit, ce qui est intolérable. Il serait souhaitable d’abaisser ce seuil à 97 EPNdB dès 2025, avec une application continue.
    • En survol : Pour les zones survolées, il est impératif de fixer un seuil de 90 EPNdB, à appliquer de manière continue.

    En tant que citoyen, mais surtout en tant que riverain épuisé par ces nuisances, je demande vivement l’adoption de mesures concrètes et immédiates pour protéger la santé des habitants. Il est grand temps que nos voix soient entendues et que ces mesures – la généralisation de la descente continue, la restriction des avions à marge acoustique inférieure à 17 EPNdB et la réduction des seuils de bruit à 97 EPNdB pour l’approche et 90 EPNdB pour le survol – soient appliquées sans délai, de jour comme de nuit, avec une priorité particulière la nuit. Seule une action forte et continue pourra restaurer la tranquillité et le repos dans nos quartiers.

    Chaque nuit, je suis réveillé à plusieurs reprises par le bruit des moteurs et le sifflement des avions qui passent à basse altitude. Ce bruit perturbe non seulement mon sommeil, mais affecte également ma santé et celle de ma famille. Au réveil, je me sens constamment fatigué, sans énergie pour affronter la journée. Ce stress permanent a des conséquences sur ma concentration au travail et sur mon bien-être général. Nous sommes nombreux à en avoir assez de cette situation.

    La densité du trafic aérien continue d’augmenter, et nous en subissons directement les effets. Les troubles du sommeil, l’hypertension et les maladies cardiovasculaires ne sont plus des risques hypothétiques mais des réalités quotidiennes pour nous, habitants des zones survolées. Les solutions techniques, comme l’optimisation des trajectoires de vol et la descente continue, sont des avancées, mais elles sont insuffisantes. Tant que le volume global du trafic aérien n’est pas maîtrisé, nous continuerons à subir ces nuisances. Je regrette que ces mesures n’aient pas été soumises à une consultation publique, car elles sont essentielles pour mettre fin à notre calvaire.

    Je propose donc les mesures suivantes, qui me semblent indispensables :
    • Plafonnement du nombre de vols : Limiter le nombre de vols à un niveau qui ne détériore pas davantage nos conditions de vie.
    • Couvre-feu strict entre 22h00 et 06h00 : Garantir notre droit à un sommeil réparateur.
    • Concertation véritable avec les riverains : Assurer que nos voix soient prises en compte dans les décisions qui impactent directement notre quotidien.

    Vivre sous les avions de Roissy signifie subir un bruit constant, des vibrations et une sensation d’impuissance face à une politique favorisant l’expansion du trafic aérien sans considération pour notre santé. Il est temps que les autorités prennent des décisions courageuses et équilibrées pour protéger les populations locales. Notre qualité de vie ne peut plus être sacrifiée au profit des seuls impératifs économiques du secteur aérien.

    Je vous remercie de prendre en compte notre vécu et nos besoins pour un avenir plus calme et plus sain.

  •  Baisser les émissions carbone du secteur aérien en limitant le trafic aura un impact positif sur les riverains de l’aéroport Charles de Gaulle, le 18 mars 2025 à 15h44
    Il est absolument indispensable de réduire le trafic aérien pour obéir à la SNBC 2 en cours de révision pour respecter les accord de Paris. Les émissions du transport aérien a augmenté en 2023 (+16% https://www.citepa.org/emissions-de-gaz-a-effet-de-serre-en-france-nouvelle-estimation-lannee-2023-avec-les-donnees-secten-du-citepa/) alors que les autres modes de transport ont baissé. D’autre part nos taxes sur le transport aérien sont insuffisantes : https://www.transportenvironment.org/te-france/articles/taxe-sur-les-billets-davion-la-france-tres-en-retard-par-rapport-a-lallemagne-et-au-royaume-uni. Merci donc de faire les choix indispensables pour réduire l’impact du trafic aérien sur nos émissions carbone, ce qui de fait aura un impact positif sur les nuisances faites aux riverains (moins de vols).
  •  Voici mes réponses à la consultation , le 18 mars 2025 à 15h44

