Projet d’arrêté modifiant l’arrêté du 3 juillet 2019 pris pour l’application de l’article R. 427-6 du code de l’environnement et fixant la liste, les périodes et les modalités de destruction des espèces susceptibles d’occasionner des dégâts

Consultation du 10/12/2021 au 01/01/2022 - 907 contributions

Pièce jointe : Décision du 7 juillet 2021 du Conseil d’État

Le classement du renard roux en tant qu’espèce susceptible d’occasionner des dégâts dans le département des Vosges

La décision du conseil d’État du 7 juillet 2021 indique que « l’arrêté du 3 juillet 2019 est annulé en tant qu’il inscrit sur cette liste le renard roux dans le département des Vosges en dehors des zones où il est susceptible d’occasionner des dégâts ».
Au regard des données remontées en 2019 par le département des Vosges, les critères suivants ont été retenus pour définir les zones où le renard est susceptible d’occasionner des dégâts :
• Présence d’élevage de volaille ;
• Présence d’élevage de léporidé ;
• Présence d’élevage de petit gibier ;
• Réalisation d’au moins un lâcher de repeuplement de petit gibier sur la commune, entre 2015 et 2019 ;
• Déclaration de dégâts de renard sur la commune.
En applications de ces critères, sur les 507 communes des Vosges, il est ainsi proposé d’inscrire le renard espèce susceptible d’occasionner des dégâts sur 262 communes.

Un arrêté modificatif déclinant la décision du Conseil d’État

Par ailleurs, le projet d’arrêté ministériel consolide la décision du Conseil d’État.
Ainsi, le projet d’arrêté modifie l’article 2 de l’arrêté du 3 juillet 2019 de façon à ne plus faire mention du putois (Mustela putorius).

Le projet d’arrêté ministériel décline ensuite, département par département, les modifications à apporter à la liste des espèces susceptibles d’occasionner des dégâts. Sont ainsi retirés du classement :
• la martre dans le département de l’Ain ;
• le putois dans le département de la Loire-Atlantique ;
• la pie bavarde dans le département du Loiret ;
• l’étourneau sansonnet dans le département de la Marne ;
• la martre dans le département de la Moselle ;
• le putois dans le département du Pas-de-Calais ;
• la martre dans le département des Hautes-Pyrénées ;
• le renard roux dans le département des Yvelines ;
• le renard roux dans le département de l’Essonne ;
• le renard roux et la pie bavarde dans le département du Val-d’Oise.

Conformément à la décision du Conseil d’État, la fouine et la pie bavarde sont par ailleurs classées espèces susceptibles d’occasionner des dégâts sur l’ensemble du département du Calvados.

Le projet d’arrêté a été examiné le 2 décembre 2021 avec avis favorable du Conseil National de la Chasse et de la Faune Sauvage.

Le projet présente un impact sur l’environnement et nécessite à ce titre une consultation publique en application des dispositions de l’article L.123-19-1 du code de l’environnement.

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Commentaires

  •  Ne reclasser pas le renard dans les Vosges ni ailleurs, le 29 décembre 2021 à 22h10

    5 bonnes raisons de proteger Goupil

    Il protege ecologiquement nos cultures
    Alors que les produits toxiques catastrophiques pour l’environnement¹ sont toujours
    utilisés pour lutter contre les rongeurs, de plus en plus d’agriculteurs témoignent
    des services que leur rend goupil. Un renard peut consommer à lui seul, en une
    année, de 3 000 à 6 300 campagnols² de diverses espèces, destructeurs de récoltes et
    d’herbages. Des chiffres qui doivent être considérés comme des valeurs minimales,
    puisqu’ils ne considèrent pas la nourriture apportée aux renardeaux. Cet allié des
    agriculteurs représente incontestablement une solution efficace, gratuite et non
    polluante.

    Il est utile a la bonne sante de son ecosysteme
    Le renard est un maillon essentiel de la chaîne alimentaire : il préserve
    l’équilibre fragile entre prédateurs et proies. Il exerce une
    sélection naturelle sans porter préjudice à son environnement.
    Il participe à la dissémination des graines de diverses essences
    d’arbres par ses déjections.

    Il assainit nos campagnes
    Volontiers charognard, le renard participe à l’élimination
    des animaux malades et des cadavres, évitant ainsi la
    propagation d’épidémies. De plus, il freine l’expansion
    de la borréliose de Lyme en éliminant les rongeurs, qui
    transportent les tiques vectrices de cette maladie.

    Il est un etre sensible
    Le renard est sensible à la souffrance, et comme tout être
    vivant, il a le droit d’être respecté pour ce qu’il est.
    C’est un animal intelligent, il n’est indifférent ni aux
    pinces métalliques des déterreurs, ni à la terreur
    qu’engendrent les cris des chasseurs et de leur chiens.

    Il fait partie de notre patrimoine
    Le renard fait partie de notre patrimoine naturel et culturel, de nos légendes, de nos
    rêves et de notre imaginaire.

