Projet de décret modifiant l’article R921-84 du Code Rural et de la Pêche Maritime réglementant la pêche maritime de loisir

Consultation du 04/04/2025 au 24/04/2025 - 151 contributions

Objectifs et contexte du décret :
La réglementation actuelle de la pêche de loisir a suscité des complexités d’interprétation dans son articulation avec le droit européen et nécessite un ajustement. La pratique de la pêche du bar depuis le bord en zone Nord a révélé cette difficulté depuis 2023. L’arrêté du 30 novembre 2021 relatif à l’interdiction de la pêche à pied professionnelle du bar dans les zones CIEM 4c et 7d-h s’applique également à la pêche maritime de loisir conformément à l’article R. 921-84 du code rural et de la pêche maritime (CRPM). Ce dernier prévoit que la pêche maritime de loisir est soumise aux dispositions réglementaires internationales, européennes ou nationales applicables aux pêcheurs professionnels en ce qui concerne la taille minimale des captures autorisées, les caractéristiques et conditions d’emploi des engins de pêche, les modes et procédés ainsi que les zones, périodes, interdictions et arrêtés de pêche.

Dans le même temps, le règlement européen n° 2023/194 du 30 janvier 2023 qui prévoit les totaux admissibles de captures (TAC) et quotas autorise explicitement la pêche de loisir du bar nord dans les divisions CIEM 4b, 4c, 6a et 7a à 7k, y compris depuis le bord (cette mesure a été reconduite en 2024). Cette contradiction a créé une incompréhension parmi les pêcheurs de loisir et a fait l’objet, à plusieurs reprises, de revendications de la part des représentants d’associations de la pêche maritime de loisir au niveau national et local.

Afin de mieux articuler le droit européen et le droit national, un groupe de travail du Conseil National de la Mer et des littoraux dédié à la pêche de loisir maritime, a été constitué le 14 décembre 2023. Il inclut notamment les représentants associatifs et professionnels de la pêche, des représentants de l’industrie de la pêche de loisir et des ONG, pour trouver des solutions à cette problématique. Ce groupe de travail est coprésidé par les sénateurs Alain Cadec et Pierre Médevielle.

La DGAMPA a soumis à ce groupe de travail une proposition de modification de l’article R. 921-84 du CRPM afin de permettre une dérogation dans le cas d’une mention spécifique de la pêche maritime de loisir dans le droit européen. Cette modification permettrait ainsi dans des cas précis et prévus par le droit européen de déroger à l’application du strict alignement des règles applicables à la pêche professionnelle à la pêche de loisir, au coup par coup et par arrêté du ministre en charge des pêches. Le groupe de travail s’est exprimé favorablement sur cette proposition.

Ce projet de décret sera examiné par le Conseil d’Etat en vertu de l’article L. 922-2 du code rural et de la pêche maritime, après la présente consultation du public.