    Je vis à proximité immédiate de l’aéroport et chaque nuit est un calvaire. J’ai l’impression que dès que l’obscurité tombe, c’est le vacarme des avions qui envahit mon foyer, empêchant tout sommeil réparateur. Je participe à cette consultation en espérant que mes paroles – et celles de tant d’autres riverains – porteront enfin leurs fruits.
    Mesures complémentaires du 3ème pilier
    À mon avis, il est urgent d’ajouter quelques mesures opérationnelles pour réduire ces nuisances :
    • Généralisation de la descente continue/douce 24h/24 : Actuellement, même si des efforts existent, il faut que cette technique soit appliquée en continu, sans distinction entre jour et nuit. Ce mode d’approche permettrait de limiter le bruit dès le début de la descente et, franchement, ça changerait la donne pour nous, qui subissons le vacarme nocturne.
    • Répartition équilibrée du trafic aérien : Plutôt que de concentrer les vols sur une zone déjà saturée, une répartition plus équitable aiderait à réduire la pression sonore sur certaines zones particulièrement exposées.
    Restrictions sur les avions pour favoriser le renouvellement des flottes
    D’après ce que je comprends et ce que propose l’avis ADVOCNAR, il est essentiel de restreindre l’emploi des avions les plus bruyants pour accélérer leur remplacement.
    • Restriction sur les avions de marge acoustique : Plutôt que de multiplier les seuils (11, 12, 13, 14, 15 ou 16 EPNdB), il semble pertinent de fixer un seuil unique : retirer de l’exploitation les avions dont la marge acoustique est inférieure à 17 EPNdB. Pour nous, riverains, c’est une mesure indispensable, car ce sont souvent ces appareils qui génèrent le plus de nuisance sonore, que ce soit le jour ou la nuit.
    • Application continue : Ces restrictions doivent s’appliquer 24h/24, en priorité la nuit, car c’est là que le bruit devient insupportable et que nos vies, nos repos et notre santé en pâtissent.
    Restrictions sur les niveaux de bruit certifiés
    Pour compléter ces mesures, il faut également agir sur les niveaux certifiés de bruit :
    • À l’approche : La situation actuelle, avec des niveaux atteignant jusqu’à 104,5 EPNdB en pleine nuit, est intolérable. Je préconise que le seuil soit abaissé à 97 EPNdB dès 2025, et que cette restriction soit appliquée en continu.
    • En survol : Pour les zones survolées, fixer un seuil de 90 EPNdB me paraît indispensable, encore une fois appliqué 24h/24

    En tant que citoyen mais surtout, riverain épuisé par ces nuisances, j’appelle vivement à l’adoption de mesures concrètes et immédiates pour protéger la santé des riverains. Il est temps que nos voix soient entendues et que ces restrictions – la généralisation de la descente continue, la restriction des avions de marge acoustique inférieure à 17 EPNdB et la baisse des seuils de bruit certifiés à 97 EPNdB (approche) et 90 EPNdB (survol) – soient mises en œuvre sans délai, jour comme nuit, même priorité à la nuite. Seule une action ferme et continue pourra redonner à nos quartiers le calme et le repos que nous méritons.
    Chaque nuit, je suis réveillé plusieurs fois par le grondement des moteurs et le sifflement des avions qui passent à basse altitude. Cela affecte non seulement mon sommeil, mais aussi ma santé et celle de ma famille. Je me retrouve souvent fatigué au réveil, sans énergie pour affronter la journée. Ce stress permanent a même des répercussions sur ma concentration au travail et sur mon bien-être général. Nous sommes nombreux à en avoir assez de vivre ainsi,
    La densité du trafic aérien continue d’augmenter, et je constate directement les effets de cette croissance incontrôlée. Les troubles du sommeil, l’hypertension et les maladies cardiovasculaires ne sont plus des risques hypothétiques, mais une réalité quotidienne pour nous, habitants des zones survolées.
    Les solutions techniques proposées, comme l’optimisation des trajectoires de vol et la descente continue, sont des avancées nécessaires mais insuffisantes. Tant que le volume global de trafic n’est pas maîtrisé, nous continuerons à subir ces nuisances. Je demande donc l’application de mesures fortes, que je regrette ne pas voir soumises à consultation publique, or seul ces mesures peuvent s’avérer réellement efficace pour mettre fin à notre calvaire, soit :
    • Un plafonnement du nombre de vols à un niveau qui ne détériore pas davantage nos conditions de vie.
    • Un couvre-feu strict entre 22h00 et 06h00 pour garantir notre droit au sommeil
    • Une véritable concertation avec les habitants afin que nos voix soient prises en compte dans les décisions qui impactent directement notre quotidien.
    Vivre sous les avions de Roissy signifie endurer un bruit constant, des vibrations, et un sentiment d’impuissance face à une politique qui favorise l’expansion du trafic aérien sans considération pour notre santé. Il est temps que les autorités prennent des décisions courageuses et équilibrées pour protéger les populations locales. Notre qualité de vie ne peut plus être sacrifiée aux seuls impératifs économiques du secteur aérien.
    Merci de prendre en compte notre vécu et nos besoins pour un avenir plus silencieux et plus sain.