    Copie faite à Oiseaux Nature

  •  Halte au massacre du renard !, le 29 décembre 2021 à 22h07

    ̋
    « Nuisible », mais a qui ?
    Scientifiquement aberrante, la notion d’espèce « nuisible » a été supprimée du
    code de l’environnement et remplacée par « susceptible d’occasionner des dégâts ».
    Mais ce changement n’est que sémantique : lorsque le renard est classé sur la liste
    départementale des espèces « susceptibles d’occasionner des dégâts », les renards
    peuvent être tués sans limite de nombre.
    Légalement, quatre raisons peuvent être invoquées pour y inscrire le renard :
    1°) L’intérêt de la santé et de la sécurité publiques,
    2°) La protection de la flore et de la faune,
    3°) La prévention des dommages importants aux activités agricoles,
    forestières et aquacoles,
    4°) La prévention des dommages importants à d’autres formes de
    propriété.
    Dans les faits, ces motifs sont surtout des prétextes utilisés pour
    prolonger les périodes de chasse et protéger le « gibier » que les
    chasseurs entendent s’approprier.
    En effet, en tuant des renards toute l’année, les chasseurs espèrent préserver les
    animaux tout juste sortis d’élevage (faisans, perdrix, etc.) relâchés dans la nature
    pour agrémenter leurs futures parties de chasse. Or ces animaux élevés par et pour
    les chasseurs sont totalement inadaptés à la vie sauvage. Ils sont donc des proies
    faciles pour les prédateurs et surtout des cibles idéales pour les chasseurs…
    Pourtant, aucune étude ne vient démontrer qu’une pression forte sur les
    populations de renard garantit un maintien des espèces « gibier », la qualité des
    habitats naturels étant davantage déterminante¹.1 - CSRPN Grand Est, Avis n° 2016 -10 du 7 décembre 2016
    ̋
    Le renard peut être chassé du 1er juin au 31 mars. Mais en tant qu’espèce « susceptible
    d’occasionner des dégâts », il peut être tué toute l’année par tir, piégeage et déterrage
    dans 91 départements¹. De même, dans le cadre des battues administratives, les
    préfets autorisent des tirs de nuit de renards à n’importe quel moment de l’année. Au
    total, plus de 600 000 renards sont tués chaque année en France.
    Les chasseurs brandissent l’échinococcose alvéolaire pour justifier ce massacre. Or
    une étude a démontré que la destruction des renards était inutile pour lutter contre
    cette maladie, voire qu’elle favorisait sa progression². Les solutions efficaces sont
    simples : vermifuger ses animaux domestiques et ne pas manipuler de cadavres ni
    de crottes de renards !
    Les chasseurs crient à la surpopulation. Il est scientifiquement prouvé que des
    prédateurs comme les renards ne peuvent pas pulluler dans un environnement
    naturel : leur reproduction dépend du nombre de proies disponibles. Le
    Luxembourg et le canton de Genève ont interdit la chasse du renard : aucune
    invasion de la flamme rousse n’est à déplorer !
    Les aviculteurs amateurs déplorent des attaques dans leurs poulaillers. Or, à l’aide
    de clôtures parfaitement hermétiques, le renard n’a aucune chance d’y pénétrer.

    Arrêtons les faux prétextes, ne reclassons pas le renard comme espèce susceptible d’occasionner des dégâts dans les Vosges, ni ailleurs.

  •  Inadmissible ! Non au classement du renard dans les Vosges, le 29 décembre 2021 à 22h01

    Battues administratives, tir de nuit, piégeage, déterrage… au total, entre 600 000 et un million de renards sont victimes de la chasse chaque année en France. Cette destruction organisée, sans aucun quota, s’apparente à un véritable massacre aussi impitoyable qu’injustifié !Bien qu’il soit utile à l’agriculture, le renard ne cesse d’être persécuté sous couvert d’une prétendue « régulation ». Or, une quelconque limitation des effectifs implique tout d’abord la connaissance de l’état réel de la population vulpine, ce qui n’est pas le cas.Le renard a un rôle irremplaçable dans la chaîne alimentaire. Prédateur de rongeurs, il évite leur prolifération. Parfois charognard, il participe à l’élimination des animaux malades et des cadavres, évitant ainsi les épidémies. Il exerce une sélection naturelle sans porter préjudice à son environnement. Son régime éclectique n’a pas d’incidences notables sur les aliments qu’il consomme, car il varie son « menu », en bon opportuniste qu’il est !
    Nous demandons le non classement du renard sur la liste des « nuisibles » dans tous les départements français et l’interdiction de sa chasse en dehors de la période d’ouverture générale de la chasse (mi septembre à fin février).