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Commentaires

  •  Contre le projet de décret modifiant l’article R921-84 du Code Rural et de la Pêche Maritime réglementant la pêche maritime de loisir, le 9 avril 2025 à 15h43
    Je soussigné Duval Paul membre du COPERE, souhaite exprimer une opposition ferme à la modification proposée de l’article R.921-84 du Code rural et de la pêche maritime, et ce pour plusieurs raisons de fond. 1 – Une fausse clarification, source d’insécurité juridique La modification suggérée prétend résoudre un problème d’interprétation entre droit européen et droit national. En réalité, elle crée une nouvelle insécurité pour les pêcheurs de loisir, en instituant une logique de dérogation ponctuelle par arrêté ministériel. Cette approche rend la réglementation de la pêche récréative instable, difficile à comprendre et injustement complexe pour une pratique populaire, souvent familiale et non professionnelle. 2 – Un alignement abusif sur les règles de la pêche professionnelle Le texte conserve le principe fondamentalement injuste selon lequel la pêche de loisir est soumise aux mêmes règles que la pêche professionnelle, sauf exception explicite. Cette vision est incohérente avec les réalités de terrain : la pêche récréative ne poursuit pas les mêmes buts, ne prélève pas les mêmes quantités, et n’a ni les mêmes impacts, ni les mêmes obligations de rentabilité. Elle mérite donc une réglementation propre, stable et lisible. 3 – Un risque de dérive vers un permis de pêche en mer En multipliant les couches réglementaires, ce projet prépare potentiellement le terrain à une gestion administrative renforcée de la pêche récréative, qui pourrait à terme déboucher sur un permis obligatoire ou une taxation déguisée. Cela va à l’encontre de l’esprit de liberté et de gratuité qui caractérise historiquement cette pratique et qui en fait une activité accessible à tous. 4 – Une gouvernance opaque et déséquilibrée La création d’un groupe de travail composé notamment d’élus, d’administrations, des professionnels de la pêche, de structures associatives et de la représentation des fabricants et distributeurs de matériel, ne garantit en rien une représentation équitable des pratiquants de la pêche de loisir. Les pêcheurs de loisir indépendants et non fédérés que le COPERE représente, ne sont pas représentés dans ces instances. Cette réforme, dans sa forme comme dans son fond, manque de légitimité démocratique. 5 – Une réforme pour corriger une erreur d’application du droit européen Le problème mis en lumière, l’interdiction de la pêche du bar à pied dans des zones où le droit européen l’autorise explicitement résulte d’une mauvaise lecture administrative de la réglementation. Il serait donc plus juste de corriger cette erreur directement plutôt que de modifier l’article R.921-84 pour faire entrer dans le droit une exception mal fondée. En conclusion Je demande le retrait de ce projet de décret dans sa forme actuelle et l’ouverture d’un véritable débat public, impliquant directement les représentants de tous les pratiquants fédérés et non fédérés, afin de bâtir un cadre juridique stable, juste et respectueux de la spécificité de la pêche maritime de loisir. En tout état de cause et sans une réponse à la hauteur de l’enjeu de l’administration le COPERE exercera tous les recours possibles devant les juridictions compétentes pour dénoncer ce projet.
  •  Contre le projet de décret modifiant l’article R921-84 du Code Rural et de la Pêche Maritime réglementant la pêche maritime de loisir, le 9 avril 2025 à 15h42
    Je soussigné Duval Paul membre du COPERE, souhaite exprimer une opposition ferme à la modification proposée de l’article R.921-84 du Code rural et de la pêche maritime, et ce pour plusieurs raisons de fond. 1 – Une fausse clarification, source d’insécurité juridique La modification suggérée prétend résoudre un problème d’interprétation entre droit européen et droit national. En réalité, elle crée une nouvelle insécurité pour les pêcheurs de loisir, en instituant une logique de dérogation ponctuelle par arrêté ministériel. Cette approche rend la réglementation de la pêche récréative instable, difficile à comprendre et injustement complexe pour une pratique populaire, souvent familiale et non professionnelle. 2 – Un alignement abusif sur les règles de la pêche professionnelle Le texte conserve le principe fondamentalement injuste selon lequel la pêche de loisir est soumise aux mêmes règles que la pêche professionnelle, sauf exception explicite. Cette vision est incohérente avec les réalités de terrain : la pêche récréative ne poursuit pas les mêmes buts, ne prélève pas les mêmes quantités, et n’a ni les mêmes impacts, ni les mêmes obligations de rentabilité. Elle mérite donc une réglementation propre, stable et lisible. 3 – Un risque de dérive vers un permis de pêche en mer En multipliant les couches réglementaires, ce projet prépare potentiellement le terrain à une gestion administrative renforcée de la pêche récréative, qui pourrait à terme déboucher sur un permis obligatoire ou une taxation déguisée. Cela va à l’encontre de l’esprit de liberté et de gratuité qui caractérise historiquement cette pratique et qui en fait une activité accessible à tous. 4 – Une gouvernance opaque et déséquilibrée La création d’un groupe de travail composé notamment d’élus, d’administrations, des professionnels de la pêche, de structures associatives et de la représentation des fabricants et distributeurs de matériel, ne garantit en rien une représentation équitable des pratiquants de la pêche de loisir. Les pêcheurs de loisir indépendants et non fédérés que le COPERE représente, ne sont pas représentés dans ces instances. Cette réforme, dans sa forme comme dans son fond, manque de légitimité démocratique. 5 – Une réforme pour corriger une erreur d’application du droit européen Le problème mis en lumière, l’interdiction de la pêche du bar à pied dans des zones où le droit européen l’autorise explicitement résulte d’une mauvaise lecture administrative de la réglementation. Il serait donc plus juste de corriger cette erreur directement plutôt que de modifier l’article R.921-84 pour faire entrer dans le droit une exception mal fondée. En conclusion Je demande le retrait de ce projet de décret dans sa forme actuelle et l’ouverture d’un véritable débat public, impliquant directement les représentants de tous les pratiquants fédérés et non fédérés, afin de bâtir un cadre juridique stable, juste et respectueux de la spécificité de la pêche maritime de loisir. En tout état de cause et sans une réponse à la hauteur de l’enjeu de l’administration le COPERE exercera tous les recours possibles devant les juridictions compétentes pour dénoncer ce projet.
  •  Contre lerojet de décret modifiant l’article R921-84 du Code Rural et de la Pêche Maritime réglementant la pêche maritime de loisir, le 9 avril 2025 à 15h41
    Je soussigné Lepetit Thomas membre du COPERE, souhaite exprimer une opposition ferme à la modification proposée de l’article R.921-84 du Code rural et de la pêche maritime, et ce pour plusieurs raisons de fond. 1. Une fausse clarification, source d’insécurité juridique La modification suggérée prétend résoudre un problème d’interprétation entre droit européen et droit national. En réalité, elle crée une nouvelle insécurité pour les pêcheurs de loisir, en instituant une logique de dérogation ponctuelle par arrêté ministériel. Cette approche rend la réglementation de la pêche récréative instable, difficile à comprendre et injustement complexe pour une pratique populaire, souvent familiale et non professionnelle. 2. Un alignement abusif sur les règles de la pêche professionnelle Le texte conserve le principe fondamentalement injuste selon lequel la pêche de loisir est soumise aux mêmes règles que la pêche professionnelle, sauf exception explicite. Cette vision est incohérente avec les réalités de terrain : la pêche récréative ne poursuit pas les mêmes buts, ne prélève pas les mêmes quantités, et n’a ni les mêmes impacts, ni les mêmes obligations de rentabilité. Elle mérite donc une réglementation propre, stable et lisible. 3. Un risque de dérive vers un permis de pêche en mer En multipliant les couches réglementaires, ce projet prépare potentiellement le terrain à une gestion administrative renforcée de la pêche récréative, qui pourrait à terme déboucher sur un permis obligatoire ou une taxation déguisée. Cela va à l’encontre de l’esprit de liberté et de gratuité qui caractérise historiquement cette pratique et qui en fait une activité accessible à tous. 4. Une gouvernance opaque et déséquilibrée La création d’un groupe de travail composé notamment d’élus, d’administrations, des professionnels de la pêche, de structures associatives et de la représentation des fabricants et distributeurs de matériel, ne garantit en rien une représentation équitable des pratiquants de la pêche de loisir. Les pêcheurs de loisir indépendants et non fédérés que le COPERE représente, ne sont pas représentés dans ces instances. Cette réforme, dans sa forme comme dans son fond, manque de légitimité démocratique. 5. Une réforme pour corriger une erreur d’application du droit européen Le problème mis en lumière – l’interdiction de la pêche du bar à pied dans des zones où le droit européen l’autorise explicitement – résulte d’une mauvaise lecture administrative de la réglementation. Il serait donc plus juste de corriger cette erreur directement plutôt que de modifier l’article R.921-84 pour faire entrer dans le droit une exception mal fondée. En conclusion Je demande le retrait de ce projet de décret dans sa forme actuelle et l’ouverture d’un véritable débat public, impliquant directement les représentants de tous les pratiquants fédérés et non fédérés, afin de bâtir un cadre juridique stable, juste et respectueux de la spécificité de la pêche maritime de loisir. En tout état de cause et sans une réponse à la hauteur de l’enjeu de l’administration le COPERE exercera tous les recours possibles devant les juridictions compétentes pour dénoncer ce projet.
  •  Contre le projet de décret modifiant l’article R921-84 du Code Rural et de la Pêche Maritime réglementant la pêche maritime de loisir, le 9 avril 2025 à 15h38
    Je soussigné Laurent ROUSSEL membre du COPERE, souhaite exprimer une opposition ferme à la modification proposée de l’article R.921-84 du Code rural et de la pêche maritime, et ce pour plusieurs raisons de fond. 1 – Une fausse clarification, source d’insécurité juridique La modification suggérée prétend résoudre un problème d’interprétation entre droit européen et droit national. En réalité, elle crée une nouvelle insécurité pour les pêcheurs de loisir, en instituant une logique de dérogation ponctuelle par arrêté ministériel. Cette approche rend la réglementation de la pêche récréative instable, difficile à comprendre et injustement complexe pour une pratique populaire, souvent familiale et non professionnelle. 2 – Un alignement abusif sur les règles de la pêche professionnelle Le texte conserve le principe fondamentalement injuste selon lequel la pêche de loisir est soumise aux mêmes règles que la pêche professionnelle, sauf exception explicite. Cette vision est incohérente avec les réalités de terrain : la pêche récréative ne poursuit pas les mêmes buts, ne prélève pas les mêmes quantités, et n’a ni les mêmes impacts, ni les mêmes obligations de rentabilité. Elle mérite donc une réglementation propre, stable et lisible. 3 – Un risque de dérive vers un permis de pêche en mer En multipliant les couches réglementaires, ce projet prépare potentiellement le terrain à une gestion administrative renforcée de la pêche récréative, qui pourrait à terme déboucher sur un permis obligatoire ou une taxation déguisée. Cela va à l’encontre de l’esprit de liberté et de gratuité qui caractérise historiquement cette pratique et qui en fait une activité accessible à tous. 4 – Une gouvernance opaque et déséquilibrée La création d’un groupe de travail composé notamment d’élus, d’administrations, des professionnels de la pêche, de structures associatives et de la représentation des fabricants et distributeurs de matériel, ne garantit en rien une représentation équitable des pratiquants de la pêche de loisir. Les pêcheurs de loisir indépendants et non fédérés que le COPERE représente, ne sont pas représentés dans ces instances. Cette réforme, dans sa forme comme dans son fond, manque de légitimité démocratique. 5 – Une réforme pour corriger une erreur d’application du droit européen Le problème mis en lumière, l’interdiction de la pêche du bar à pied dans des zones où le droit européen l’autorise explicitement résulte d’une mauvaise lecture administrative de la réglementation. Il serait donc plus juste de corriger cette erreur directement plutôt que de modifier l’article R.921-84 pour faire entrer dans le droit une exception mal fondée. En conclusion Je demande le retrait de ce projet de décret dans sa forme actuelle et l’ouverture d’un véritable débat public, impliquant directement les représentants de tous les pratiquants fédérés et non fédérés, afin de bâtir un cadre juridique stable, juste et respectueux de la spécificité de la pêche maritime de loisir. En tout état de cause et sans une réponse à la hauteur de l’enjeu de l’administration le COPERE exercera tous les recours possibles devant les juridictions compétentes pour dénoncer ce projet.
  •  Contre le projet de modification, le 9 avril 2025 à 15h36

