Consultation publique sur la démarche d’étude d’impact selon l’approche équilibrée de l’aéroport de Paris - Charles-de-Gaulle

Consultation du 23/12/2024 au 18/03/2025 - 2367 contributions

Contexte
L’aéroport de Paris-CDG est situé sur 3 départements : Le Val d’Oise, la Seine-et-Marne et la Seine-Saint-Denis.

En 2023, il est le 1er aéroport de l’union européenne en termes de passagers et de tonnage de fret et le 10ème aéroport mondial pour le trafic passagers.

Il occupe par ailleurs une place singulière et centrale parmi les aéroports français puisqu’il représente, en France métropolitaine, plus d’1/3 du trafic passagers et plus de 80% du fret avionné.

Du fait de l’orientation des deux doublets de piste et des vents dominants, les zones les plus touchées par le bruit de l’aéroport sont des zones particulièrement peuplées du territoire du département du Val d’Oise. Ainsi, 90 % de la population comprise dans la carte stratégique de bruit du PPBE en vigueur est sur le territoire du Val d’Oise.

La plateforme est d’ores et déjà soumise à un certain nombre de restrictions afin de limiter les nuisances environnementales. Elles datent pour la plupart de 2003 :

- Applicables 24h/24

  • Interdiction des aéronefs de chapitre 2
  • Interdiction des aéronefs de chapitre 3 avec une marge cumulée < 5 EPNdB

- Applicable sur la plage de nuit (22h – 06h) : Interdiction des aéronefs de chapitre 3 avec une marge cumulée < 10 EPNdB

- Applicables sur le "cœur de nuit"

  • 00h30 – 05h30 : Interdiction des arrivées avec niveau de bruit certifié à l’approche > 104,5 EPNdB
  • 00h00 – 05h00 : Interdiction des départs avec niveau de bruit certifié en survol > 99 EPNdB
    Sur le cœur de nuit s’applique également un plafonnement des créneaux horaires de 00h00 à 05h30.

Malgré ces restrictions, il convient d’étudier les moyens de diminuer la forte gêne sonore.
Ainsi, afin d’améliorer la situation environnementale autour de l’aéroport dans le respect de la réglementation (Règlement (UE) n° 598/2014 du Parlement européen et du Conseil du 16 avril 2014 relatif à l’établissement de règles et de procédures concernant l’introduction de restrictions d’exploitation liées au bruit dans les aéroports de l’Union, dans le cadre d’une approche équilibrée, et abrogeant la directive 2002/30/CE), une étude d’impact selon l’approche équilibrée (EIAE) a été lancée sur Paris-CDG, sous l’autorité du préfet du Val d’Oise.

L’état d’avancement de la démarche a été présenté, lors d’une réunion à la préfecture du Val d’Oise le 17 décembre 2024, à différentes parties prenantes, membres de la commission consultative de l’environnement (CCE) de la plateforme aéroportuaire, représentants des entreprises et élus.

Lors de cette réunion, les objectifs de réduction de bruit ont été exposés. Ils s’entendent avec un intervalle de tolérance de 5 points (± 5 %), à la hausse comme à la baisse, compte-tenu de la précision des modèles retenus, à savoir :

  • Sur la journée complète : par rapport à 2019, réduire d’un tiers la population fortement gênée mesurée par l’indicateur HA55. L’objectif de réduction de bruit sera considéré comme atteint si la diminution de l’indicateur HA55 est comprise dans l’intervalle [-28% à -38%].
  • Sur la nuit (22h-06h) : par rapport à 2019, réduire de moitié la population fortement perturbée dans son sommeil mesurée par l’indicateur HSD50. L’objectif de réduction de bruit sera considéré comme atteint si la diminution de l’indicateur HSD50 est comprise dans l’intervalle [-45% à -55%].

La projection du trafic à horizon 2030, incorporant le recours aux mesures des trois premiers piliers mentionnés dans le règlement 598/2014 sans nouvelle restriction d’exploitation, montre que l’amélioration des performances acoustiques des flottes et la prise en compte de mesures opérationnelles optimisées ne suffisent pas à atteindre les objectifs de réduction de bruit.