    Copie à OISEAUX NATURE

  •  NON au classement du Renard dans les Vosges, le 29 décembre 2021 à 21h57

    De tous les pays d’Europe occidentale, la France est celui qui compte le plus grand nombre d’espèces chassables, et qui, en outre, autorise la chasse pendant la plus longue période. De plus, notre pays accepte de nombreux modes de chasse, parmi lesquels certains sont particulièrement violents, comme le déterrage, voire interdits dans d’autres pays, comme la chasse à courre.

    Une espèce en particulier subit tous les excès de cette chasse « à la française ». Le renard peut en effet être chassé selon tous les modes de chasse légaux en France, et durant une période exceptionnellement longue, dérogeant ainsi au droit commun de la chasse :
    - il subit la chasse à tir durant l’ouverture générale de la chasse,
    - il peut être chassé dès le 1er juin sur décision du préfet,
    - il est l’une des cibles privilégiées de la chasse à courre qui se pratique jusqu’au 31 mars.
    Par conséquent, son seul statut d’espèce « chassable » ne laisse au renard que 2 mois de répit.

    Mais à ces prélèvements par la chasse s’ajoutent les destructions administratives permanentes. En effet, sur l’ensemble du territoire métropolitain (à l’exception de Paris et la petite couronne, de la Savoie et de la Corse-du-Sud), le renard peut être détruit par tir au-delà de la période de chasse, et par piégeage et déterrage toute l’année. Cette véritable persécution, à l’aide de méthodes particulièrement brutales, ne se justifie pas et aucun des arguments avancés par les adeptes de ce massacre n’est recevable. En effet :

    - concernant les maladies que le renard est susceptible de véhiculer, votre ministère a lui-même reconnu que la destruction des renards n’est pas une solution pour améliorer la situation sanitaire d’un pays (note de présentation du 12 juin 2012 concernant l’arrêté ministériel du 2 août 2012 relatif au classement des espèces considérés comme « nuisibles »), situation qui peut même être aggravée par les déplacements des populations vulpines induits par ces prélèvements comme le soulignent les dernières publications scientifiques en la matière ;

    - la protection des activités agricoles apparaît comme un prétexte : le rôle d’auxiliaire des cultures que joue le renard n’est pas pris en compte. Or un renard prélève chaque année des milliers de rongeurs, y compris ceux qui causent des dommages aux récoltes. Votre ministère a précédemment reconnu que « la destruction du renard peut être défavorable à certaines activités agricoles » et demandé aux préfets de réaliser une analyse des avantages et inconvénients à classer cette espèce au regard des mesures administratives de lutte, souvent chimique, mises en œuvre contre certains campagnols (circulaire du 26 mars 2012). Seule une poignée de préfets l’ont fait, mais les nombreux récalcitrants n’ont pas été sanctionnés ;

    - enfin, si, en vertu de l’article R. 427-6 du code de l’environnement, la « protection de la faune » peut théoriquement justifier ces persécutions, le renard est un prédateur terrestre faisant partie intégrante du patrimoine naturel commun et qui, à ce titre, joue un rôle de régulateur qui ne met aucune autre espèce animale en danger. Son classement ne vise en réalité qu’à protéger le gibier inadapté à la vie en milieu naturel car tout juste sorti d’élevage pour agrémenter les parties de chasse.

    Cette obstination déshonore notre pays prétendument civilisé. Aussi, nous vous demandons de ne plus autoriser la chasse au renard en dehors de la période d’ouverture générale de la chasse (de mi-septembre à fin février) et de le retirer de la liste des « espèces d’animaux susceptibles d’occasionner des dégâts » dans tous les départements, et donc de ne pas le réinscrire dans les Vosges .

    Copie à Oiseaux Nature.

  •  Avis défavorable au classement esod du renard dans les vosges, le 29 décembre 2021 à 21h42
    A force de tout détruire autour de nous, c’est nous que nous condamnons. Le renard a aussi son importance, maladie de Lyme, regulation de rongeurs. Nous n avons pas le monopole du droit de vivre, à nous aussi de s adapter, nous ne sommes pas des dieux !
  •  NON classement du renard dans les Vosges et ailleurs, le 29 décembre 2021 à 21h42

    De tous les pays d’Europe occidentale, la France est celui qui compte le plus grand nombre d’espèces chassables, et qui, en outre, autorise la chasse pendant la plus longue période. De plus, notre pays accepte de nombreux modes de chasse, parmi lesquels certains sont particulièrement violents, comme le déterrage, voire interdits dans d’autres pays, comme la chasse à courre.

    Une espèce en particulier subit tous les excès de cette chasse « à la française ». Le renard peut en effet être chassé selon tous les modes de chasse légaux en France, et durant une période exceptionnellement longue, dérogeant ainsi au droit commun de la chasse :
    - il subit la chasse à tir durant l’ouverture générale de la chasse,
    - il peut être chassé dès le 1er juin sur décision du préfet,
    - il est l’une des cibles privilégiées de la chasse à courre qui se pratique jusqu’au 31 mars.
    Par conséquent, son seul statut d’espèce « chassable » ne laisse au renard que 2 mois de répit.

