Projet d’arrêté modifiant l’arrêté du 21 février 2024 fixant les conditions et limites dans lesquelles des dérogations aux interdictions de destruction peuvent être accordées par les préfets concernant le loup (Canis lupus)

La présente consultation, fondée sur l’article L. 123-19-1 du code de l’environnement, porte sur un projet d’arrêté modifiant l’arrêté du 21 février 2024 fixant les conditions et limites dans lesquelles des dérogations aux interdictions de destruction peuvent être accordées par les préfets concernant le loup (Canis lupus).

Consultation du 22/12/2024 au 17/01/2025 - 11827 contributions

1. Contexte

L’arrêté du 21 février 2024 fixe les conditions et limites dans lesquelles des dérogations aux interdictions de destruction peuvent être accordées par les préfets concernant le loup (Canis lupus). Il établit à ce titre le cadre d’intervention des opérations de tirs ainsi que les conditions et modalités de mise en œuvre de ces opérations.
Il n’existe dans cet arrêté aucune distinction entre les différents types d’élevages (ovins, caprins, bovins, équins). Or, à la différence des ovins et des caprins, il n’existe pas à ce stade de schéma de protection des troupeaux bovins et équins valide techniquement. Du fait de l’absence d’un référentiel de protection ayant fait ses preuves pour ces troupeaux, est apparu le besoin de définir des dispositions particulières pour les bovins et équins en matière de dérogation aux interdictions de destruction, sans reconnaître pour autant une non-protégeabilité générale pour ces troupeaux.
Dans le cadre des opérations de tir définies par ce même arrêté, la prise en charge de la dépouille après un tir effectif est confiée aux seuls agents de l’OFB. Or, du fait des lieux de mise en œuvre des tirs par les louvetiers, parfois en estive difficilement voire non-accessible en véhicule, durant la nuit, des difficultés sont apparues pour conserver et surveiller la dépouille sur place avant son enlèvement par un agent de l’OFB. Une disposition est ainsi introduite pour accorder aux louvetiers la possibilité d’appuyer l’OFB dans la prise en charge de la dépouille.

2. Présentation du projet d’arrêté

L’arrêté modificatif répond notamment à la nécessité d’apporter un cadre adapté aux exploitations d’élevage comportant un troupeau de bovins ou équins soumises à une pression de prédation, en l’absence de schéma de protection techniquement validé pour ce type d’élevage. Il procède également à une modification permettant aux lieutenants de louveterie réalisant un tir de transporter la dépouille jusqu’à l’OFB. Ainsi :

L’article 5 est modifié pour permettre aux lieutenants de louveterie bénéficiaires d’une autorisation de tirs de transporter, suite à un tir effectif, la dépouille d’un loup afin de la remettre à l’OFB, par dérogation à l’article L. 411-1 du code de l’environnement.

À l’article 6, est introduite la possibilité de fonder une décision préfectorale autorisant un tir de défense d’un troupeau bovin ou équin :
-  d’une part, sur une exploitation dont le troupeau bovin ou équin a subi une prédation dans la dernière année, à condition que l’éleveur ait mis en œuvre des moyens de réduction de la vulnérabilité de son troupeau attestés par le préfet (en matière de mode de conduite, de protection, d’effarouchement) ;
-  et, d’autre part, dans des cas de territoires particuliers soumis à un risque avéré de prédation, sur la base :
• d’une analyse territoriale sur la vulnérabilité des exploitations, validée par le préfet coordonnateur, et portant sur un territoire homogène, tant en termes géographiques qu’en termes de productions et de mode de conduite des exploitations.
• d’une justification au cas par cas, auprès du préfet de département, par les demandeurs, de leur situation au regard de cette analyse et des mesures de réduction de la vulnérabilité de leurs troupeaux mises en œuvre face à la prédation lupine.

En cas de réalisation d’une telle analyse territoriale, est introduite l’obligation pour le préfet de département de réaliser :
- un bilan comportant une analyse des mesures de réduction de la vulnérabilité et, le cas échéant, de protection mises en œuvre ;
- une analyse des tirs de défense autorisés et réalisés dans le territoire concerné ;
- le cas échéant, une mise à jour de l’analyse technico-économique territoriale au regard de l’évolution des modes de production et de conduite du troupeau et de l’évolution des connaissances sur les mesures de réduction de la vulnérabilité et de protection.
L’article est également modifié en son I. pour préciser les bénéficiaires potentiels auxquels une dérogation peut être accordée, et ainsi rectifier une approximation de l’arrêté en vigueur.