1. Objet de la consultation du public
Compte tenu de l’avancement de l’EIAE, il convient désormais de bâtir des scénarios de restriction basés sur une amélioration accélérée des performances acoustiques des avions opérant sur la plateforme d’ici le 1er janvier 2030.

Aussi il est proposé aux participants d’apporter leurs contributions au regard des questions suivantes :

  • concernant les mesures du 3ème pilier, voyez-vous d’autres mesures opérationnelles qui pourraient être ajoutées et permettraient de réduire davantage les nuisances sonores ?
  • concernant les mesures de restriction à retenir pour favoriser une accélération du renouvellement des flottes d’avions opérant sur l’aéroport,
    * Faut-il mettre en place une restriction sur les avions de marge acoustique cumulée <11 EPNdB ?
    * Faut-il mettre en place une restriction sur les avions de marge acoustique <12 EPNdB ?
    * Faut-il mettre en place une restriction sur les avions de marge acoustique <13 EPNdB ?
    * Faut-il mettre en place une restriction sur les avions de marge acoustique <14 EPNdB ?
    * Faut-il mettre en place une restriction sur les avions de marge acoustique <15 EPNdB ?
    * Faut-il mettre en place une restriction sur les avions de marge acoustique <16 EPNdB ?
    * Faut-il mettre en place une restriction sur les avions de marge acoustique <17 EPNdB ?
    * Cette restriction sur les performances acoustiques des avions en deçà d’une certaine marge acoustique doit-elle s’appliquer sur toute la journée ? Sur la nuit ? Sur une plage horaire particulière ?
    * Faut-il mettre en place une restriction sur les niveaux de bruit certifiés à l’approche ?
    Sur quelle plage horaire ?
    À quel niveau entre 104,5 EPNdB (situation actuelle sur le coeur de nuit) et 97 EPNdB ?
    * Faut-il mettre en place une restriction sur les niveaux de bruit certifiés en survol ?
    Sur quelle plage horaire ?
    À quel niveau entre 99 EPNdB (situation actuelle sur le coeur de nuit) et 90 EPNdB ?

2. Consultations et étapes suivantes
Cette consultation vise à mieux apprécier la capacité des compagnies aériennes à satisfaire les nouvelles mesures opérationnelles envisagées et à recueillir les observations des parties prenantes sur ces nouvelles mesures opérationnelles.

Elle vise également à bien calibrer les différents types de restrictions visant à inciter les compagnies à accélérer l’amélioration de leur flotte, afin d’atteindre l’objectif de réduction de bruit.

Cette consultation durera 2 mois. Elle fera l’objet d’une synthèse qui sera publiée sur ce site, avec l’ensemble des contributions reçues.

Elle pourra conduire à l’élaboration de scénarios de restrictions dont les conséquences sur le bruit seront évaluées ainsi que le rapport coût-efficacité.

A l’issue de ces travaux, un rapport de synthèse de l’étude d’impact de l’approche équilibrée sera transmis par le préfet du Val-d’Oise aux ministères chargés des transports et de la transition écologique.

Si l’autorité réglementaire envisage des mesures de restriction d’exploitation, ces dernières seront elles-mêmes soumises à un processus de consultation, durant au moins 3 mois, conformément aux dispositions de l’article 6 du règlement (UE) n° 598/2014.

Le texte sera, en parallèle, présenté aux membres de CCE de l’aéroport, pour avis.

Le projet d’arrêté, éventuellement modifié pour tenir compte des consultations, pourra ensuite être transmis pour avis à l’ACNUSA puis à la Commission européenne.

La ou les restrictions d’exploitation, qui seront éventuellement envisagées, entreront en vigueur après application du délai de prévenance prévu à l’article 8.1 du règlement (UE) n° 598/2014.