    Je soussigné Arnaud Brière membre du COPERE, souhaite exprimer une opposition ferme à la modification proposée de l’article R.921-84 du Code rural et de la pêche maritime, et ce pour plusieurs raisons de fond.

    1 – Une fausse clarification, source d’insécurité juridique La modification suggérée prétend résoudre un problème d’interprétation entre droit européen et droit national. En réalité, elle crée une nouvelle insécurité pour les pêcheurs de loisir, en instituant une logique de dérogation ponctuelle par arrêté ministériel. Cette approche rend la réglementation de la pêche récréative instable, difficile à comprendre et injustement complexe pour une pratique populaire, souvent familiale et non professionnelle.

    2 – Un alignement abusif sur les règles de la pêche professionnelle Le texte conserve le principe fondamentalement injuste selon lequel la pêche de loisir est soumise aux mêmes règles que la pêche professionnelle, sauf exception explicite. Cette vision est incohérente avec les réalités de terrain : la pêche récréative ne poursuit pas les mêmes buts, ne prélève pas les mêmes quantités, et n’a ni les mêmes impacts, ni les mêmes obligations de rentabilité. Elle mérite donc une réglementation propre, stable et lisible.

    3 – Un risque de dérive vers un permis de pêche en mer En multipliant les couches réglementaires, ce projet prépare potentiellement le terrain à une gestion administrative renforcée de la pêche récréative, qui pourrait à terme déboucher sur un permis obligatoire ou une taxation déguisée. Cela va à l’encontre de l’esprit de liberté et de gratuité qui caractérise historiquement cette pratique et qui en fait une activité accessible à tous.

    4 – Une gouvernance opaque et déséquilibrée La création d’un groupe de travail composé notamment d’élus, d’administrations, des professionnels de la pêche, de structures associatives et de la représentation des fabricants et distributeurs de matériel, ne garantit en rien une représentation équitable des pratiquants de la pêche de loisir. Les pêcheurs de loisir indépendants et non fédérés que le COPERE représente, ne sont pas représentés dans ces instances. Cette réforme, dans sa forme comme dans son fond, manque de légitimité démocratique.

    5 – Une réforme pour corriger une erreur d’application du droit européen Le problème mis en lumière, l’interdiction de la pêche du bar à pied dans des zones où le droit européen l’autorise explicitement résulte d’une mauvaise lecture administrative de la réglementation. Il serait donc plus juste de corriger cette erreur directement plutôt que de modifier l’article R.921-84 pour faire entrer dans le droit une exception mal fondée.

    En conclusion Je demande le retrait de ce projet de décret dans sa forme actuelle et l’ouverture d’un véritable débat public, impliquant directement les représentants de tous les pratiquants fédérés et non fédérés, afin de bâtir un cadre juridique stable, juste et respectueux de la spécificité de la pêche maritime de loisir. En tout état de cause et sans une réponse à la hauteur de l’enjeu de l’administration le COPERE exercera tous les recours possibles devant les juridictions compétentes pour dénoncer ce projet.

  •  Sans titre, le 9 avril 2025 à 13h35
    Je soussigné Alain Miossec membre du COPERE, souhaite exprimer une opposition ferme à la modification proposée de l’article R.921-84 du Code rural et de la pêche maritime, et ce pour plusieurs raisons de fond. 1 - Une fausse clarification, source d’insécurité juridique La modification suggérée prétend résoudre un problème d’interprétation entre droit européen et droit national. En réalité, elle crée une nouvelle insécurité pour les pêcheurs de loisir, en instituant une logique de dérogation ponctuelle par arrêté ministériel. Cette approche rend la réglementation de la pêche récréative instable, difficile à comprendre et injustement complexe pour une pratique populaire, souvent familiale et non professionnelle. 2 - Un alignement abusif sur les règles de la pêche professionnelle Le texte conserve le principe fondamentalement injuste selon lequel la pêche de loisir est soumise aux mêmes règles que la pêche professionnelle, sauf exception explicite. Cette vision est incohérente avec les réalités de terrain : la pêche récréative ne poursuit pas les mêmes buts, ne prélève pas les mêmes quantités, et n’a ni les mêmes impacts, ni les mêmes obligations de rentabilité. Elle mérite donc une réglementation propre, stable et lisible. 3 - Un risque de dérive vers un permis de pêche en mer En multipliant les couches réglementaires, ce projet prépare potentiellement le terrain à une gestion administrative renforcée de la pêche récréative, qui pourrait à terme déboucher sur un permis obligatoire ou une taxation déguisée. Cela va à l’encontre de l’esprit de liberté et de gratuité qui caractérise historiquement cette pratique et qui en fait une activité accessible à tous. 4 - Une gouvernance opaque et déséquilibrée La création d’un groupe de travail composé notamment d’élus, d’administrations, des professionnels de la pêche, de structures associatives et de la représentation des fabricants et distributeurs de matériel, ne garantit en rien une représentation équitable des pratiquants de la pêche de loisir. Les pêcheurs de loisir indépendants et non fédérés que le COPERE représente, ne sont pas représentés dans ces instances. Cette réforme, dans sa forme comme dans son fond, manque de légitimité démocratique. 5 - Une réforme pour corriger une erreur d’application du droit européen Le problème mis en lumière, l’interdiction de la pêche du bar à pied dans des zones où le droit européen l’autorise explicitement résulte d’une mauvaise lecture administrative de la réglementation. Il serait donc plus juste de corriger cette erreur directement plutôt que de modifier l’article R.921-84 pour faire entrer dans le droit une exception mal fondée. En conclusion Je demande le retrait de ce projet de décret dans sa forme actuelle et l’ouverture d’un véritable débat public, impliquant directement les représentants de tous les pratiquants fédérés et non fédérés, afin de bâtir un cadre juridique stable, juste et respectueux de la spécificité de la pêche maritime de loisir. En tout état de cause et sans une réponse à la hauteur de l’enjeu de l’administration le COPERE exercera tous les recours possibles devant les juridictions compétentes pour dénoncer ce projet.
  •  je suis Contre le projet de modification de l’article R921-84 du code rural et de la pêche maritime. , le 9 avril 2025 à 13h34