L’article 13 est modifié en cohérence avec la modification de l’article 6.

L’article 14 est modifié en cohérence avec la modification de l’article 6, en ajoutant une durée maximale d’un an pour les tirs autorisés en défense des troupeaux bovins et équins, sous réserve de satisfaire les mesures de réduction de vulnérabilité décrites à l’article 6.

La consultation est ouverte du 22 décembre 2024 au 17 janvier 2025 inclus.

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Commentaires

  •  contre ce nouveau projet, le 6 janvier 2025 à 16h49
    total opposition à toutes nouvelles mesures visant la destruction du loup…
  •  Avis défavorable, le 6 janvier 2025 à 16h48
    L’humain décrète seul des espèces "nuisibles" juste vis-à-vis de sa fenêtre, de son profit. Le loup a quasi disparu de nos paysages, de la biodiversité française, alors que nos voisins européens arrivent à composer avec le loup. Rappelons le, le loup est également un prédateur naturel essentiel, comme tout prédateur et notamment pour réguler le sanglier. La biodiversité s’est créée avant nos activités massives, avant l’élevage intensif. Il est nécessaire de laisser l’équilibre se rétablir, de réapprendre à vivre tous ensemble, humains, animaux, végétaux, dans le respect.
  •  avis très favorable, le 6 janvier 2025 à 16h48
    il faut soutenir les éleveurs
  •  contre le massacre des loups , le 6 janvier 2025 à 16h48
    Au lieu de tuer les loups systématiquement donner plus de moyen pour protéger les troupeaux , mettre en place des accompagnements pour les éleveurs j’en passe . Ne pas écouter les chasseurs qui disent que le loup fait des dégats dans la faune sauvage ce qui est fau tout au contraire car celui-ci fait son rôle de régulateur naturel. Arrétons de massacrer des cervidés ou des chamois pour le seul seul plaisirs égoiste de certains . Le loup a sa place dans nos alpages ou campagnes mais il faut que nous réapprenions à vivre avec ce grand prédateur . Arrétons d’envoyer un berger pour mille brebis ; stop à tous ces grand troupeaux …
  •  AVIS DEFAVORABLE, le 6 janvier 2025 à 16h47
    L’Etat, soumis au lobby de la chasse, pourrait ainsi constituer une véritable milice pour tuer une espèce protégée et camoufler les lieux de tirs. En effet, si les louvetiers déplacent le cadavre du loup, l’OFB ne peut plus contrôler la légalité du lieu du tir (effectué sur un pâturage bénéficiant bien d’une autorisation de tir, présence d’un troupeau, distance de tir, mesures de protection en œuvre au moment du tir, appât, charnier, etc.). Une telle absence de contrôle est inadmissible puisqu’elle empêche la gestion d’une espèce strictement protégée  ! On ne peut accepter que l’Etat s’affranchisse de ses responsabilités en matière de police de l’environnement en s’en remettant aveuglément à des chasseurs bénévoles, recrutés par les préfectures, dont les véritables motivations et intentions à l’égard du loup sont ouvertement hostiles à cet animal  ! Si cette mesure entre en vigueur, elle aura pour conséquence de rendre légales des pratiques qui étaient illégales. Concernant la soi-disant « non-protégeabilité » des troupeaux, il inadmissible de décréter que certains troupeaux, certains types d’animaux, seraient protégeables et d’autres non. Pour faire passer cette mesure inadmissible, l’Etat va jusqu’à écarter les recommandations et les constats élaborés par ses propres services. Avec ce projet, l’Etat français tente de banaliser les tirs létaux sur des troupeaux non protégés au lieu de recommander qu’ils le soient. De ce fait, dans les zones «  où le risque de prédation est avéré  » des tirs pourront être réalisés près de troupeaux bovins et équins non protégés et n’ayant fait l’objet d’aucune attaque  ! Scandaleux. Il est plus que nécessaire de rappeler au gouvernement que la proportion d’attaques sur des troupeaux non protégés est marginale puisque les bovins et les équins ne représentent que 3,5 % des prédations attribuées au loup (chiffres de la DREAL AuRa de 2022). Il paraît donc invraisemblable d’autoriser la destruction d’une espèce protégée si utile à la préservation de la biodiversité ! Toujours prête à se distinguer dans le pire, rappelons aussi que la France est le seul pays d’Europe à appliquer le concept de «  non-protégeabilité  ». Dans une démarche totalement rétrograde une poignée d’individus ne veut retenir qu’une option : le massacre. C’est non.