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Commentaires

  •  stop au bruit, le 18 mars 2025 à 17h10

    Je vis à proximité immédiate de l’aéroport et chaque nuit est un véritable calvaire. Dès que la nuit tombe, le bruit incessant des avions envahit ma maison, rendant le sommeil impossible. En participant à cette consultation, je souhaite que mes remarques, ainsi que celles de nombreux autres riverains, soient enfin prises en compte.

    Propositions pour réduire les nuisances sonores
    Il est urgent de mettre en œuvre des mesures supplémentaires pour atténuer ces nuisances :
    • Généralisation de la descente continue et douce 24h/24 : Bien que des efforts aient été fournis, cette technique devrait être systématiquement appliquée, sans distinction entre le jour et la nuit. Elle permettrait de réduire le bruit dès le début de la descente et améliorerait considérablement la situation pour les riverains, en particulier la nuit.
    • Répartition plus équilibrée du trafic aérien : Plutôt que de concentrer le trafic aérien sur une zone déjà saturée, une répartition plus équitable des vols permettrait de soulager certaines zones particulièrement exposées au bruit.

    Restrictions pour favoriser le renouvellement des flottes d’avions
    D’après l’avis d’ADVOCNAR, il est crucial de limiter l’utilisation des avions les plus bruyants pour accélérer leur remplacement.
    • Restriction des avions à faible marge acoustique : Plutôt que de multiplier les seuils de bruit (11, 12, 13, 14, 15 ou 16 EPNdB), il serait plus pertinent d’imposer un seuil unique de 17 EPNdB. Retirer de l’exploitation les avions dépassant ce seuil limiterait les nuisances sonores, notamment la nuit.
    • Application continue de ces restrictions : Ces mesures doivent être appliquées en permanence, en particulier la nuit, lorsque le bruit devient le plus dérangeant et nuit à la qualité de notre sommeil et de notre santé.

    Révision des niveaux de bruit certifiés
    Il est également nécessaire de réviser les seuils de bruit certifiés :
    • À l’approche : Actuellement, les niveaux de bruit peuvent atteindre 104,5 EPNdB en pleine nuit, ce qui est inacceptable. Il serait judicieux de réduire ce seuil à 97 EPNdB dès 2025 et de le maintenir en permanence.
    • En survol : Pour les zones survolées, un seuil de 90 EPNdB serait indispensable, appliqué 24h/24.

    En tant que citoyen, mais surtout en tant que riverain fatigué par ces nuisances, je demande l’adoption de mesures concrètes et urgentes pour protéger la santé des habitants. Il est grand temps que nos voix soient entendues et que ces mesures – la généralisation de la descente continue, la restriction des avions à marge acoustique inférieure à 17 EPNdB, ainsi que la réduction des seuils de bruit à 97 EPNdB pour l’approche et 90 EPNdB pour le survol – soient mises en place sans délai, de jour comme de nuit, avec une priorité pour la nuit. Seules des actions fermes et continues pourront restaurer la tranquillité dans nos quartiers.

    Chaque nuit, je suis réveillé à plusieurs reprises par le bruit des moteurs et le sifflement des avions qui passent à basse altitude. Ce bruit perturbe mon sommeil et nuit à ma santé ainsi qu’à celle de ma famille. Je me réveille souvent épuisé, sans énergie pour attaquer la journée. Cette situation génère un stress permanent qui affecte également ma concentration au travail et mon bien-être général. Nous sommes nombreux à ne plus supporter cette situation.

    La densité du trafic aérien ne cesse d’augmenter, et nous en ressentons directement les effets. Les troubles du sommeil, l’hypertension et les maladies cardiovasculaires ne sont plus des risques hypothétiques, mais une réalité quotidienne pour les habitants des zones survolées. Les solutions techniques, comme l’optimisation des trajectoires de vol ou la descente continue, sont utiles, mais elles ne suffisent pas. Tant que le volume global du trafic aérien n’est pas maîtrisé, nous continuerons à subir ces nuisances. Je déplore que ces mesures indispensables ne soient pas soumises à une consultation publique, car elles sont essentielles pour mettre fin à notre souffrance.