    Mais à ces prélèvements par la chasse s’ajoutent les destructions administratives permanentes. En effet, sur l’ensemble du territoire métropolitain (à l’exception de Paris et la petite couronne, de la Savoie et de la Corse-du-Sud), le renard peut être détruit par tir au-delà de la période de chasse, et par piégeage et déterrage toute l’année. Cette véritable persécution, à l’aide de méthodes particulièrement brutales, ne se justifie pas et aucun des arguments avancés par les adeptes de ce massacre n’est recevable. En effet :

    - concernant les maladies que le renard est susceptible de véhiculer, votre ministère a lui-même reconnu que la destruction des renards n’est pas une solution pour améliorer la situation sanitaire d’un pays (note de présentation du 12 juin 2012 concernant l’arrêté ministériel du 2 août 2012 relatif au classement des espèces considérés comme « nuisibles »), situation qui peut même être aggravée par les déplacements des populations vulpines induits par ces prélèvements comme le soulignent les dernières publications scientifiques en la matière ;

    - la protection des activités agricoles apparaît comme un prétexte : le rôle d’auxiliaire des cultures que joue le renard n’est pas pris en compte. Or un renard prélève chaque année des milliers de rongeurs, y compris ceux qui causent des dommages aux récoltes. Votre ministère a précédemment reconnu que « la destruction du renard peut être défavorable à certaines activités agricoles » et demandé aux préfets de réaliser une analyse des avantages et inconvénients à classer cette espèce au regard des mesures administratives de lutte, souvent chimique, mises en œuvre contre certains campagnols (circulaire du 26 mars 2012). Seule une poignée de préfets l’ont fait, mais les nombreux récalcitrants n’ont pas été sanctionnés ;

    - enfin, si, en vertu de l’article R. 427-6 du code de l’environnement, la « protection de la faune » peut théoriquement justifier ces persécutions, le renard est un prédateur terrestre faisant partie intégrante du patrimoine naturel commun et qui, à ce titre, joue un rôle de régulateur qui ne met aucune autre espèce animale en danger. Son classement ne vise en réalité qu’à protéger le gibier inadapté à la vie en milieu naturel car tout juste sorti d’élevage pour agrémenter les parties de chasse.

    Cette obstination déshonore notre pays prétendument civilisé. Aussi, nous vous demandons de ne plus autoriser la chasse au renard en dehors de la période d’ouverture générale de la chasse (de mi-septembre à fin février) et de le retirer de la liste des « espèces d’animaux susceptibles d’occasionner des dégâts » dans tous les départements, et donc de ne pas le reclasser dans les Vosges.

    Copie à oiseaux Nature

  •  avis défavorable au projet d’arrêté qui modifie la liste des ESOD, le 29 décembre 2021 à 21h39
    Je ne comprends pas la décision du ministère de l’environnement au sujet du renard roux, sa fonction se doit de protéger notre environnement et toutes les richesses qu’il renferme, et non de céder aux grondements d’une minorité qui invoque l’excuse, qu’avec un renard protégé, leurs intérêts personnels seront menacés, toutes les études scientifiques prouvent l’utilité du renard roux dans les écosystèmes
  •  Pas Ok renard Vosges, le 29 décembre 2021 à 21h38

    Vous soumettez à la consultation du public un projet d’arrêté classant le renard roux comme espèce susceptible d’occasionner des dégâts dans les Vosges.

    Partout en France, le renard roux est chassé plus de dix mois sur douze, piégé toute l’année, parfois même déterré avec l’aide d’outils de terrassement et des chiens ! Cet acharnement conduit à une hécatombe annuelle estimée entre 600 000 à 1 000 000 de renards. Pourtant, le rôle du renard dans son environnement est loin d’être sans intérêt pour l’homme. C’est une espèce présente naturellement sur notre territoire, elle ne relève en rien d’une espèce invasive.

    Un seul renard mange au minimum 6 000 petits mammifères par an pour ses besoins alimentaires. Avec une telle performance, on peut affirmer que le renard est au rongeur ce que la coccinelle est au puceron ! Il n’est donc pas difficile de comprendre l’impact positif du renard roux pour les cultures. Aujourd’hui, les exploitants agricoles ressentent une pression populaire, de plus en plus de gens veulent manger de plus en plus sain. De fait, le renard roux pourrait bien faire son grand retour dans l’estime que lui prête son plus gros prédateur… l’homme. Car ces poisons utilisés contre les rongeurs ont un impact colossal sur la biodiversité au sens large. Des organismes tout ce qu’il y a de plus officiel – l’INRA, les Chambres d’agriculture…- commencent à considérer la présence du renard roux dans le cadre d’une lutte intégrée contre les ravageurs de cultures.