  •  Non a ces nouvelles mesures, le 6 janvier 2025 à 16h47
    Il est absolument anormal que les louvetiers puissent déplacer le cadavre d’un loup tué sans que l’OFB soit en mesure de le contrôler. On devrait toujours privilégier la concertation et la recherche de solutions efficaces de protection et de cohabitation entre les espèces. L’état est en train de dépouiller l’OFB de toutes ses prérogatives.
  •  Arrêtez le massacre !, le 6 janvier 2025 à 16h47
    Quand donc comprendrez-vous que plus vous tuez de loups, plus cela les incite à se reproduire ? !! En Italie et en Espagne, rentre autres pays, la cohabitation loups/éleveurs ne pose aucun problème. Mais en France, hélas, ce sont les lobbies qui font loi. Honte à eux et à leurs complices.
  •  Accéder au contenu Accéder au menu Accéder à la recherche Accéder au footer Gouvernement Rechercher Menu Consultations publiques Ministère du Partenariat avec les territoires et de la Décentralisation Ministère de la Transition écologique, de l’Énergie, du Climat et de la Prévention des risques Ministère du Logement et de la Rénovation urbaine Voir le fil d’Ariane Projet d’arrêté modifiant l’arrêté du 21 février 2024 fixant les conditions et limites dans lesquelles des dérogations aux interdictions de destruction peuvent être accordées par les préfets concernant le loup (Canis lupus) Eau et Biodiversité La présente consultation, fondée sur l’article L. 123-19-1 du code de l’environnement, porte sur un projet d’arrêté modifiant l’arrêté du 21 février 2024 fixant les conditions et limites dans lesquelles des dérogations aux interdictions de destruction peuvent être accordées par les préfets concernant le loup (Canis lupus). Consultation du 22/12/2024 au 17/01/2025 - 1127 contributions 1. Contexte L’arrêté du 21 février 2024 fixe les conditions et limites dans lesquelles des dérogations aux interdictions de destruction peuvent être accordées par les préfets concernant le loup (Canis lupus). Il établit à ce titre le cadre d’intervention des opérations de tirs ainsi que les conditions et modalités de mise en œuvre de ces opérations. Il n’existe dans cet arrêté aucune distinction entre les différents types d’élevages (ovins, caprins, bovins, équins). Or, à la différence des ovins et des caprins, il n’existe pas à ce stade de schéma de protection des troupeaux bovins et équins valide techniquement. Du fait de l’absence d’un référentiel de protection ayant fait ses preuves pour ces troupeaux, est apparu le besoin de définir des dispositions particulières pour les bovins et équins en matière de dérogation aux interdictions de destruction, sans reconnaître pour autant une non-protégeabilité générale pour ces troupeaux. Dans le cadre des opérations de tir définies par ce même arrêté, la prise en charge de la dépouille après un tir effectif est confiée aux seuls agents de l’OFB. Or, du fait des lieux de mise en œuvre des tirs par les louvetiers, parfois en estive difficilement voire non-accessible en véhicule, durant la nuit, des difficultés sont apparues pour conserver et surveiller la dépouille sur place avant son enlèvement par un agent de l’OFB. Une disposition est ainsi introduite pour accorder aux louvetiers la possibilité d’appuyer l’OFB dans la prise en charge de la dépouille. 