    bonjour
    je soussigné MR LE FRANCOIS Sylvain, m’oppose fermement ici à une réforme de la pêche de loisirs, et à la mise en place d’une gestion de la pêche par dérogation, et m’oppose également à toutes les propositions, qui pourrait conduire à la mise en place d’un permis de pêche payant de surcroît.
    Je m’oppose également à toutes interdictions de pratique de la pêche du bord à pied, et ou, de tout autres moyens de pêche traditionnelles.
    cordialement

    fait pour valoir ce que de droit.

  •  je suis Contre le projet de modification de l’article R921-84 du code rural et de la pêche maritime. , le 9 avril 2025 à 13h33

    bonjour
    je soussigné MR LE FRANCOIS Sylvain, m’oppose fermement ici à une réforme de la pêche de loisirs, et à la mise en place d’une gestion de la pêche par dérogation, et m’oppose également à toutes les propositions, qui pourrait conduire à la mise en place d’un permis de pêche payant de surcroît.
    Je m’oppose également à toutes interdictions de pratique de la pêche du bord à pied, et ou, de tout autres moyens de pêche traditionnelles.
    cordialement

    fait pour valoir ce que de droit.

  •  Opposition reforme concernant article R.921-84 , le 9 avril 2025 à 13h30

    Je soussigné René CALONNEC, souhaite exprimer une opposition ferme à la modification proposée de l’article R.921-84 du Code rural et de la pêche maritime, et ce pour plusieurs raisons de fond. 1 - Une fausse clarification, source d’insécurité juridique La modification suggérée prétend résoudre un problème d’interprétation entre droit européen et droit national. En réalité, elle crée une nouvelle insécurité pour les pêcheurs de loisir, en instituant une logique de dérogation ponctuelle par arrêté ministériel. Cette approche rend la réglementation de la pêche récréative instable, difficile à comprendre et injustement complexe pour une pratique populaire, souvent familiale et non professionnelle. 2 - Un alignement abusif sur les règles de la pêche professionnelle Le texte conserve le principe fondamentalement injuste selon lequel la pêche de loisir est soumise aux mêmes règles que la pêche professionnelle, sauf exception explicite. Cette vision est incohérente avec les réalités de terrain : la pêche récréative ne poursuit pas les mêmes buts, ne prélève pas les mêmes quantités, et n’a ni les mêmes impacts, ni les mêmes obligations de rentabilité. Elle mérite donc une réglementation propre, stable et lisible. 3 - Un risque de dérive vers un permis de pêche en mer En multipliant les couches réglementaires, ce projet prépare potentiellement le terrain à une gestion administrative renforcée de la pêche récréative, qui pourrait à terme déboucher sur un permis obligatoire ou une taxation déguisée. Cela va à l’encontre de l’esprit de liberté et de gratuité qui caractérise historiquement cette pratique et qui en fait une activité accessible à tous. 4 - Une gouvernance opaque et déséquilibrée La création d’un groupe de travail composé notamment d’élus, d’administrations, des professionnels de la pêche, de structures associatives et de la représentation des fabricants et distributeurs de matériel, ne garantit en rien une représentation équitable des pratiquants de la pêche de loisir. Les pêcheurs de loisir indépendants et non fédérés que le COPERE représente, ne sont pas représentés dans ces instances. Cette réforme, dans sa forme comme dans son fond, manque de légitimité démocratique. 5 - Une réforme pour corriger une erreur d’application du droit européen Le problème mis en lumière, l’interdiction de la pêche du bar à pied dans des zones où le droit européen l’autorise explicitement résulte d’une mauvaise lecture administrative de la réglementation. Il serait donc plus juste de corriger cette erreur directement plutôt que de modifier l’article R.921-84 pour faire entrer dans le droit une exception mal fondée. En conclusion Je demande le retrait de ce projet de décret dans sa forme actuelle et l’ouverture d’un véritable débat public, impliquant directement les représentants de tous les pratiquants fédérés et non fédérés, afin de bâtir un cadre juridique stable, juste et respectueux de la spécificité de la pêche maritime de loisir. En tout état de cause et sans une réponse à la hauteur de l’enjeu de l’administration le COPERE exercera tous les recours possibles devant les juridictions compétentes pour dénoncer ce projet.