    Le renard est un prédateur autochtone, il ne peut lui être reproché de s’attaquer à ses proies naturelles voire à des animaux sortis d’élevage qui, peu adaptés à la vie sauvage, sont des proies faciles. Des milliers de lièvres, perdrix et faisans continuent d’être abattus chaque année dans ce département. Si les populations de ces espèces sont en danger, c’est d’abord leur chasse qui devrait être arrêtée. La « protection de la biodiversité », but prétendument poursuivi par les chasseurs, n’est qu’un prétexte pour défendre leur loisir. Or les battues administratives ont pour vocation de protéger l’intérêt général et non des intérêts privés.

    Un renard roux abattu sur un territoire à même de subvenir à ses besoins et à ceux de sa famille se verra inévitablement remplacé par un congénère. C’est ainsi, les prétendants sont nombreux.

    D’autre part, la population de renard sur un territoire donné ne peut s’étendre au-delà d’un maximum atteint rapidement, puisque dépendant du nombre de proies présentes sur ce même territoire.

    Par sa consommation de fruits et à l’instar d’autres carnivores, il joue un rôle important dans la dissémination des graines et contribue à la diversité des arbres et arbustes des paysages ruraux

    On est alors en droit de se demander pourquoi continuer cet acharnement contre ce nuisible qui n’en a que le nom ? Ne peut-on pas envisager une cohabitation en bonne intelligence avec le renard. Lui qui est si rusé saura bien s’accommoder de cet envahissant voisin humain…

    L’acharnement sur le renard roux permet à certaines personnes de pratiquer leur loisir morbide tout au long de l’année, de jour comme de nuit, et tout ce qui est reproché à cette espèce ne relève que de mauvais et faux prétextes. Il faut y voir ici uniquement le poids d’un lobby et rien d’autre.

    Vous ne vous interrogez pas sur les conséquences de cet acharnement.

    Ni sur les méthodes utilisées qui, pour certaines d’entre elles, ne sont pas sélectives, mais barbares.

    Ni sur la destruction d’une espèce en période de reproduction et d’élevage des jeunes.

    Vous abondez dans le sens d’une minorité .

    Nous voulons faire entendre notre voix !

    Et disons clairement NON à votre projet d’arrêté.

    Michele, de Gérardmer.

    Copie à Oiseaux Nature.

  •  NON classement renard Vosges, le 29 décembre 2021 à 21h36

    Vous soumettez à la consultation du public un projet d’arrêté classant le renard roux comme espèce susceptible d’occasionner des dégâts dans les Vosges.

    Partout en France, le renard roux est chassé plus de dix mois sur douze, piégé toute l’année, parfois même déterré avec l’aide d’outils de terrassement et des chiens ! Cet acharnement conduit à une hécatombe annuelle estimée entre 600 000 à 1 000 000 de renards. Pourtant, le rôle du renard dans son environnement est loin d’être sans intérêt pour l’homme. C’est une espèce présente naturellement sur notre territoire, elle ne relève en rien d’une espèce invasive.

    Un seul renard mange au minimum 6 000 petits mammifères par an pour ses besoins alimentaires. Avec une telle performance, on peut affirmer que le renard est au rongeur ce que la coccinelle est au puceron ! Il n’est donc pas difficile de comprendre l’impact positif du renard roux pour les cultures. Aujourd’hui, les exploitants agricoles ressentent une pression populaire, de plus en plus de gens veulent manger de plus en plus sain. De fait, le renard roux pourrait bien faire son grand retour dans l’estime que lui prête son plus gros prédateur… l’homme. Car ces poisons utilisés contre les rongeurs ont un impact colossal sur la biodiversité au sens large. Des organismes tout ce qu’il y a de plus officiel – l’INRA, les Chambres d’agriculture…- commencent à considérer la présence du renard roux dans le cadre d’une lutte intégrée contre les ravageurs de cultures.

    Le renard est un prédateur autochtone, il ne peut lui être reproché de s’attaquer à ses proies naturelles voire à des animaux sortis d’élevage qui, peu adaptés à la vie sauvage, sont des proies faciles. Des milliers de lièvres, perdrix et faisans continuent d’être abattus chaque année dans ce département. Si les populations de ces espèces sont en danger, c’est d’abord leur chasse qui devrait être arrêtée. La « protection de la biodiversité », but prétendument poursuivi par les chasseurs, n’est qu’un prétexte pour défendre leur loisir. Or les battues administratives ont pour vocation de protéger l’intérêt général et non des intérêts privés.

    Un renard roux abattu sur un territoire à même de subvenir à ses besoins et à ceux de sa famille se verra inévitablement remplacé par un congénère. C’est ainsi, les prétendants sont nombreux.

    D’autre part, la population de renard sur un territoire donné ne peut s’étendre au-delà d’un maximum atteint rapidement, puisque dépendant du nombre de proies présentes sur ce même territoire.