    Je propose donc les mesures suivantes :
    • Plafonnement du nombre de vols : Limiter le nombre de vols pour éviter d’aggraver davantage nos conditions de vie.
    • Couvre-feu strict entre 22h00 et 06h00 : Protéger notre droit à un sommeil réparateur.
    • Vraie concertation avec les riverains : S’assurer que nos voix soient entendues dans les décisions qui impactent directement notre quotidien.

    Vivre sous les avions de Roissy signifie subir un bruit constant, des vibrations et une sensation d’impuissance face à une politique qui privilégie l’expansion du trafic aérien sans prendre en compte notre santé. Il est grand temps que les autorités prennent des décisions équilibrées et courageuses pour protéger les populations locales. Notre qualité de vie ne doit plus être sacrifiée pour des impératifs économiques du secteur aérien.

    Je vous remercie de tenir compte de notre expérience et de nos besoins pour un avenir plus calme et plus sain.

  •  stop, le 18 mars 2025 à 17h08

    Je vis à proximité immédiate de l’aéroport, et chaque nuit est un véritable supplice. Dès que la nuit tombe, le bruit incessant des avions envahit mon domicile, rendant le sommeil totalement impossible. En participant à cette consultation, j’espère que mes remarques, ainsi que celles de nombreux autres riverains, seront enfin prises en compte.

    Propositions pour atténuer les nuisances sonores
    Il est urgent d’introduire des mesures supplémentaires pour réduire ces nuisances :
    • Généralisation de la descente continue et douce 24h/24 : Bien que des efforts aient été faits, cette technique devrait être appliquée en continu, sans distinction entre jour et nuit. Elle permettrait de limiter le bruit dès le début de la descente et changerait considérablement la situation pour nous, riverains, particulièrement affectés par les bruits nocturnes.
    • Répartition plus équitable du trafic aérien : Plutôt que de concentrer les vols sur une zone déjà saturée, une distribution plus équilibrée du trafic aérien soulagerait certaines zones particulièrement exposées au bruit.

    Restrictions pour accélérer le renouvellement des flottes d’avions
    D’après l’avis d’ADVOCNAR, il est essentiel de limiter l’utilisation des avions les plus bruyants pour favoriser leur remplacement rapide.
    • Restriction des avions à faible marge acoustique : Plutôt que de multiplier les seuils de bruit (11, 12, 13, 14, 15 ou 16 EPNdB), il serait plus efficace de fixer un seuil unique à 17 EPNdB. Retirer de l’exploitation les avions qui ne respectent pas ce seuil limiterait considérablement les nuisances sonores, surtout la nuit.
    • Application des restrictions en continu : Ces mesures doivent être appliquées 24h/24, en priorité la nuit, lorsque le bruit est le plus dérangeant et nuit profondément à notre sommeil et à notre santé.

    Révision des niveaux de bruit certifiés
    Il est également nécessaire de revoir les seuils de bruit certifiés :
    • À l’approche : Actuellement, les niveaux de bruit peuvent atteindre jusqu’à 104,5 EPNdB en pleine nuit, ce qui est inacceptable. Il serait préférable d’abaisser ce seuil à 97 EPNdB dès 2025 et de le maintenir en permanence.
    • En survol : Pour les zones survolées, un seuil de 90 EPNdB est nécessaire, appliqué tout au long de la journée et de la nuit.

    En tant que citoyen, mais surtout en tant que riverain épuisé par ces nuisances, je demande la mise en place de mesures concrètes et urgentes pour protéger la santé des habitants. Il est grand temps que nos préoccupations soient entendues et que ces mesures – la généralisation de la descente continue, la restriction des avions à marge acoustique inférieure à 17 EPNdB, et la réduction des seuils de bruit à 97 EPNdB pour l’approche et 90 EPNdB pour le survol – soient appliquées sans délai, jour et nuit, avec une priorité pour la nuit. Seules des actions fermes et continues permettront de retrouver la tranquillité et le repos dans nos quartiers.