    Mr CALONNEC René

  •  Contre le projet de modification de l’article R921-84 du code rural et de la pêche maritime., le 9 avril 2025 à 13h27
    Je soussigné Magnin-Feysot Laurent membre du COPERE, souhaite exprimer une opposition ferme à la modification proposée de l’article R.921-84 du Code rural et de la pêche maritime, et ce pour plusieurs raisons de fond. 1 - Une fausse clarification, source d’insécurité juridique La modification suggérée prétend résoudre un problème d’interprétation entre droit européen et droit national. En réalité, elle crée une nouvelle insécurité pour les pêcheurs de loisir, en instituant une logique de dérogation ponctuelle par arrêté ministériel. Cette approche rend la réglementation de la pêche récréative instable, difficile à comprendre et injustement complexe pour une pratique populaire, souvent familiale et non professionnelle. 2 - Un alignement abusif sur les règles de la pêche professionnelle Le texte conserve le principe fondamentalement injuste selon lequel la pêche de loisir est soumise aux mêmes règles que la pêche professionnelle, sauf exception explicite. Cette vision est incohérente avec les réalités de terrain : la pêche récréative ne poursuit pas les mêmes buts, ne prélève pas les mêmes quantités, et n’a ni les mêmes impacts, ni les mêmes obligations de rentabilité. Elle mérite donc une réglementation propre, stable et lisible. 3 - Un risque de dérive vers un permis de pêche en mer En multipliant les couches réglementaires, ce projet prépare potentiellement le terrain à une gestion administrative renforcée de la pêche récréative, qui pourrait à terme déboucher sur un permis obligatoire ou une taxation déguisée. Cela va à l’encontre de l’esprit de liberté et de gratuité qui caractérise historiquement cette pratique et qui en fait une activité accessible à tous. 4 - Une gouvernance opaque et déséquilibrée La création d’un groupe de travail composé notamment d’élus, d’administrations, des professionnels de la pêche, de structures associatives et de la représentation des fabricants et distributeurs de matériel, ne garantit en rien une représentation équitable des pratiquants de la pêche de loisir. Les pêcheurs de loisir indépendants et non fédérés que le COPERE représente, ne sont pas représentés dans ces instances. Cette réforme, dans sa forme comme dans son fond, manque de légitimité démocratique. 5 - Une réforme pour corriger une erreur d’application du droit européen Le problème mis en lumière, l’interdiction de la pêche du bar à pied dans des zones où le droit européen l’autorise explicitement résulte d’une mauvaise lecture administrative de la réglementation. Il serait donc plus juste de corriger cette erreur directement plutôt que de modifier l’article R.921-84 pour faire entrer dans le droit une exception mal fondée. En conclusion Je demande le retrait de ce projet de décret dans sa forme actuelle et l’ouverture d’un véritable débat public, impliquant directement les représentants de tous les pratiquants fédérés et non fédérés, afin de bâtir un cadre juridique stable, juste et respectueux de la spécificité de la pêche maritime de loisir. En tout état de cause et sans une réponse à la hauteur de l’enjeu de l’administration le COPERE exercera tous les recours possibles devant les juridictions compétentes pour dénoncer ce projet.
  •  Contre le projet de modification de l’article R921-84 du code rural et de la pêche maritime, le 9 avril 2025 à 13h25

    Bonjour ,

    Je soussigné Mr Dimitri LECOQ membre du COPERE, souhaite exprimer une opposition ferme à la modification proposée de l’article R.921-84 du Code rural et de la pêche maritime, et ce pour plusieurs raisons de fond.
    1 - Une fausse clarification, source d’insécurité juridique La modification suggérée prétend résoudre un problème d’interprétation entre droit européen et droit national. En réalité, elle crée une nouvelle insécurité pour les pêcheurs de loisir, en instituant une logique de dérogation ponctuelle par arrêté ministériel. Cette approche rend la réglementation de la pêche récréative instable, difficile à comprendre et injustement complexe pour une pratique populaire, souvent familiale et non professionnelle.
    2 - Un alignement abusif sur les règles de la pêche professionnelle Le texte conserve le principe fondamentalement injuste selon lequel la pêche de loisir est soumise aux mêmes règles que la pêche professionnelle, sauf exception explicite. Cette vision est incohérente avec les réalités de terrain : la pêche récréative ne poursuit pas les mêmes buts, ne prélève pas les mêmes quantités, et n’a ni les mêmes impacts, ni les mêmes obligations de rentabilité. Elle mérite donc une réglementation propre, stable et lisible.
    3 - Un risque de dérive vers un permis de pêche en mer. En multipliant les couches réglementaires, ce projet prépare potentiellement le terrain à une gestion administrative renforcée de la pêche récréative, qui pourrait à terme déboucher sur un permis obligatoire ou une taxation déguisée. Cela va à l’encontre de l’esprit de liberté et de gratuité qui caractérise historiquement cette pratique et qui en fait une activité accessible à tous.
    4 - Une gouvernance opaque et déséquilibrée La création d’un groupe de travail composé notamment d’élus, d’administrations, des professionnels de la pêche, de structures associatives et de la représentation des fabricants et distributeurs de matériel, ne garantit en rien une représentation équitable des pratiquants de la pêche de loisir. Les pêcheurs de loisir indépendants et non fédérés que le COPERE représente, ne sont pas représentés dans ces instances. Cette réforme, dans sa forme comme dans son fond, manque de légitimité démocratique.
    5 - Une réforme pour corriger une erreur d’application du droit européen Le problème mis en lumière, l’interdiction de la pêche du bar à pied dans des zones où le droit européen l’autorise explicitement résulte d’une mauvaise lecture administrative de la réglementation. Il serait donc plus juste de corriger cette erreur directement plutôt que de modifier l’article R.921-84 pour faire entrer dans le droit une exception mal fondée. En conclusion Je demande le retrait de ce projet de décret dans sa forme actuelle et l’ouverture d’un véritable débat public, impliquant directement les représentants de tous les pratiquants fédérés et non fédérés, afin de bâtir un cadre juridique stable, juste et respectueux de la spécificité de la pêche maritime de loisir. En tout état de cause et sans une réponse à la hauteur de l’enjeu de l’administration le COPERE exercera tous les recours possibles devant les juridictions compétentes pour dénoncer ce projet.