    Par sa consommation de fruits et à l’instar d’autres carnivores, il joue un rôle important dans la dissémination des graines et contribue à la diversité des arbres et arbustes des paysages ruraux

    On est alors en droit de se demander pourquoi continuer cet acharnement contre ce nuisible qui n’en a que le nom ? Ne peut-on pas envisager une cohabitation en bonne intelligence avec le renard. Lui qui est si rusé saura bien s’accommoder de cet envahissant voisin humain…

    L’acharnement sur le renard roux permet à certaines personnes de pratiquer leur loisir morbide tout au long de l’année, de jour comme de nuit, et tout ce qui est reproché à cette espèce ne relève que de mauvais et faux prétextes. Il faut y voir ici uniquement le poids d’un lobby et rien d’autre.

    Vous ne vous interrogez pas sur les conséquences de cet acharnement.

    Ni sur les méthodes utilisées qui, pour certaines d’entre elles, ne sont pas sélectives, mais barbares.

    Ni sur la destruction d’une espèce en période de reproduction et d’élevage des jeunes.

    Vous abondez dans le sens d’une minorité .

    Nous voulons faire entendre notre voix !

    Et disons clairement NON à votre projet d’arrêté.

    Fanny, de Rochesson.

    Copie à Oiseaux Nature.

  •  NON au classement du renard comme espece suceptible d’occasionner des dégats dans les Vosges !, le 29 décembre 2021 à 21h34

    Vous soumettez à la consultation du public un projet d’arrêté classant le renard roux comme espèce susceptible d’occasionner des dégâts dans les Vosges.

    Partout en France, le renard roux est chassé plus de dix mois sur douze, piégé toute l’année, parfois même déterré avec l’aide d’outils de terrassement et des chiens ! Cet acharnement conduit à une hécatombe annuelle estimée entre 600 000 à 1 000 000 de renards. Pourtant, le rôle du renard dans son environnement est loin d’être sans intérêt pour l’homme. C’est une espèce présente naturellement sur notre territoire, elle ne relève en rien d’une espèce invasive.

    Un seul renard mange au minimum 6 000 petits mammifères par an pour ses besoins alimentaires. Avec une telle performance, on peut affirmer que le renard est au rongeur ce que la coccinelle est au puceron ! Il n’est donc pas difficile de comprendre l’impact positif du renard roux pour les cultures. Aujourd’hui, les exploitants agricoles ressentent une pression populaire, de plus en plus de gens veulent manger de plus en plus sain. De fait, le renard roux pourrait bien faire son grand retour dans l’estime que lui prête son plus gros prédateur… l’homme. Car ces poisons utilisés contre les rongeurs ont un impact colossal sur la biodiversité au sens large. Des organismes tout ce qu’il y a de plus officiel – l’INRA, les Chambres d’agriculture…- commencent à considérer la présence du renard roux dans le cadre d’une lutte intégrée contre les ravageurs de cultures.

    Le renard est un prédateur autochtone, il ne peut lui être reproché de s’attaquer à ses proies naturelles voire à des animaux sortis d’élevage qui, peu adaptés à la vie sauvage, sont des proies faciles. Des milliers de lièvres, perdrix et faisans continuent d’être abattus chaque année dans ce département. Si les populations de ces espèces sont en danger, c’est d’abord leur chasse qui devrait être arrêtée. La « protection de la biodiversité », but prétendument poursuivi par les chasseurs, n’est qu’un prétexte pour défendre leur loisir. Or les battues administratives ont pour vocation de protéger l’intérêt général et non des intérêts privés.

    Un renard roux abattu sur un territoire à même de subvenir à ses besoins et à ceux de sa famille se verra inévitablement remplacé par un congénère. C’est ainsi, les prétendants sont nombreux.

    D’autre part, la population de renard sur un territoire donné ne peut s’étendre au-delà d’un maximum atteint rapidement, puisque dépendant du nombre de proies présentes sur ce même territoire.

    Par sa consommation de fruits et à l’instar d’autres carnivores, il joue un rôle important dans la dissémination des graines et contribue à la diversité des arbres et arbustes des paysages ruraux

    On est alors en droit de se demander pourquoi continuer cet acharnement contre ce nuisible qui n’en a que le nom ? Ne peut-on pas envisager une cohabitation en bonne intelligence avec le renard. Lui qui est si rusé saura bien s’accommoder de cet envahissant voisin humain…

    L’acharnement sur le renard roux permet à certaines personnes de pratiquer leur loisir morbide tout au long de l’année, de jour comme de nuit, et tout ce qui est reproché à cette espèce ne relève que de mauvais et faux prétextes. Il faut y voir ici uniquement le poids d’un lobby et rien d’autre.

    Vous ne vous interrogez pas sur les conséquences de cet acharnement.

    Ni sur les méthodes utilisées qui, pour certaines d’entre elles, ne sont pas sélectives, mais barbares.

    Ni sur la destruction d’une espèce en période de reproduction et d’élevage des jeunes.

    Vous abondez dans le sens d’une minorité .

    Nous voulons faire entendre notre voix !