    Chaque nuit, je suis réveillé plusieurs fois par le bruit des moteurs et le sifflement des avions qui passent à basse altitude. Ce bruit perturbe non seulement mon sommeil, mais affecte également ma santé et celle de ma famille. Je me réveille souvent épuisé, sans énergie pour commencer la journée. Ce stress constant a également des effets sur ma concentration au travail et sur mon bien-être général. Nous sommes nombreux à ne plus supporter cette situation.

    La densité du trafic aérien continue d’augmenter, et nous en subissons directement les conséquences. Les troubles du sommeil, l’hypertension et les maladies cardiovasculaires ne sont plus des risques hypothétiques, mais une réalité quotidienne pour les habitants des zones survolées. Les solutions techniques comme l’optimisation des trajectoires de vol ou la descente continue sont utiles, mais elles ne suffisent pas. Tant que le volume global du trafic aérien n’est pas maîtrisé, nous continuerons à souffrir de ces nuisances. Je déplore que ces mesures nécessaires n’aient pas fait l’objet d’une consultation publique, car elles sont essentielles pour mettre fin à notre souffrance.

    Je propose donc les mesures suivantes :
    • Plafonnement du nombre de vols : Limiter le nombre de vols pour éviter d’aggraver encore nos conditions de vie.
    • Couvre-feu strict entre 22h00 et 06h00 : Garantir notre droit à un sommeil réparateur.
    • Véritable concertation avec les riverains : Veiller à ce que nos voix soient entendues dans les décisions qui affectent directement notre quotidien.

    Vivre sous les avions de Roissy, c’est subir en permanence un bruit constant, des vibrations et un sentiment d’impuissance face à une politique qui privilégie l’expansion du trafic aérien sans tenir compte de notre santé. Il est grand temps que les autorités prennent des décisions courageuses et équilibrées pour protéger les populations locales. Notre qualité de vie ne doit plus être sacrifiée pour les seuls impératifs économiques du secteur aérien.

    Je vous remercie de bien vouloir prendre en compte notre expérience et nos besoins pour un avenir plus calme et plus sain.

