Consultation du public sur le projet de décret relatif aux caractéristiques des panneaux solaires photovoltaïques permettant un report de l’échéance de l’obligation de solarisation faite aux parcs de stationnement extérieurs d’une superficie égale ou supérieure à 10 000 mètres carrés
Consultation du 22/07/2024 au 11/08/2024 - 4861 contributions
Commentaires
Je m’étonne qu’un projet de décret pour reporter l’échéance de l’obligation de solarisation faites aux parcs de stationnement extérieurs d’une superficie égale ou supérieure à 10 000 mètres carrés soit en cours . En effet, le décret pour sacrifier de la terre agricole lui est passé alors pourquoi celui-ci devrait être reporté !
- Pourquoi reporter cette obligation alors que le secteur industriel représente 19 % de la consommation énergétique ?
- Pourquoi sacrifier des terres agricoles pour un développement accéléré de l’agrivoltaïsme, alors que ce secteur ne consomme que 3 % de l’énergie ?
- Pourquoi compromettre les forêts, qui sont des puits de carbone naturels essentiels à la réduction des émissions de gaz à effet de serre ?
- Oui aux installations photovoltaïques sur les bâtiments, les parkings, les friches industrielles et les zones déjà urbanisées.
- Oui à la préservation des zones naturelles et agricoles.
Je m’oppose fermement contre les projets de solarisation des forêts/champs dans lesquelles il faudra abattre des arbres. pour y implanter une centrale en pleine nature alors que des centaines d’hectares sont déjà bétonnés comme c’est le cas des parkings de stationnement. Pendant ce temps, des centaines d’hectares de parkings déjà bétonnés restent inutilisés pour ce type de projets. Préservons la nature, dont les réserves de biodiversité sont déjà gravement menacées, et installons les panneaux solaires sur les toitures des parkings.
Je m’oppose au report de l’obligation d’installation de panneaux solaires sur les parkings d’une superficie égale ou supérieure à 10 000 m2.
Avec ce délais supplémentaire jusqu’en 2028, on va ralentir le déploiement des énergies renouvelables, retardant de fait les bénéfices environnementaux attendus. Ca nuit au déploiement des énergies renouvelables.
En parallèle, le gouvernement soutient la construction de 6 nouveaux réacteurs atomiques, dits EPR2 pour un coût estimé à plus de 60 milliards d’euros. Cet engagement financier massif en faveur de l’industrie nucléaire contraste fortement avec la volonté du gouvernement de reporter de deux ans supplémentaires les obligations d’installer des panneaux photovoltaïques sur les parkings d’une superficie de plus de 10 000 m².
Il faut soutenir le solaire pour diversifier et sécuriser notre mix énergétique tout en répondant aux impératifs de la transition écologique.
Non au report de l’obligation de solarisation faite aux parcs de stationnement extérieurs d’une superficie égale ou supérieure à 10 000 m2, le 11 août 2024
Le réchauffement climatique est en cours, nous en voyons les efftes tous les jours, et il n’attend pas. De plus, c’est un moyen d’ombrager les parkings !
Je m’oppose au report de l’obligation d’installation de panneaux solaires sur les parkings d’une superficie égale ou supérieure à 10 000 m².
En autorisant des délais supplémentaires jusqu’en juillet 2028, ce décret risque de ralentir encore le déploiement des énergies renouvelables, retardant de fait les bénéfices environnementaux attendus. Ce nouveau texte réglementaire s’inscrit dans une longue course d’obstacles nuisant au déploiement des énergies renouvelables.
Ces nouveaux délais sont d’autant plus surprenants qu’en parallèle, le gouvernement mélange vitesse et précipitation en soutenant la construction de 6 nouveaux réacteurs atomiques, dits EPR2 pour un coût estimé à plus de 60 milliards d’euros. Cet engagement financier massif en faveur de l’industrie nucléaire contraste fortement avec la volonté du gouvernement de reporter de deux ans supplémentaires les obligations d’installer des panneaux photovoltaïques sur les parkings d’une superficie de plus de 10 000 m².
Un soutien pleinement assumé aux solaires permettrait pourtant de diversifier et sécuriser notre mix énergétique tout en répondant aux impératifs de la transition écologique. En somme, plutôt que d’encourager une adoption rapide et généralisée des solutions solaires, ce décret pourrait paradoxalement freiner l’élan nécessaire pour atteindre nos objectifs climatiques et énergétiques.
Je m’oppose au report de l’obligation d’installation de panneaux solaires sur les parkings d’une superficie égale ou supérieure à 10 000 m2.
En autorisant des délais supplémentaires jusqu’en juillet 2028, ce décret risque de ralentir encore le déploiement des énergies renouvelables, retardant de fait les bénéfices environnementaux attendus.
L’ engagement financier massif en faveur de l’industrie nucléaire contraste fortement avec la volonté du gouvernement de reporter de deux ans supplémentaires les obligations d’installer des panneaux photovoltaïques sur les parkings d’une superficie de plus de 10 000 m².
Un soutien pleinement assumé aux solaires permettrait pourtant de diversifier et sécuriser notre mix énergétique tout en répondant aux impératifs de la transition écologique. Ce décret pourrait paradoxalement freiner l’élan nécessaire pour atteindre nos objectifs climatiques et énergétiques.
Je m’oppose au report de l’obligation d’installation de panneaux solaires sur les parkings.
Cela n’a aucun sens d’accorder des délais supplémentaires jusqu’en juillet 2028, car cela retarderait de fait les bénéfices environnementaux attendus.
Un soutien pleinement assumé aux solaires permettrait de diversifier et sécuriser notre mix énergétique tout en répondant aux impératifs de la transition écologique. En somme, plutôt que d’encourager une adoption rapide et généralisée des solutions solaires, ce décret pourrait paradoxalement freiner l’élan nécessaire pour atteindre nos objectifs climatiques et énergétiques.