2. Présentation du projet d’arrêté L’arrêté modificatif répond notamment à la nécessité d’apporter un cadre adapté aux exploitations d’élevage comportant un troupeau de bovins ou équins soumises à une pression de prédation, en l’absence de schéma de protection techniquement validé pour ce type d’élevage. Il procède également à une modification permettant aux lieutenants de louveterie réalisant un tir de transporter la dépouille jusqu’à l’OFB. Ainsi : L’article 5 est modifié pour permettre aux lieutenants de louveterie bénéficiaires d’une autorisation de tirs de transporter, suite à un tir effectif, la dépouille d’un loup afin de la remettre à l’OFB, par dérogation à l’article L. 411-1 du code de l’environnement. À l’article 6, est introduite la possibilité de fonder une décision préfectorale autorisant un tir de défense d’un troupeau bovin ou équin : - d’une part, sur une exploitation dont le troupeau bovin ou équin a subi une prédation dans la dernière année, à condition que l’éleveur ait mis en œuvre des moyens de réduction de la vulnérabilité de son troupeau attestés par le préfet (en matière de mode de conduite, de protection, d’effarouchement) ; - et, d’autre part, dans des cas de territoires particuliers soumis à un risque avéré de prédation, sur la base : • d’une analyse territoriale sur la vulnérabilité des exploitations, validée par le préfet coordonnateur, et portant sur un territoire homogène, tant en termes géographiques qu’en termes de productions et de mode de conduite des exploitations. • d’une justification au cas par cas, auprès du préfet de département, par les demandeurs, de leur situation au regard de cette analyse et des mesures de réduction de la vulnérabilité de leurs troupeaux mises en œuvre face à la prédation lupine. En cas de réalisation d’une telle analyse territoriale, est introduite l’obligation pour le préfet de département de réaliser : - un bilan comportant une analyse des mesures de réduction de la vulnérabilité et, le cas échéant, de protection mises en œuvre ; - une analyse des tirs de défense autorisés et réalisés dans le territoire concerné ; - le cas échéant, une mise à jour de l’analyse technico-économique territoriale au regard de l’évolution des modes de production et de conduite du troupeau et de l’évolution des connaissances sur les mesures de réduction de la vulnérabilité et de protection. L’article est également modifié en son I. pour préciser les bénéficiaires potentiels auxquels une dérogation peut être accordée, et ainsi rectifier une approximation de l’arrêté en vigueur. L’article 13 est modifié en cohérence avec la modification de l’article 6. L’article 14 est modifié en cohérence avec la modification de l’article 6, en ajoutant une durée maximale d’un an pour les tirs autorisés en défense des troupeaux bovins et équins, sous réserve de satisfaire les mesures de réduction de vulnérabilité décrites à l’article 6. La consultation est ouverte du 22 décembre 2024 au 17 janvier 2025 inclus. Projet d’arrêté modificatif (pdf - 170.7 ko) texte de presentation (pdf - 156.9 ko) Partager la page Partager sur Facebook Partager sur Twitter Partager sur LinkedIn Partager par email Copier dans le presse-papier Commentaires Déposer votre commentaire 0 | 20 | 40 | 60 | 80 | 100 | 120 | 140 | 160 | … | 1120 Non avis défavorable , le 6 janvier 2025 à 16h40 Non au tir au loup non aux lobbies de chasse Oui à la biodiversité Oui à la régulation des espèces sauvages par le loup avis défavorable, le 6 janvier 2025 à 16h40 Nous avons la chance inouïe que les loups se soient réinstallés chez nous malgré notre incurie écologique, les concessions inadmissibles faites aux chasseurs et aux empoisonneurs des eaux, des rivières, des terres, et pour finir, de la mer. Les loups, les lynxs, les renards et blaireaux doivent être absolument protégés. Je pense que c’est l’avis de la majorité des français, même, et surtout des campagnards. Loup, le 6 janvier 2025 à 16h40 Contre Vive la biodiversité Vive la Vie !! Accéder au contenu Accéder au menu Accéder à la recherche Accéder au footer Gouvernement Rechercher Menu Consultations publiques Ministère du Partenariat avec les territoires et de la Décentralisation Ministère de la Transition écologique, de l’Énergie, du Climat et de la Prévention des risques Ministère du Logement et de la Rénovation urbaine Voir le fil d’Ariane Participation à la consultation Projet d’arrêté modifiant l’arrêté du 21 février 2024 fixant les conditions et limites dans lesquelles des dérogations aux interdictions de destruction peuvent être accordées par les préfets concernant le loup (Canis lupus) Eau et Biodiversité Votre message Tous les champs marqués d’une astérisque (*) sont obligatoires. Titre * Commentaires * Si vous souhaitez conserver une copie de votre participation, vous pouvez renseigner votre adresse électronique afin de la recevoir par courriel. 