    Et disons clairement NON à votre projet d’arrêté.

    Anne, de Gérardmer.

    Copie à Oiseaux Nature.

  •  Contre le classement du renard roux en tant qu’espèce susceptible d’occasionner des dégâts dans le département des Vosges, le 29 décembre 2021 à 20h58

    Bonjour,

    Le renard n’est pas une espèce nuisible pour l’Homme, au contraire. Il régule les rongeurs et autres petits animaux. Les écosystèmes sont des équilibres que l’on a suffisamment détraqué. Que des mesures soient plutôt prises pour améliorer les enclos des volailles.

    Bien cordialement

  •  Le renard ne doit pas être chassé, le 29 décembre 2021 à 20h53
    Alors que les cas de Lyme continuent d’augmenter, et que les agriculteurs déplorent les ravages des rongeurs sur leurs récoltes, il est grand temps d’accorder au renard tout le respect qu’il mérite pour son rôle inestimable dans la régulation des écosystèmes. Le renard n’est pas un animal à abattre, ni à réguler. Nous devons changer notre regard et nos attitudes sur la faune sauvage. Arrêtons de tout détruire.
  •  avis défavorable au classement ESOD du renard dans les Vosges, le 29 décembre 2021 à 20h38
    C’est une aberration de classer le renard comme ESOD rien qu’au regard des bienfaits qu’il apporte pour lutter contre la maladie de Lyme (en mangeant plusieurs milliers de rongeurs par an, le renard divise entre 3 et 5 fois le risque d’attraper la maladie de Lyme sur le territoire concerné…)Il faut avoir le courage de privilégier la santé humaine et la biodiversité et non pas le plaisir de s chasseurs.
  •  Non à la chasse aux renards, le 29 décembre 2021 à 20h22
    Laissez les renards hors des chasseurs, ils sont indispensable à la biodiversité et à la lutte contre la maladie de Lyme.
  •  avis défavorable au classement ESOD du renard dans les vosges)., le 29 décembre 2021 à 20h11

    C’est une aberration de classer le renard comme ESOD rien qu’au regard des bienfaits qu’il apporte pour lutter contre la maladie de lyme (en mangeant plusieurs milliers de rongeurs par an, le renard divise entre 3 et 5 fois le risque d’attraper la maladie de Lyme sur le territoire concerné.)

    Le renard est un auxiliaire du jardinier et de l’agriculteur.
    De plus il a été prouvé que la destruction des renards ne provoquait pas la baisse de leurs effectifs, seulement une population plus fragile et sujette aux maladies.

    Il est temps d’être courageux et de ne plus céder aux pressions des lobbies des armes à feu qui tuent et polluent sans raison valable.

  •  La faune sauvage est un bien précieux., le 29 décembre 2021 à 19h55
    Pour les Hautes-Alpes, je demande le retrait du renard roux de la liste ESOD. De plus, une réforme des commissions de la chasse et de la faune sauvage est plus que nécessaire : l’avenir de la biodiversité en dépend.
  •  avis défavorable au classement ESOD du renard dans les vosges, le 29 décembre 2021 à 19h45

    Bonjour,

    Je me permets de venir donner mon avis quant au projet de l’arrêté qui vise à classer ESOD le renard des Vosges.
    Lorsque je lis les raisons pour lesquelles certains individus souhaitent le voir classer en espèce nuisible, je suis outrée. Je ne vois que des raisons économiques pour quelques uns.
    C’est une aberration de classer le renard comme ESOD rien qu’au regard des bienfaits qu’il apporte pour lutter contre la maladie de lyme (en mangeant plusieurs milliers de rongeurs par an, le renard divise entre 3 et 5 fois le risque d’attraper la maladie de Lyme sur le territoire concerné…). Il fait parti d’un écosystème qui a besoin de lui. Certains se plaignent d’autres nuisibles dont lui se nourrit. Laisser des prédateurs comme le renard roux est nécessaire dans la nature. Il faut prendre note que la nature n’a pas besoin de l’homme pour réguler mais de prédateurs naturels, sinon on appelle cela de la destruction.
    Merci de votre attention.

  •  AVIS NÉGATIF, le 29 décembre 2021 à 19h44

    Bonjour.
    Je ne prendrai que le seul exemple du renard pour montrer combien ce genre de projet d’arrêté constitue une aberration écologique (en plus d’être profondément biaisé par la satisfaction d’intérêts partisans servis par une structuration administrative délirante des parties décideuses et conseillères).

    Le renard a un rôle majeur dans l’écosystème qu’il est indispensable de connaître, reconnaître et préserver.

    Il est un prédateur efficace des souris, rats, campagnols et tout ce qui pullule dans les champs.
    Il s’occupe aussi des animaux malades, contagieux ou morts.
    Il dissémine dans la nature des milliers de graines de fruits et baies qu’il a mangés.
    Enfin, il joue un rôle majeur dans la régulation des petits rongeurs, parfois porteurs de tiques qui hébergent des bactéries du genre Borrelia à l’origine de la maladie de Lyme chez les humains. Il rend donc un grand service vétérinaire et sanitaire à l’espèce humaine.