  •  Image de la France et bassin d’emploi, le 18 mars 2025 à 17h06
    L’aéroport est une porte d’entrée internationale vers Paris et la France, apportant des avantages économiques à la région mais aussi un avant goût de la culture française aux voyageurs du monde entier. Imposer des restrictions sévères pourrait nuire à son attractivité, contrairement aux autres aéroports européens, ce qui aurait des répercussions sur l’économie et l’emploi de la région IDF. Afin de limiter l’empreinte carbone, favoriser et soutenir les compagnies ayant une approche écologique en modernisant leur flotte et qui mettent en place des actions concrètes pour limiter (par exemple : réduction des déchets à bord et du poids des matériaux embarqués, utilisation de SAF). Réduire le nombre d’avions bruyants la nuit est une chose à maintenir.
  •  Concilier économie et préservation de la santé , le 18 mars 2025 à 16h57
    La difficulté est de concilier le développement des modes de transport et leur interêt économiquue avec une moindre émission de carbone, le respect de la santé humaine et de la biodiversité. Cette consultation doir être appréhendée en même temps que d’autres modes de transport en particulier le train qui est bien supérieur à l’avion pour beaucoup de trajets. Pour éviter que 500 000 personnes (sur les 13 millions de la Région IDF) soient "sacrifiées" avec plus ou moins d’intensité et plus ou moins d’égards. Les gains en matière réduction du bruit de chaque avion des nouvelles génératins sr anéanti par l’augmentation du nombre de mouvement. Je soutiens dons ces propositions de modération :
    - Période nocturne élargie (22h-06h) période diurne (06h-22h) :
    - Surcoût significatif pour les dépassements autorisés
    - Maintien des restrictions actuelles
    - Incitations financières pour les appareils respectant les nouveaux seuils Ainsi que la poursuite d’une aide rapide et substancielle à l’insonirisation des habitats les plus exposés
  •  VOLS DE NUIT CDG, le 18 mars 2025 à 16h56
    Non à la suppression des vols de nuit à CDG ! Des milliers d’emplois en danger, un coup dur pour l’économie locale. Nos emplois ne doivent pas disparaître dans le silence de la nuit ! Maintenons l’activité aéroportuaire 24h/24.
  •  Réduire le traffic aérien, le 18 mars 2025 à 16h55
    Je demande :
    - Plafonnement à 440 000 mouvements d’avions par an (au lieu des 505 000 mouvements atteints en 2019).
    - Plafonnement des vols nocturnes à 30 000 mouvements d’avions entre 22h et 6h en 2025 puis réduction progressive des vols de nuit pour un couvre-feu.
    - Retrait des avions bruyants de marge inférieure à 17 EPNdB de jour comme de nuit dès 2025. Vincent PHILIPPART
  •  Non à l’extension , le 18 mars 2025 à 16h54
    Non à l’extension de l’aéroport !
  •  Non à la suppression des vols de nuit à CDG, le 18 mars 2025 à 16h52
    CDG tourne 24h/24, car notre monde ne dort jamais. Ne freinons pas la dynamique économique de notre pays. Équilibrons enjeux écologiques et réalité économique, mais ne supprimons pas des milliers d’emplois du jour au lendemain !
  •  Réduire drastiquement les nuisances sonores et les émissions de CO2, le 18 mars 2025 à 16h50
    Je suis en accord complet avec les avis de l’ADVOCNAR :
    - Plafonnement à 440 000 mouvements d’avions par an (au lieu des 505 000 mouvements atteints en 2019).
    - Plafonnement des vols nocturnes à 30 000 mouvements d’avions entre 22h et 6h en 2025 puis réduction progressive des vols de nuit pour un couvre-feu.
    - Retrait des avions bruyants de marge inférieure à 17 EPNdB de jour comme de nuit dès 2025.
  •  Réduire de toute urgence le traffic aérien de Roissy, le 18 mars 2025 à 16h26
    Un plafonnement du traffic aérien à la baisse est absolument nécessaire afin de réduire les impacts climatiques et sanitaires de cet aéroport géant. En effet, les propositions faites sont totalement insuffisantes pour réduire le bruit pour les riverains et, n’auront pas d’impact sur la réduction des gaz à effet de serre dans un contexte de croissance du trafic… Je soutiens les trois mesures portées par l’ADVOCNAR, les associations ainsi que de nombreux élus en demandant un plafonnement à 440 000 mouvements d’avions par an (au lieu des 505 000 mouvements atteints en 2019), un plafonnement des vols nocturnes à 30 000 mouvements d’avions entre 22h et 6h en 2025 et une réduction progressive des vols de nuit pour un couvre-feu. Je souhaite également un retrait des avions bruyants de jour comme de nuit dès à présent.
  •  Propositions insuffisantes pour réduire le bruit, le 18 mars 2025 à 16h26
    concernant les mesures du 3ème pilier, voyez-vous d’autres mesures opérationnelles qui pourraient être ajoutées et permettraient de réduire davantage les nuisances sonores ? OUI DIMINUER LE NOMBRE DE VOLS concernant les mesures de restriction à retenir pour favoriser une accélération du renouvellement des flottes d’avions opérant sur l’aéroport, * Faut-il mettre en place une restriction sur les avions de marge acoustique cumulée <11 EPNdB ? OUI * Faut-il mettre en place une restriction sur les avions de marge acoustique <12 EPNdB ? OUI * Faut-il mettre en place une restriction sur les avions de marge acoustique <13 EPNdB ? OUI * Faut-il mettre en place une restriction sur les avions de marge acoustique <14 EPNdB ? OUI * Faut-il mettre en place une restriction sur les avions de marge acoustique <15 EPNdB ? OUI * Faut-il mettre en place une restriction sur les avions de marge acoustique <16 EPNdB ? OUI * Faut-il mettre en place une restriction sur les avions de marge acoustique <17 EPNdB ? OUI * Cette restriction sur les performances acoustiques des avions en deçà d’une certaine marge acoustique doit-elle s’appliquer sur toute la journée ? Sur la nuit ? Sur une plage horaire particulière ? OUI 24H/24 * Faut-il mettre en place une restriction sur les niveaux de bruit certifiés à l’approche ? Sur quelle plage horaire ? OUI 24H/24 À quel niveau entre 104,5 EPNdB (situation actuelle sur le coeur de nuit) et 97 EPNdB ? 97 EPNdB * Faut-il mettre en place une restriction sur les niveaux de bruit certifiés en survol ? Sur quelle plage horaire ? OUI 24H/24 À quel niveau entre 99 EPNdB (situation actuelle sur le coeur de nuit) et 90 EPNdB ? 90 EPNdB
  •  SANTE, CLIMAT : MEME COMBAT ! , le 18 mars 2025 à 16h25