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Opposition , le 6 janvier 2025 à 16h39 Les tirs de loups sont unanimement critiqués par les scientifiques puisqu’ils désorganisent les meutes et favorisent in fine les attaques. Nous devons collectivement apprendre à vivre avec le vivant avec qui nous partageons le territoire, pas le détruire systématiquement pour nous faciliter la vie. Nous devons collectivement aider les agriculteurs à élever et produire dans cette nouvelle configuration qu’est le retour du loup et qui est inéluctable. Les tirs d’effarouchement doivent être autorisés en cas d’attaque avérée car le loup, en chasseur opportuniste reviendra naturellement si nous ne lui compliquons pas la tâche. Il faut rendre plus simple l’accès et le remboursement des mesures de protection, et de compensation en cas de pertes sur le bétail. Le reste n’est que contre productif et démagogique. Avis défavorable à l’arrêté du 21/2/24 Loup , le 6 janvier 2025 à 16h38 Avis défavorable de l’arrêté du 21/2/24. Je ne comprends pas pourquoi les éleveurs ne surveillent pas leur bêtes sur les montagnes avec leurs chiens comme les Italiens. Toujours la même rengaine tuer le Loup. De plus il va falloir sérieusement réduire la viande vu l’état sanitaire de non concitoyens. Hypertensio, diabète, AVC de plus en plus jeune. Favoriser les fruits frais et légumes frais. Nous avons une variété inouï de trésors végétaux. Le Loup pourra vivre en paix dans nos régions. Les chasseurs sont des incapables depuis le temps qu’ils régulent. C’est surtout du loisir et des trophés. Laissez vivre le Loup ! Avis très défavorable !, le 6 janvier 2025 à 16h38 Que la Terre, la nature et les animaux reçoivent enfin l’amour, la paix et le droit de vivre comme chacun d’entre nous ! Loups, le 6 janvier 2025 à 16h38 Avis défavorable. Laissez vivre les loups. D’autres pays réussissent à protéger les élevages, pourquoi pas la France. Contre ce projet d’arrêté !, le 6 janvier 2025 à 16h38 Les loups n’ont pas à subir la connerie des humains… Loup, le 6 janvier 2025 à 16h37 Opposition totale La cohabitation est nécessaire comme dans les autres pays européens Avis défavorable, le 6 janvier 2025 à 16h37 La biodiversité passe par la présence du loup. Qui êtes vous pour prononcer une peine de mort sur tel ou tel être vivant parce qu’il va à l’encontre de vos intérêts économiques ? On peut tout à fait vivre avec, il suffit de s’en donner les moyens. NON à cette absurde mesure… , le 6 janvier 2025 à 16h37 Les loups ne représentent pas de danger… oui, ce sont des prédateurs, mais des prédateurs nécessaires ! Des études ont montré comment la biodiversité s’épanouit quand on laisse les loups tranquilles ! De plus, l’argument de protection des troupeaux d’élevage ne tient pas. En effet, les bovins et les équins ne représentent que 3,5 % des prédations attribuées au loup (chiffres de la DREAL AuRa de 2022) contre ce nouvel arrêté, le 6 janvier 2025 à 16h36 il faut que la biodiversité existe, d’autres pays y arrivent à vivre avec le loup ! nous comme toujours ils faut tous tuer, détruire et massacrer la faune et la flore pour l’économie. il est temps de penser différemment ! Contre ce projet , le 6 janvier 2025 à 16h36 Le projet d’arrêté est inacceptable. La protection du loup comme celle des troupeaux est envisageable sans atteindre à cette espèce de manière létale comme cela est envisagé. Prenez exemple sur les bergers des Abruzzes en Italie qui utilisent 6 à 10 chien par troupeau et qui ne subissent pas de perte sur leurs troupeaux. Comme ils le disent très bien, le loup était