    Cordialement

    Dimitri LECOQ

  •  Gonsultation, le 9 avril 2025 à 13h20
    Stop au diktat de nos technocrates ! Laissez-nous vivre ! Ne vous trompez pas de cible !…
  •  CONSULTATION PUBLIQUE – PROJET DE MODIFICATION DE L’ARTICLE R921-84 DU CODE RURAL ET DE LA PÊCHE MARITIME, le 9 avril 2025 à 13h17
    Je soussigné ….. membre du COPERE, souhaite exprimer une opposition ferme à la modification proposée de l’article R.921-84 du Code rural et de la pêche maritime, et ce pour plusieurs raisons de fond. 1 - Une fausse clarification, source d’insécurité juridique La modification suggérée prétend résoudre un problème d’interprétation entre droit européen et droit national. En réalité, elle crée une nouvelle insécurité pour les pêcheurs de loisir, en instituant une logique de dérogation ponctuelle par arrêté ministériel. Cette approche rend la réglementation de la pêche récréative instable, difficile à comprendre et injustement complexe pour une pratique populaire, souvent familiale et non professionnelle. 2 - Un alignement abusif sur les règles de la pêche professionnelle Le texte conserve le principe fondamentalement injuste selon lequel la pêche de loisir est soumise aux mêmes règles que la pêche professionnelle, sauf exception explicite. Cette vision est incohérente avec les réalités de terrain : la pêche récréative ne poursuit pas les mêmes buts, ne prélève pas les mêmes quantités, et n’a ni les mêmes impacts, ni les mêmes obligations de rentabilité. Elle mérite donc une réglementation propre, stable et lisible. 3 - Un risque de dérive vers un permis de pêche en mer En multipliant les couches réglementaires, ce projet prépare potentiellement le terrain à une gestion administrative renforcée de la pêche récréative, qui pourrait à terme déboucher sur un permis obligatoire ou une taxation déguisée. Cela va à l’encontre de l’esprit de liberté et de gratuité qui caractérise historiquement cette pratique et qui en fait une activité accessible à tous. 4 - Une gouvernance opaque et déséquilibrée La création d’un groupe de travail composé notamment d’élus, d’administrations, des professionnels de la pêche, de structures associatives et de la représentation des fabricants et distributeurs de matériel, ne garantit en rien une représentation équitable des pratiquants de la pêche de loisir. Les pêcheurs de loisir indépendants et non fédérés que le COPERE représente, ne sont pas représentés dans ces instances. Cette réforme, dans sa forme comme dans son fond, manque de légitimité démocratique. 5 - Une réforme pour corriger une erreur d’application du droit européen Le problème mis en lumière, l’interdiction de la pêche du bar à pied dans des zones où le droit européen l’autorise explicitement résulte d’une mauvaise lecture administrative de la réglementation. Il serait donc plus juste de corriger cette erreur directement plutôt que de modifier l’article R.921-84 pour faire entrer dans le droit une exception mal fondée. En conclusion Je demande le retrait de ce projet de décret dans sa forme actuelle et l’ouverture d’un véritable débat public, impliquant directement les représentants de tous les pratiquants fédérés et non fédérés, afin de bâtir un cadre juridique stable, juste et respectueux de la spécificité de la pêche maritime de loisir. En tout état de cause et sans une réponse à la hauteur de l’enjeu de l’administration le COPERE exercera tous les recours possibles devant les juridictions compétentes pour dénoncer ce projet.
  •  Sans titre, le 9 avril 2025 à 13h13
    Je soussigné Jérôme CHABRIEL, membre du COPERE, souhaite exprimer une opposition ferme à la modification proposée de l’article R.921-84 du Code rural et de la pêche maritime, et ce pour plusieurs raisons de fond : 1 - Une fausse clarification, source d’insécurité juridique La modification suggérée prétend résoudre un problème d’interprétation entre droit européen et droit national. En réalité, elle crée une nouvelle insécurité pour les pêcheurs de loisir, en instituant une logique de dérogation ponctuelle par arrêté ministériel. Cette approche rend la réglementation de la pêche récréative instable, difficile à comprendre et injustement complexe pour une pratique populaire, souvent familiale et non professionnelle. 2 - Un alignement abusif sur les règles de la pêche professionnelle Le texte conserve le principe fondamentalement injuste selon lequel la pêche de loisir est soumise aux mêmes règles que la pêche professionnelle, sauf exception explicite. Cette vision est incohérente avec les réalités de terrain : la pêche récréative ne poursuit pas les mêmes buts, ne prélève pas les mêmes quantités, et n’a ni les mêmes impacts, ni les mêmes obligations de rentabilité. Elle mérite donc une réglementation propre, stable et lisible. 3 - Un risque de dérive vers un permis de pêche en mer En multipliant les couches réglementaires, ce projet prépare potentiellement le terrain à une gestion administrative renforcée de la pêche récréative, qui pourrait à terme déboucher sur un permis obligatoire ou une taxation déguisée. Cela va à l’encontre de l’esprit de liberté et de gratuité qui caractérise historiquement cette pratique et qui en fait une activité accessible à tous. 4 - Une gouvernance opaque et déséquilibrée La création d’un groupe de travail composé notamment d’élus, d’administrations, des professionnels de la pêche, de structures associatives et de la représentation des fabricants et distributeurs de matériel, ne garantit en rien une représentation équitable des pratiquants de la pêche de loisir. Les pêcheurs de loisir indépendants et non fédérés que le COPERE représente, ne sont pas représentés dans ces instances. Cette réforme, dans sa forme comme dans son fond, manque de légitimité démocratique. 5 - Une réforme pour corriger une erreur d’application du droit européen Le problème mis en lumière, l’interdiction de la pêche du bar à pied dans des zones où le droit européen l’autorise explicitement résulte d’une mauvaise lecture administrative de la réglementation. Il serait donc plus juste de corriger cette erreur directement plutôt que de modifier l’article R.921-84 pour faire entrer dans le droit une exception mal fondée. En conclusion Je demande le retrait de ce projet de décret dans sa forme actuelle et l’ouverture d’un véritable débat public, impliquant directement les représentants de tous les pratiquants fédérés et non fédérés, afin de bâtir un cadre juridique stable, juste et respectueux de la spécificité de la pêche maritime de loisir. En tout état de cause et sans une réponse à la hauteur de l’enjeu de l’administration le COPERE exercera tous les recours possibles devant les juridictions compétentes pour dénoncer ce projet.
  •  Avis défavorable , le 9 avril 2025 à 13h03