    La seule façon de faire barrière à la croissance de ROISSY est d’obtenir un plafonnement de son trafic aérien à la baisse, afin de réduire les impacts climatiques et sanitaires de cet aéroport tentaculaire.
    - Plafonnement à 440 000 mouvements d’avions par an (au lieu des 505 000 mouvements atteints en 2019).
    - Plafonnement des vols nocturnes à 30 000 mouvements d’avions entre 22h et 6h en 2025 puis réduction progressive des vols de nuit pour un couvre-feu.
    - Retrait des avions bruyants de marge inférieure à 17 EPNdB de jour comme de nuit dès 2025.
    Les propositions faites sont totalement insuffisantes pour réduire le bruit pour les riverains, et n’auront pas d’impact sur la réduction des gaz à effet de serre dans un contexte de croissance du trafic.

    SANTE, CLIMAT : MEME COMBAT !

    Pour les préserver, IL FAUT PLAFONNER ROISSY A LA BAISSE !

  •  Jean-François PIN - Ecouen, le 18 mars 2025 à 16h23

    Les propositions faites dans le cadre de la consultation publique sont totalement insuffisantes pour réduire le bruit pour les riverains, et n’auront pas d’impact sur la réduction des gaz à effet de serre dans un contexte de croissance du trafic.
    Santé, climat : même combat ! Pour les préserver, il faut plafonner ROISSY à la baisse !
    Je demande :
    -  Le plafonnement à 440 000 mouvements d’avions par an (au lieu des 505 000 mouvements atteints en 2019).
    -  La limitation des vols nocturnes à 20 000 mouvements d’avions entre 22h et 6h en 2025, puis sa réduction progressive des vols de nuit pour atteindre un couvre-feu d’ici 2027.
    -  Le retrait des avions bruyants de marge inférieure à 17 EPNdB de jour comme de nuit dès 2025.


  •  Consultation publique sur la démarche d’étude d’impact selon l’approche équilibrée de l’aéroport de Paris - Charles - De - Gaulle, le 18 mars 2025 à 16h21
    Depuis des dizaines d’années, nous voyons le "Trafique aérien" sans cesse augmenter, et devenir bien plus que catastrophique les règles de bonnes conduite et de protection de la population, sont de moins en moins respecter . On sacrifie la population et l’avenir à leur prétendu "priorité économique" N’est-ce pas là, se jeter dans le gouffre ?
  •  Etude d’impact, le 18 mars 2025 à 16h20
    Je soutiens les mesures préconisées par l’ADVOCNAR.
  •  Vol de nuit, le 18 mars 2025 à 16h19
    Supprimer les vols de nuit (22h-6h) rééquilibrer l’utilisation des doublets SUD/nords
  •  Commentaires du Département des Transports des États-Unis (DOT), le 18 mars 2025 à 16h18

    Anglais
    On March 18, 2025, the U.S. Department of Transportation (DOT) wrote to the Préfet of the Department of the Val D’Oise in response to the Public Consultation on the Balanced Approach Impact Assessment at Paris Charles de Gaulle Airport (CDG). In its communication, DOT thanked the Department of the Val d’Oise for applying the Balanced Approach at Paris CDG in a transparent manner and underscored the need to ensure that any action to mitigate noise at Paris CDG be consistent with the provisions of the 2007 U.S.-EU Air Transport Agreement, as amended. DOT further asserted that certain essential elements of a complete Balanced Approach procedure appeared to be missing from the CDG Balanced Approach process, including information on 1) how the noise levels at Paris CDG were assessed, 2) how the noise abatement targets were established, and 3) which noise-mitigating measures have already been implemented and are being considered.