là avant eux ! Avis très défavorable, le 6 janvier 2025 à 16h36 On se croirait revenu aux temps anciens où la chasse au vilain loup était ouverte ! Laissez cette espèce tranquille et occupez vous plutôt de certains humains qui sont des animaux bien plus dangereux que le loup. Quand à l’idée à faire confiance à des hommes armés et très mal formés qui n’ont pour seul objectif de se sentir supérieurs ou de jouer avec une gâchette entre les mains, est ce vraiment nécessaire de dire que c’est juste honteux? Peace and love Opposition , le 6 janvier 2025 à 16h35 Merci de ne pas céder aux lobbies chasse et exploitants Reflechir c est mieux que sortir un fusil. Tir d effarouchement et louvetiers issus d un secteur impartial Non aux dérogations anti loups. , le 6 janvier 2025 à 16h35 Non aux dérogations anti loup. Laissez le vivre. Il fait partie intégrante de notre biodiversité. Assez de tueries. avis très favorable, le 6 janvier 2025 à 16h35 il faut défendre le maximum les éleveurs Avis defavorable, le 6 janvier 2025 à 16h33 Dans les autres pays européens il y a une cohabitation c est la nature qui se régule pas les pseudos chasseurs psychopathes protégés et payés par notre cher president ! Opposition ferme, le 6 janvier 2025 à 16h33 Hormis la pure démagogie de ce projet, c’est un non sens écologique dans les démarches de préservations de la biodiversité. Le loup régule et favorise le retour d’une biodiversité équilibrée. Il permet une régalution du chevreuil et du sanglier entre autre, espèces que les fédérations de chasses doivent controler. Ces fédérations devraient y voir un allier et non un concurent si leur discour était coherent et honnête. Le loup régule également la marmotte, espèce décriée par les éleveurs qui déplorent tant d’accidents sur leurs bêtes liés aux troux creusés, là aussi c’est un allier. D’autre part il est avéré aujourd’hui que le loup permet un regain de l’emplois en montagne dans les métiers de berger et dans tous les métiers qui l’entoure, notemment la fabrication et le déploiement de logements pour les bergers ainsi que tout le travail de surveillance des troupeaux par tous les moyens. 0 | 20 | 40 | 60 | 80 | 100 | 120 | 140 | 160 | … | 1120 Sur le même thème Demande de dérogation à la réglementation relative aux espèces protégées (Chiroptères spp) : demande (…) Eau et Biodiversité 27 novembre 2024 Projet d’arrêté relatif à la définition, la répartition et les modalités de gestion du quota (…) Eau et Biodiversité 25 septembre 2024 projet d’arrêté modifiant l’arrêté du 27 mai 2009 portant désignation du site Natura 2000 « Landes de (…) Eau et Biodiversité 13 septembre 2024 Projet d’arrêté balai modifiant les listes des espèces d’oiseaux annexées aux arrêtés portant (…) Eau et Biodiversité 13 septembre 2024 Gouvernement Ministère du Partenariat avec les territoires et de la Décentralisation Ministère de la Transition écologique, de l’Énergie, du Climat et de la Prévention des risques Ministère du Logement et de la Rénovation urbaine info.gouv.fr service-public.fr legifrance.gouv.fr data.gouv.fr Plan du site Glossaire Données personnelles et cookies Contacts Accessibilité : Non conforme Mentions légales Sauf mention contraire, tous les contenus de ce site sont sous licence etalab-2.0, le 6 janvier 2025 à 16h47
    Tout a fait opposé au projet de ce arrêté qui ouvre la porte a l’irradiation de cette espèce en France.,
  •  Laissez les loups en paix !!!, le 6 janvier 2025 à 16h46
    Je suis pour la protection du vivant et des loups !!! Hors de question de laisser les éleveurs nous dire qu’ils veulent protéger leurs bêtes quant ils les envoient à l’abattoir ensuite. Ils veulent protéger leur porte monnaie au détriment de notre biodiversité et du patrimoine vivant qui appartient à tous.
  •  TOUJOURS LA MEME SOLUTION, le 6 janvier 2025 à 16h46
    EN FRANCE C’EST TUER ALORS QUE D’AUTRES PAYS ON TROUVE DES SOLUTIONS CHAQUE ANIMAL SUR TERRE A LE DROIT DE VIVRE
  •  avis très favorable, le 6 janvier 2025 à 16h46
    je suis favorable à cet arrêté