  •  Mme BONHOMME Jacqueline, le 18 mars 2025 à 15h43

    Plafonner ROISSY à la baisse !

    Je demande :

    Le plafonnement à 440 000 mouvements d’avions par an (au lieu des 505 000 mouvements atteints en 2019).
    La limitation des vols nocturnes à 30 000 mouvements d’avions entre 22h et 6h en 2025 puis réduction progressive des vols de nuit pour un couvre-feu.
    Le retrait des avions bruyants de marge inférieure à 17 EPNdB de jour comme de nuit dès 2025.

    Priorité à la santé des riverains avant le business !!!

  •  Contribution-STOP AUX NUISANCES AERIENNES , le 18 mars 2025 à 15h41

    Je m’appelle XXX je vis à proximité immédiate de l’aéroport et chaque nuit est un calvaire. J’ai l’impression que dès que l’obscurité tombe, c’est le vacarme des avions qui envahit mon foyer, empêchant tout sommeil réparateur. Je participe à cette consultation en espérant que mes paroles – et celles de tant d’autres riverains – porteront enfin leurs fruits.
    Mesures complémentaires du 3ème pilier
    À mon avis, il est urgent d’ajouter quelques mesures opérationnelles pour réduire ces nuisances :
    • Généralisation de la descente continue/douce 24h/24 : Actuellement, même si des efforts existent, il faut que cette technique soit appliquée en continu, sans distinction entre jour et nuit. Ce mode d’approche permettrait de limiter le bruit dès le début de la descente et, franchement, ça changerait la donne pour nous, qui subissons le vacarme nocturne.
    • Répartition équilibrée du trafic aérien : Plutôt que de concentrer les vols sur une zone déjà saturée, une répartition plus équitable aiderait à réduire la pression sonore sur certaines zones particulièrement exposées.
    Restrictions sur les avions pour favoriser le renouvellement des flottes
    D’après ce que je comprends et ce que propose l’avis ADVOCNAR, il est essentiel de restreindre l’emploi des avions les plus bruyants pour accélérer leur remplacement.
    • Restriction sur les avions de marge acoustique : Plutôt que de multiplier les seuils (11, 12, 13, 14, 15 ou 16 EPNdB), il semble pertinent de fixer un seuil unique : retirer de l’exploitation les avions dont la marge acoustique est inférieure à 17 EPNdB. Pour nous, riverains, c’est une mesure indispensable, car ce sont souvent ces appareils qui génèrent le plus de nuisance sonore, que ce soit le jour ou la nuit.
    • Application continue : Ces restrictions doivent s’appliquer 24h/24, en priorité la nuit, car c’est là que le bruit devient insupportable et que nos vies, nos repos et notre santé en pâtissent.
    Restrictions sur les niveaux de bruit certifiés
    Pour compléter ces mesures, il faut également agir sur les niveaux certifiés de bruit :
    • À l’approche : La situation actuelle, avec des niveaux atteignant jusqu’à 104,5 EPNdB en pleine nuit, est intolérable. Je préconise que le seuil soit abaissé à 97 EPNdB dès 2025, et que cette restriction soit appliquée en continu.
    • En survol : Pour les zones survolées, fixer un seuil de 90 EPNdB me paraît indispensable, encore une fois appliqué 24h/24