    Je soussigné ….. membre du COPERE, souhaite exprimer une opposition ferme à la modification proposée de l’article R.921-84 du Code rural et de la pêche maritime, et ce pour plusieurs raisons de fond. 1 - Une fausse clarification, source d’insécurité juridique La modification suggérée prétend résoudre un problème d’interprétation entre droit européen et droit national. En réalité, elle crée une nouvelle insécurité pour les pêcheurs de loisir, en instituant une logique de dérogation ponctuelle par arrêté ministériel. Cette approche rend la réglementation de la pêche récréative instable, difficile à comprendre et injustement complexe pour une pratique populaire, souvent familiale et non professionnelle. 2 - Un alignement abusif sur les règles de la pêche professionnelle Le texte conserve le principe fondamentalement injuste selon lequel la pêche de loisir est soumise aux mêmes règles que la pêche professionnelle, sauf exception explicite. Cette vision est incohérente avec les réalités de terrain : la pêche récréative ne poursuit pas les mêmes buts, ne prélève pas les mêmes quantités, et n’a ni les mêmes impacts, ni les mêmes obligations de rentabilité. Elle mérite donc une réglementation propre, stable et lisible. 3 - Un risque de dérive vers un permis de pêche en mer En multipliant les couches réglementaires, ce projet prépare potentiellement le terrain à une gestion administrative renforcée de la pêche récréative, qui pourrait à terme déboucher sur un permis obligatoire ou une taxation déguisée. Cela va à l’encontre de l’esprit de liberté et de gratuité qui caractérise historiquement cette pratique et qui en fait une activité accessible à tous. 4 - Une gouvernance opaque et déséquilibrée La création d’un groupe de travail composé notamment d’élus, d’administrations, des professionnels de la pêche, de structures associatives et de la représentation des fabricants et distributeurs de matériel, ne garantit en rien une représentation équitable des pratiquants de la pêche de loisir. Les pêcheurs de loisir indépendants et non fédérés que le COPERE représente, ne sont pas représentés dans ces instances. Cette réforme, dans sa forme comme dans son fond, manque de légitimité démocratique. 5 - Une réforme pour corriger une erreur d’application du droit européen Le problème mis en lumière, l’interdiction de la pêche du bar à pied dans des zones où le droit européen l’autorise explicitement résulte d’une mauvaise lecture administrative de la réglementation. Il serait donc plus juste de corriger cette erreur directement plutôt que de modifier l’article R.921-84 pour faire entrer dans le droit une exception mal fondée. En conclusion Je demande le retrait de ce projet de décret dans sa forme actuelle et l’ouverture d’un véritable débat public, impliquant directement les représentants de tous les pratiquants fédérés et non fédérés, afin de bâtir un cadre juridique stable, juste et respectueux de la spécificité de la pêche maritime de loisir. En tout état de cause et sans une réponse à la hauteur de l’enjeu de l’administration le COPERE exercera tous les recours possibles devant les juridictions compétentes pour dénoncer ce projet.
  •  Contre le projet de modification de l’article R921-84 du code rural et de la pêche maritime., le 9 avril 2025 à 13h01
    Je soussigné bonnet hervé membre du COPERE, souhaite exprimer une opposition ferme à la modification proposée de l’article R.921-84 du Code rural et de la pêche maritime, et ce pour plusieurs raisons de fond. 1 - Une fausse clarification, source d’insécurité juridique La modification suggérée prétend résoudre un problème d’interprétation entre droit européen et droit national. En réalité, elle crée une nouvelle insécurité pour les pêcheurs de loisir, en instituant une logique de dérogation ponctuelle par arrêté ministériel. Cette approche rend la réglementation de la pêche récréative instable, difficile à comprendre et injustement complexe pour une pratique populaire, souvent familiale et non professionnelle. 2 - Un alignement abusif sur les règles de la pêche professionnelle Le texte conserve le principe fondamentalement injuste selon lequel la pêche de loisir est soumise aux mêmes règles que la pêche professionnelle, sauf exception explicite. Cette vision est incohérente avec les réalités de terrain : la pêche récréative ne poursuit pas les mêmes buts, ne prélève pas les mêmes quantités, et n’a ni les mêmes impacts, ni les mêmes obligations de rentabilité. Elle mérite donc une réglementation propre, stable et lisible. 3 - Un risque de dérive vers un permis de pêche en mer En multipliant les couches réglementaires, ce projet prépare potentiellement le terrain à une gestion administrative renforcée de la pêche récréative, qui pourrait à terme déboucher sur un permis obligatoire ou une taxation déguisée. Cela va à l’encontre de l’esprit de liberté et de gratuité qui caractérise historiquement cette pratique et qui en fait une activité accessible à tous. 4 - Une gouvernance opaque et déséquilibrée La création d’un groupe de travail composé notamment d’élus, d’administrations, des professionnels de la pêche, de structures associatives et de la représentation des fabricants et distributeurs de matériel, ne garantit en rien une représentation équitable des pratiquants de la pêche de loisir. Les pêcheurs de loisir indépendants et non fédérés que le COPERE représente, ne sont pas représentés dans ces instances. Cette réforme, dans sa forme comme dans son fond, manque de légitimité démocratique. 5 - Une réforme pour corriger une erreur d’application du droit européen Le problème mis en lumière, l’interdiction de la pêche du bar à pied dans des zones où le droit européen l’autorise explicitement résulte d’une mauvaise lecture administrative de la réglementation. Il serait donc plus juste de corriger cette erreur directement plutôt que de modifier l’article R.921-84 pour faire entrer dans le droit une exception mal fondée. En conclusion Je demande le retrait de ce projet de décret dans sa forme actuelle et l’ouverture d’un véritable débat public, impliquant directement les représentants de tous les pratiquants fédérés et non fédérés, afin de bâtir un cadre juridique stable, juste et respectueux de la spécificité de la pêche maritime de loisir. En tout état de cause et sans une réponse à la hauteur de l’enjeu de l’administration le COPERE exercera tous les recours possibles devant les juridictions compétentes pour dénoncer ce projet.
  •  CONTRE le projet de modification de l’article R921-84 du code rural et de la pêche maritime., le 9 avril 2025 à 12h58
    Je soussigné Anthony DESIRE membre du COPERE, souhaite exprimer une opposition ferme à la modification proposée de l’article R.921-84 du Code rural et de la pêche maritime, et ce pour plusieurs raisons de fond. 1 - Une fausse clarification, source d’insécurité juridique La modification suggérée prétend résoudre un problème d’interprétation entre droit européen et droit national. En réalité, elle crée une nouvelle insécurité pour les pêcheurs de loisir, en instituant une logique de dérogation ponctuelle par arrêté ministériel. Cette approche rend la réglementation de la pêche récréative instable, difficile à comprendre et injustement complexe pour une pratique populaire, souvent familiale et non professionnelle. 2 - Un alignement abusif sur les règles de la pêche professionnelle Le texte conserve le principe fondamentalement injuste selon lequel la pêche de loisir est soumise aux mêmes règles que la pêche professionnelle, sauf exception explicite. Cette vision est incohérente avec les réalités de terrain : la pêche récréative ne poursuit pas les mêmes buts, ne prélève pas les mêmes quantités, et n’a ni les mêmes impacts, ni les mêmes obligations de rentabilité. Elle mérite donc une réglementation propre, stable et lisible. 3 - Un risque de dérive vers un permis de pêche en mer En multipliant les couches réglementaires, ce projet prépare potentiellement le terrain à une gestion administrative renforcée de la pêche récréative, qui pourrait à terme déboucher sur un permis obligatoire ou une taxation déguisée. Cela va à l’encontre de l’esprit de liberté et de gratuité qui caractérise historiquement cette pratique et qui en fait une activité accessible à tous. 4 - Une gouvernance opaque et déséquilibrée La création d’un groupe de travail composé notamment d’élus, d’administrations, des professionnels de la pêche, de structures associatives et de la représentation des fabricants et distributeurs de matériel, ne garantit en rien une représentation équitable des pratiquants de la pêche de loisir. Les pêcheurs de loisir indépendants et non fédérés que le COPERE représente, ne sont pas représentés dans ces instances. Cette réforme, dans sa forme comme dans son fond, manque de légitimité démocratique. 5 - Une réforme pour corriger une erreur d’application du droit européen Le problème mis en lumière, l’interdiction de la pêche du bar à pied dans des zones où le droit européen l’autorise explicitement résulte d’une mauvaise lecture administrative de la réglementation. Il serait donc plus juste de corriger cette erreur directement plutôt que de modifier l’article R.921-84 pour faire entrer dans le droit une exception mal fondée. En conclusion Je demande le retrait de ce projet de décret dans sa forme actuelle et l’ouverture d’un véritable débat public, impliquant directement les représentants de tous les pratiquants fédérés et non fédérés, afin de bâtir un cadre juridique stable, juste et respectueux de la spécificité de la pêche maritime de loisir. En tout état de cause et sans une réponse à la hauteur de l’enjeu de l’administration le COPERE exercera tous les recours possibles devant les juridictions compétentes pour dénoncer ce projet.