  •  Avis très défavorable, le 6 janvier 2025 à 16h45
    Il est temps d’arrêter de bouleverser nos écosystèmes. Les loups permettent de réguler les populations d’animaux sauvages et maintiennent l’équilibre de l’écosystème. Stop à ces abattages irréfléchis et insensés !
  •  AVIS très défavorable, le 6 janvier 2025 à 16h44
    Le loup est une espèce protégée. Il est vital à l’équilibre de la nature. L’homme passe son temps à vouloir réguler le nombre de cervidés, de chamois, de pies, de corbeaux de blaireaux…. Laissons la nature et donc les loups maintenir cet équilibre.
  •  Opposition FERME, le 6 janvier 2025 à 16h43
    Sur la liberté accordée aux louvetiers : NON, ce n’est pas au bourreau de définir la légitimité ou la légalité du tir. Ces mesures doivent être contrôlées, sérieusement, par la police de l’environnement. Sur la non protégeabilité des troupeaux : Arrêtons de nous regarder le nombril et observons ce qu’il se passe ailleurs. Beaucoup de pays allient pastoralisme et prédation. Il existe des solutions qui nous permettent de conserver nos traditions pastorales, tout en respectant la biodiversité ET les grands prédateurs. Enfin, j’ajouterais qu’il serait plus que temps de se rapprocher d’organismes qui ont déjà fait leurs preuves et des études réalisées depuis des années sur le retour du Loup en France. Quand allons-nous cesser de détruire pour seule solution à ce qui dérange une partie de la population ? La biodiversité mérite mieux que ça.
  •  Non avis défavorable , le 6 janvier 2025 à 16h40
    Non au tir au loup non aux lobbies de chasse Oui à la biodiversité Oui à la régulation des espèces sauvages par le loup
  •  avis défavorable, le 6 janvier 2025 à 16h40
    Nous avons la chance inouïe que les loups se soient réinstallés chez nous malgré notre incurie écologique, les concessions inadmissibles faites aux chasseurs et aux empoisonneurs des eaux, des rivières, des terres, et pour finir, de la mer. Les loups, les lynxs, les renards et blaireaux doivent être absolument protégés. Je pense que c’est l’avis de la majorité des français, même, et surtout des campagnards.
  •  Loup, le 6 janvier 2025 à 16h40
    Contre Vive la biodiversité Vive la Vie !!
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    Tout a fait opposé a ce projet d’arrêté,donc défavorable. D’autres solutions existent qui marche bien a protéger les troupeaux au lieux de la solution l’étale……..
  •  Opposition , le 6 janvier 2025 à 16h39
    Les tirs de loups sont unanimement critiqués par les scientifiques puisqu’ils désorganisent les meutes et favorisent in fine les attaques. Nous devons collectivement apprendre à vivre avec le vivant avec qui nous partageons le territoire, pas le détruire systématiquement pour nous faciliter la vie. Nous devons collectivement aider les agriculteurs à élever et produire dans cette nouvelle configuration qu’est le retour du loup et qui est inéluctable. Les tirs d’effarouchement doivent être autorisés en cas d’attaque avérée car le loup, en chasseur opportuniste reviendra naturellement si nous ne lui compliquons pas la tâche. Il faut rendre plus simple l’accès et le remboursement des mesures de protection, et de compensation en cas de pertes sur le bétail. Le reste n’est que contre productif et démagogique.
  •  Avis défavorable à l’arrêté du 21/2/24 Loup , le 6 janvier 2025 à 16h38
    Avis défavorable de l’arrêté du 21/2/24. Je ne comprends pas pourquoi les éleveurs ne surveillent pas leur bêtes sur les montagnes avec leurs chiens comme les Italiens. Toujours la même rengaine tuer le Loup. De plus il va falloir sérieusement réduire la viande vu l’état sanitaire de non concitoyens. Hypertensio, diabète, AVC de plus en plus jeune. Favoriser les fruits frais et légumes frais. Nous avons une variété inouï de trésors végétaux. Le Loup pourra vivre en paix dans nos régions. Les chasseurs sont des incapables depuis le temps qu’ils régulent. C’est surtout du loisir et des trophés. Laissez vivre le Loup !

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