    En tant que citoyen mais surtout, riverain épuisé par ces nuisances, j’appelle vivement à l’adoption de mesures concrètes et immédiates pour protéger la santé des riverains. Il est temps que nos voix soient entendues et que ces restrictions – la généralisation de la descente continue, la restriction des avions de marge acoustique inférieure à 17 EPNdB et la baisse des seuils de bruit certifiés à 97 EPNdB (approche) et 90 EPNdB (survol) – soient mises en œuvre sans délai, jour comme nuit, même priorité à la nuite. Seule une action ferme et continue pourra redonner à nos quartiers le calme et le repos que nous méritons.
    Chaque nuit, je suis réveillé plusieurs fois par le grondement des moteurs et le sifflement des avions qui passent à basse altitude. Cela affecte non seulement mon sommeil, mais aussi ma santé et celle de ma famille. Je me retrouve souvent fatigué au réveil, sans énergie pour affronter la journée. Ce stress permanent a même des répercussions sur ma concentration au travail et sur mon bien-être général. Nous sommes nombreux à en avoir assez de vivre ainsi,
    La densité du trafic aérien continue d’augmenter, et je constate directement les effets de cette croissance incontrôlée. Les troubles du sommeil, l’hypertension et les maladies cardiovasculaires ne sont plus des risques hypothétiques, mais une réalité quotidienne pour nous, habitants des zones survolées.
    Les solutions techniques proposées, comme l’optimisation des trajectoires de vol et la descente continue, sont des avancées nécessaires mais insuffisantes. Tant que le volume global de trafic n’est pas maîtrisé, nous continuerons à subir ces nuisances. Je demande donc l’application de mesures fortes, que je regrette ne pas voir soumises à consultation publique, or seul ces mesures peuvent s’avérer réellement efficace pour mettre fin à notre calvaire, soit :
    • Un plafonnement du nombre de vols à un niveau qui ne détériore pas davantage nos conditions de vie.
    • Un couvre-feu strict entre 22h00 et 06h00 pour garantir notre droit au sommeil
    • Une véritable concertation avec les habitants afin que nos voix soient prises en compte dans les décisions qui impactent directement notre quotidien.
    Vivre sous les avions de Roissy signifie endurer un bruit constant, des vibrations, et un sentiment d’impuissance face à une politique qui favorise l’expansion du trafic aérien sans considération pour notre santé. Il est temps que les autorités prennent des décisions courageuses et équilibrées pour protéger les populations locales. Notre qualité de vie ne peut plus être sacrifiée aux seuls impératifs économiques du secteur aérien.
    Merci de prendre en compte notre vécu et nos besoins pour un avenir plus silencieux et plus sain.

  •  limitation du traffic aérien , le 18 mars 2025 à 15h39

    Bonjour,

    Comme beaucoup d’habitants de l’Oise, nous souhaitons aussi une limitation du traffic aérien de Paris-Charles de Gaulle. Les vols sont incessants.

  •  NON à l’augmentation du trafic aérien à Roissy., le 18 mars 2025 à 15h39
    Je suis concernée par les nuisances aériennes, habitant dans le couloir d’atterrissage des avions de Roissy et, par conséquent, je m’oppose à l’augmentation du trafic. 1 avion toutes les 2mn c’est déjà insupportable. Lorsque les fenêtres sont ouvertes, on ne s’entend plus dans la maison. Ca impacte ma santé, car je suis énervée de devoir subir ces désagréments chaque jour. Sans parler de l’air que nous respirons après chaque dégazage. C’est invivable pour des millions d’habitants !
  •  Mme BONHOMME Jacqueline, le 18 mars 2025 à 15h37

    Plafonner ROISSY à la baisse !

    Je demande :

    Le plafonnement à 440 000 mouvements d’avions par an (au lieu des 505 000 mouvements atteints en 2019).
    La limitation des vols nocturnes à 30 000 mouvements d’avions entre 22h et 6h en 2025 puis réduction progressive des vols de nuit pour un couvre-feu.
    Le retrait des avions bruyants de marge inférieure à 17 EPNdB de jour comme de nuit dès 2025.

  •  trop de nuisances : il est temps d’agir, le 18 mars 2025 à 15h27
    J’habite à Sarcelles Village et le bruit incessant des avions est tel qu’en été il est parfois impossible de déjeuner dehors. A quoi bon avoir un jardin? Sans parler du bruit des avions pendant la nuit… Je demande comme de nombreux riverains :
    - Un plafonnement du nombre de vols journaliers
    - Un couvre-feu entre 22h et 7h pour que le sommeil ne soit pas perturbé.
    - Une nouvelle étude des trajectoires des avions afin que ces derniers ne passent plus au-dessus des zones les plus peuplées.
    - Une actions déterminée des pouvoirs publics pouvant aller jusqu’à l’interdiction de certains vols afin que les constructeurs et les compagnies aériennes arrivent à faire voler des avions moins bruyants. Je pense qu’il y a des leçons à tirer des expériences menées dans certains pays pour limiter les nuisances aériennes. Il ne faudrait pas que sous prétexte de ne pas gêner l’activité économique, la France soit plus laxiste que les autres pays.
  •  Stop à la croissance du nombre de vols, le 18 mars 2025 à 15h20
    Le réchauffement climatique doit nous faire prendre conscience qu’il n’est plus possible de viser la croissance du trafic aérien. Tous les secteurs doivent le comprendre ! Un plafonnement du nombre de vols est nécessaire.
  •  Vol de nuit, le 18 mars 2025 à 15h19
    Interdire les vols de nuit réduirait le nombre de vol long courrier. L’imiter ses vols perturberait l’économie. De plus les vols de nuit permet plus de flexibilité pour les personnes en horaire décalé.
  •  Interdire vols de nuit à CDG , le 18 mars 2025 à 15h18
    CDG est un hub stratégique : limiter ses vols, c’est affaiblir la France face à la MONDIALISATION.
  •  Les nuisances aériennes représentent un véritable danger pour la population !, le 18 mars 2025 à 15h15