    In response to the question on whether restrictions should be adopted to speed up the renewal of aircraft fleets operating at the airport, DOT contended that restrictions that penalize carriers with aircraft with a cumulative noise margin above a certain level may undermine the ability of those carriers to compete in the market instead of incentivizing fleet renewal.

    Français
    Le 18 mars 2025, le Département des Transports des États-Unis (DOT) a écrit au Préfet du Val d’Oise en réponse à la consultation publique sur l’étude d’impact de l’approche équilibrée à l’aéroport Paris-Charles-de-Gaulle (CDG). Dans sa communication, le DOT a remercié le Département du Val d’Oise pour l’application transparente de l’approche équilibrée à Paris CDG et a souligné la nécessité de garantir que toute mesure visant à atténuer le bruit à Paris CDG soit conforme aux dispositions de l’accord de transport aérien entre les États-Unis et l’Union européenne de 2007, tel que modifié. Le DOT a a également affirmé que certains éléments essentiels d’une procédure d’approche équilibrée complète semblaient manquer du processus d’approche équilibrée de CDG, notamment des informations sur 1) la manière dont les niveaux de bruit à Paris CDG ont été évalués, 2) la manière dont les objectifs de réduction du bruit ont été fixés et 3) quelles mesures d’atténuation du bruit ont déjà été mises en œuvre et sont à l’étude.

    En réponse à la question de savoir si des restrictions devaient être adoptées pour accélérer le renouvellement des flottes d’avions opérant à l’aéroport, le DOT a soutenu que des restrictions Les mesures qui pénalisent les transporteurs dont les avions ont une marge de bruit cumulée supérieure à un certain niveau peuvent compromettre la capacité de ces transporteurs à être compétitifs sur le marché au lieu d’encourager le renouvellement de la flotte.

  •  Consultation publique sur la démarche d’étude d’impact selon l’approche équilibrée de l’aéroport de Paris - Charles - De - Gaulle, le 18 mars 2025 à 16h18
    Depuis des dizaines d’années, nous voyons le "Trafique aérien" sans cesse augmenter, et devenir bien plus que catastrophique … les règles de bonnes conduite et de protection de la population, sont de moins en moins respecter … On sacrifie la population et l’avenir à leur prétendu "priorité économique" … N’est-ce pas là, se jeter dans le gouffre ?
  •  Augmentation du trafic aérien , démarche d’etude d’impact, le 18 mars 2025 à 16h17
    Ayant lu les contributions, je suis en accord avec les témoignages. Un petit progrès avec une meilleure étude d’impact mais le problème reste entier. Outre la gêne sonore , il est traumatisant , de savoir , tous les jours , sans arrêt , que de tels avions , si lourds passent au dessus des têtes de tant de citoyens , de jeunes et d’enfants, polluent l’atmosphère, perturbent la santé, diminuent notre l’espérance de vie , consomment tant de kérosène etc..
  •  Pour le climat et la santé, limitons le trafic aérien !, le 18 mars 2025 à 16h06
    Je soutiens les revendications suivantes
    - Plafonnement à 440 000 mouvements d’avions par an (au lieu des 505 000 mouvements atteints en 2019).
    - Plafonnement des vols nocturnes à 30 000 mouvements d’avions entre 22h et 6h en 2025 puis réduction progressive des vols de nuit pour un couvre-feu.
    - Retrait des avions bruyants de marge inférieure à 17 EPNdB de jour comme de nuit dès 2025.