  •   Contre le projet de modification de l’article R921-84 du code rural et de la pêche maritime., le 9 avril 2025 à 12h35
    Je ne souhaite pas que ce décret soit modifié aux profis des professionnels. J’ai le droit de contunuer à pêcher. Je soussigné Nicolas Delhelle
  •  Contre le projet de modification de l’article R921-84 du code rural et de la pêche maritime., le 9 avril 2025 à 12h22
    Je soussigné Christophe Bizet membre du COPERE, souhaite exprimer une opposition ferme à la modification proposée de l’article R.921-84 du Code rural et de la pêche maritime, et ce pour plusieurs raisons de fond. 1 - Une fausse clarification, source d’insécurité juridique La modification suggérée prétend résoudre un problème d’interprétation entre droit européen et droit national. En réalité, elle crée une nouvelle insécurité pour les pêcheurs de loisir, en instituant une logique de dérogation ponctuelle par arrêté ministériel. Cette approche rend la réglementation de la pêche récréative instable, difficile à comprendre et injustement complexe pour une pratique populaire, souvent familiale et non professionnelle. 2 - Un alignement abusif sur les règles de la pêche professionnelle Le texte conserve le principe fondamentalement injuste selon lequel la pêche de loisir est soumise aux mêmes règles que la pêche professionnelle, sauf exception explicite. Cette vision est incohérente avec les réalités de terrain : la pêche récréative ne poursuit pas les mêmes buts, ne prélève pas les mêmes quantités, et n’a ni les mêmes impacts, ni les mêmes obligations de rentabilité. Elle mérite donc une réglementation propre, stable et lisible. 3 - Un risque de dérive vers un permis de pêche en mer En multipliant les couches réglementaires, ce projet prépare potentiellement le terrain à une gestion administrative renforcée de la pêche récréative, qui pourrait à terme déboucher sur un permis obligatoire ou une taxation déguisée. Cela va à l’encontre de l’esprit de liberté et de gratuité qui caractérise historiquement cette pratique et qui en fait une activité accessible à tous. 4 - Une gouvernance opaque et déséquilibrée La création d’un groupe de travail composé notamment d’élus, d’administrations, des professionnels de la pêche, de structures associatives et de la représentation des fabricants et distributeurs de matériel, ne garantit en rien une représentation équitable des pratiquants de la pêche de loisir. Les pêcheurs de loisir indépendants et non fédérés que le COPERE représente, ne sont pas représentés dans ces instances. Cette réforme, dans sa forme comme dans son fond, manque de légitimité démocratique. 5 - Une réforme pour corriger une erreur d’application du droit européen Le problème mis en lumière, l’interdiction de la pêche du bar à pied dans des zones où le droit européen l’autorise explicitement résulte d’une mauvaise lecture administrative de la réglementation. Il serait donc plus juste de corriger cette erreur directement plutôt que de modifier l’article R.921-84 pour faire entrer dans le droit une exception mal fondée. En conclusion Je demande le retrait de ce projet de décret dans sa forme actuelle et l’ouverture d’un véritable débat public, impliquant directement les représentants de tous les pratiquants fédérés et non fédérés, afin de bâtir un cadre juridique stable, juste et respectueux de la spécificité de la pêche maritime de loisir. En tout état de cause et sans une réponse à la hauteur de l’enjeu de l’administration le COPERE exercera tous les recours possibles devant les juridictions compétentes pour dénoncer ce projet.
  •  contre le projet de modification de l’article R921-84 du code rural et de la pêche maritime, le 9 avril 2025 à 12h11
    Je soussigné François DELOT, membre du COPERE, souhaite exprimer une opposition ferme à la modification proposée de l’article R.921-84 du Code rural et de la pêche maritime, et ce pour plusieurs raisons de fond. 1 - Une fausse clarification, source d’insécurité juridique La modification suggérée prétend résoudre un problème d’interprétation entre droit européen et droit national. En réalité, elle crée une nouvelle insécurité pour les pêcheurs de loisir, en instituant une logique de dérogation ponctuelle par arrêté ministériel. Cette approche rend la réglementation de la pêche récréative instable, difficile à comprendre et injustement complexe pour une pratique populaire, souvent familiale et non professionnelle. 2 - Un alignement abusif sur les règles de la pêche professionnelle Le texte conserve le principe fondamentalement injuste selon lequel la pêche de loisir est soumise aux mêmes règles que la pêche professionnelle, sauf exception explicite. Cette vision est incohérente avec les réalités de terrain : la pêche récréative ne poursuit pas les mêmes buts, ne prélève pas les mêmes quantités, et n’a ni les mêmes impacts, ni les mêmes obligations de rentabilité. Elle mérite donc une réglementation propre, stable et lisible. 3 - Un risque de dérive vers un permis de pêche en mer En multipliant les couches réglementaires, ce projet prépare potentiellement le terrain à une gestion administrative renforcée de la pêche récréative, qui pourrait à terme déboucher sur un permis obligatoire ou une taxation déguisée. Cela va à l’encontre de l’esprit de liberté et de gratuité qui caractérise historiquement cette pratique et qui en fait une activité accessible à tous. 4 - Une gouvernance opaque et déséquilibrée La création d’un groupe de travail composé notamment d’élus, d’administrations, des professionnels de la pêche, de structures associatives et de la représentation des fabricants et distributeurs de matériel, ne garantit en rien une représentation équitable des pratiquants de la pêche de loisir. Les pêcheurs de loisir indépendants et non fédérés que le COPERE représente, ne sont pas représentés dans ces instances. Cette réforme, dans sa forme comme dans son fond, manque de légitimité démocratique. 5 - Une réforme pour corriger une erreur d’application du droit européen Le problème mis en lumière, l’interdiction de la pêche du bar à pied dans des zones où le droit européen l’autorise explicitement résulte d’une mauvaise lecture administrative de la réglementation. Il serait donc plus juste de corriger cette erreur directement plutôt que de modifier l’article R.921-84 pour faire entrer dans le droit une exception mal fondée. En conclusion Je demande le retrait de ce projet de décret dans sa forme actuelle et l’ouverture d’un véritable débat public, impliquant directement les représentants de tous les pratiquants fédérés et non fédérés, afin de bâtir un cadre juridique stable, juste et respectueux de la spécificité de la pêche maritime de loisir. En tout état de cause et sans une réponse à la hauteur de l’enjeu de l’administration le COPERE exercera tous les recours possibles devant les juridictions compétentes pour dénoncer ce projet.