    Les habitants des zones survolées par les avions de Roissy-Charles de Gaulle subissent des nuisances sonores constantes, qui affectent directement leur santé et leur qualité de vie. Depuis des années, le trafic aérien ne cesse d’augmenter, sans qu’aucune mesure significative ne soit prise pour protéger les riverains.

    Nous refusons d’être les victimes silencieuses d’un modèle économique qui privilégie le profit au détriment de notre bien-être. Le bruit des avions ne se limite pas à une simple gêne : il provoque stress, troubles du sommeil, maladies cardiovasculaires et détérioration générale de la qualité de vie. L’inaction des autorités face à ce problème est inacceptable.

    Nous exigeons immédiatement :

    Un plafonnement strict du nombre de vols.
    Un couvre-feu total entre 22h et 6h.
    Une concertation réelle avec les citoyens directement concernés.
    Des études sanitaires approfondies et des actions concrètes pour réduire ces nuisances.
    Les habitants des zones survolées ne doivent plus être sacrifiés sur l’autel de la rentabilité du secteur aérien. Il est temps d’agir.

  •  Limitation du nombre de vols, le 18 mars 2025 à 15h14
    Pour des raisons de respect de nos engagements climatiques et de raréfactions des ressources en énergies fossiles nous devons absolument limiter le nombre d’avions décollant de nos aéroports. Se focaliser sur des aspects techniques liés au bruit ne sera pas suffisant pour résoudre la gêne des riverains, et n’aura pas d’effet du point de vue climatique. La priorité doit être de réduire le nombre de vols, à commencer effectivement par les vols de nuits.
  •  a quand un couvre feu , le 18 mars 2025 à 15h14

    Résidant à proximité de l’aéroport de Roissy-Charles de Gaulle, je subis quotidiennement les nuisances sonores des avions et leurs impacts sur ma santé et ma qualité de vie. Pourtant, la consultation publique sur l’étude d’impact selon l’approche équilibrée (EIAE) ne prend pas en compte les préoccupations majeures des riverains.

    Le trafic aérien incessant, de jour comme de nuit, perturbe mon sommeil, génère du stress et affecte mon bien-être. Les niveaux sonores dépassent largement les seuils recommandés par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), et aucune mesure efficace n’est mise en place pour limiter ces nuisances. Réduire progressivement le nombre d’avions bruyants ne suffit pas : il est impératif de plafonner le trafic aérien et d’instaurer un couvre-feu strict la nuit.

    L’augmentation continue du trafic a un impact direct sur notre quotidien. Depuis 2019, le nombre de personnes touchées par ces nuisances a considérablement augmenté, entraînant des conséquences graves sur la santé : troubles du sommeil, hypertension, maladies cardiovasculaires… Ces risques ne sont plus théoriques, mais une réalité quotidienne pour les habitants des zones survolées.

    Les solutions techniques proposées, telles que l’optimisation des trajectoires de vol et la descente continue, sont certes des avancées, mais elles restent insuffisantes. Tant que le volume global des vols n’est pas maîtrisé, nous continuerons à subir ces désagréments. Il est donc urgent de mettre en place des mesures concrètes :
    • Un plafonnement du nombre de vols pour préserver la qualité de vie des riverains.
    • Un couvre-feu strict entre 22h00 et 06h00 pour garantir un sommeil réparateur.
    • Une véritable concertation avec les habitants, afin que nos préoccupations soient enfin prises en compte.

    Vivre sous les avions de Roissy signifie subir un bruit constant, des vibrations et un sentiment d’impuissance face à une politique qui favorise l’essor du trafic aérien sans considération pour notre santé. Il est temps que les autorités prennent des décisions responsables et équilibrées pour protéger les populations locales. Notre bien-être ne peut plus être sacrifié aux seuls impératifs économiques du secteur aérien.