    De nombreuses études à l’étranger ont souligné une corrélation entre l’augmentation des cas de maladie de Lyme et le déclin des prédateurs des rongeurs, notamment le renard (Levi et al., 2012) mais aussi le lynx (Ostfeld et al., 2018).

    Il existe une autorégulation des populations chez le renard. Différentes études ont montré que la taille des portées dépend entres autres de la disponibilité des ressources alimentaires (Englund, 1980 ; Gortázar et al., 2001). Par ailleurs, dans une population de renards et selon les contextes environnementaux (notamment les environnements pauvres en proies), toutes les femelles ne font pas de portées.

    Au-delà de la littérature scientifique, l’autorégulation des populations de renard peut se vérifier sur différents territoires où il n’est plus chassé.

    En France, dans la ville de Strasbourg et dans les Réserves Naturelle Rhénanes (plusieurs milliers d’hectares), le renard n’est plus chassé depuis plus de 30 ans.
    Dans le canton de Genève, l’interdiction de la chasse a été votée il y a 44 ans. Dans ces contextes, les populations de renards n’ont jamais explosé et les populations de lièvres sont denses (une étude rapporte une densité de lièvres de 15 individus au km2 dans le canton de Genèvre (Dandliker, 2015).
    En 2017, c’est le Luxembourg qui a pris la décision de fermer la chasse aux renards. Le premier retour d’expérience ne fait mention d’aucune augmentation de la population. Il révèle par contre un sexe-ratio équilibré, des animaux en bonne santé et un pourcentage de charges parasitaires transmissibles à l’homme moins élevé que dans certains départements de l’Est de la France (Gouvernement du Grand-Duché du Luxembourg, 2017).

    « Le renard n’a plus aucun ennemi naturel. Le voilà sacré « plus gros carnivore sauvage » de France. Tout cela, grâce à qui : à ceux précisément qui se plaignent aujourd’hui du trop grand nombre de renards. Amusant, non ? » (Pierre DEOM, La Hulotte n°33/34).

    Cet article a été écrit en 1980, mais le statut du renard n’a pas évolué depuis et le lynx, le loup et l’ours ont encore mauvaise réputation en 2021…

    Pour justifier l’acharnement contre le Renard roux, le motif est donc tout trouvé : détruire l’espèce permet de limiter l’échinococcose alvéolaire. Dans certains départements, les services de l’État autorisent d’ailleurs la destruction de l’espèce. On ne peut que s’en étonner, puisque le Guide pratique du classement des espèces en tant qu’espèce « nuisible », édité par le Ministère de l’Écologie en juin 2014, précise que « bien que le Renard roux puisse être effectivement porteur de cette maladie, les processus épidémiologiques sont tels qu’il n’est pas justifié sur un plan scientifique d’invoquer cette maladie pour le classer nuisible ».

    Comment se fait-il qu’un service de l’État ne tienne pas compte des recommandations provenant du ministère en charge de l’écologie ?

    Souvenons-nous de l’adage « qui veut tuer son chien l’accuse de la rage ». Il en est de même pour le renard que l’on accuse de tous les maux, afin de justifier le plaisir de pouvoir le chasser par tous les moyens et en toutes saisons !

    Je pense avoir amplement démontré que le renard n’a aucune raison d’être placé sur la liste ESOD en aucune circonstance. Il en va de même de nombreuses espèces placées aujourd’hui sur l’infâme liste ESOD ou vouées à y être demain en vertu d’un arrêté qui n’aura aucun fondement scientifique supérieur à ce projet d’arrêté. Conclusion, arrêté nocif, à revoir entièrement avec la participation intensive des associations de défense de la nature et de la biodiversité.
    AVIS NÉGATIF.

    NB : il est plus que probable que les autorités s’assoient, comme d’habitude, sur ces avis négatifs fournis par le public. Une preuve de plus s’il était besoin de la nécessité urgente de réformer le mode d’intervention démocratique dans les décisions du politique…

  •  Contre le classement du renard roux en tant qu’espèce susceptible d’occasionner des dégâts dans le département des Vosges, le 29 décembre 2021 à 19h35
    De qui se moque-t-on? Le renard, un nuisible? Le bilan des accidents de chasse lors de la saison 2019-2020, présenté par la Fédération nationale de la chasse (FNC) et l’Office français de la biodiversité (OFB), comptait 141 victimes lors de 136 accidents (il y en a eu plusieurs pour quatre accidents), dont onze mortels. En outre le renard, gros mangeur de rongeurs, permet de limiter la prolifération de la maladie de Lyme.
  •  Avis défavorable ! , le 29 décembre 2021 à 19h30
    STOP aux multiples massacres des animaux classés ESOD !

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