Consultation du 20/11/2025 au 22/12/2025 : arrêté modifiant l’arrêté du 22 juillet 2020 définissant les zones exposées au phénomène de mouvement de terrain différentiel consécutif à la sécheresse et à la réhydratation des sols argileux

Consultation du 20/11/2025 au 22/12/2025 - 26 contributions

La présente consultation concerne le projet d’arrêté modifiant l’arrêté du 22 juillet 2020 définissant les zones exposées au phénomène de mouvement de terrain différentiel consécutif à la sécheresse et à la réhydratation des sols argileux.

Vous pouvez consulter ce projet d’arrêté et faire part de vos observations, en cliquant sur le lien "déposer votre commentaire" en bas de page, du 20 novembre au 22 décembre 2025 inclus.

Le retrait-gonflement des argiles, accentué par le changement climatique, est la cause de nombreux sinistres sur des maisons individuelles (fissures majeures, déformation des murs pouvant conduire à des difficultés pour ouvrir ou fermer les ouvrants (portes, fenêtres)) pouvant aller jusqu’à rendre les maisons inhabitables.

Le RGA constitue ces dernières années le phénomène le plus coûteux pour le régime d’indemnisation des catastrophes naturelles (« régime Cat Nat ») : la part du coût lié au RGA a atteint 70% pour les cinq dernières années (soit environ 1,1 Md€ par an). La sécheresse de 2022 a coûté à elle seule plus de 3,5 milliards d’euros aux assureurs.

Le phénomène de RGA touche particulièrement les maisons individuelles, puisqu’elles disposent le plus souvent de fondations plus légères que les bâtiments collectifs. C’est pourquoi l’article 68 de la loi n° 2018-1021 du 23 novembre 2018 portant évolution du logement, de l’aménagement et du numérique (dite « loi Élan ») impose depuis octobre 2020 de mettre en œuvre des prescriptions constructives adaptées dans les zones les plus exposées (zones moyenne et forte) définies par la carte d’exposition des formations argileuses au phénomène de RGA.

10,4 millions de maisons individuelles se situent actuellement en zones d’exposition moyenne ou forte. Ces zones d’expositions sont définies par la carte d’exposition au RGA (arrêté du 22 juillet 2020 sus mentionné), qui a été établie par le croisement de la susceptibilité et de la sinistralité (enregistrée sur la période 1989-2017). La carte s’applique sur le territoire hexagonal et la Corse.

Pour intégrer les effets du changement climatique, la mesure 5 du troisième Plan national d’adaptation au changement climatique (PNACC) prévoit notamment la mise à jour de la carte d’exposition au RGA en 2025 : cette mise à jour prend en compte la forte sinistralité de ces dernières années (environ 240 000 sinistres RGA entre 2018 et 2022, soit 58 % de la totalité des sinistres RGA depuis 1989). La note méthodologique jointe dans les pièces de la consultation présente plus en détails les modalités de mise à jour.

L’objet de l’arrêté soumis à consultation vise donc à substituer la carte en vigueur par la carte mise à jour. Cette carte mise à jour est consultable sur le site Géorisques : https://www.georisques.gouv.fr/cartes-interactives#/.
Les données sont également téléchargeables par département sur le site de Géorisques : https://www.georisques.gouv.fr/donnees/bases-de-donnees/retrait-gonflement-des-argiles-projet-2025

La mise à jour de la carte d’exposition entraîne une augmentation des zones d’exposition moyenne et forte, c’est-à-dire celles soumises aux dispositions de la loi Élan : elles représentent dorénavant 55 % du territoire hexagonal contre 48 % en 2020 et concernent désormais 12,1 millions de maisons individuelles existantes (soit 61,5 % des maisons individuelles) contre 10,3 millions en 2020 (soit 52,5 % des maisons individuelles).

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Commentaires

  •  Maîtrise du risque géotechnique et généralisation, le 2 décembre 2025 à 10h15
    1. Enjeu stratégique La maison individuelle demeure un segment majeur du marché. Dans un contexte d’intensification du retrait-gonflement des argiles (RGA) liée au changement climatique, la maîtrise du risque géotechnique devient déterminante pour la performance technique, économique et assurantielle de nos opérations. Les sinistres RGA connaissent une croissance forte en fréquence et en sévérité. Les techniques particulières de construction, historiquement tolérées, ne couvrent plus ce risque de manière suffisante. Les référentiels (DTU 13.1 notamment) imposent désormais un recours systématique à une étude géotechnique G2 PRO en zones d’aléa moyen ou fort. 2. Position proposée 2.1. Renforcer l’exigence de l’étude G2 en amont Généraliser la réalisation d’une G2 AVP ou PRO avant acquisition foncière ou signature de contrat. Objectifs :
    - éviter les avenants illégaux en CCMI ;
    - fiabiliser le prix du foncier et le coût prévisionnel des fondations ;
    - réduire la sinistralité structurelle. 2.2. Conditionner les garanties d’assurance à la présence d’une G2 conforme En l’absence d’étude géotechnique réalisée en amont :
    - conditionner la souscription DO, CNR et RCD à la fourniture d’une G2 conforme aux normes ;
    - harmoniser cette exigence pour tous les intervenants (constructeurs, contractants généraux, MOE/MOA). Objectifs :
    - homogénéiser la prévention sur l’ensemble des constructions ;
    - limiter les pratiques de contournement et améliorer la qualité des ouvrages ;
    - stabiliser les coûts d’indemnisation.
  •  Ministère de la Transition écologique - Compléments d’informations et prolongation de la consultation publique, le 1er décembre 2025 à 17h20

    Message du Ministère de la Transition écologique, de la Biodiversité et des Négociations internationales sur le climat et la nature - Direction Générale de la Prévention des Risques :

    Afin de tenir compte des différentes contributions relatives à la lisibilité de la carte et à l’absence d’information sur la méthodologie d’élaboration de la carte, des compléments d’informations ont été apportés en date du 1er décembre :
    - la carte a été mise en consultation sur le site de Géorisques : https://www.georisques.gouv.fr/cartes-interactives#/.
    - les données SIG sont téléchargeables par département sur le site de Géorisques :
    https://www.georisques.gouv.fr/donnees/bases-de-donnees/retrait-gonflement-des-argiles-projet-2025.
    - une note méthodologique a également été déposée.

    Compte tenu de ces nouveaux éléments, la consultation est prolongée jusqu’au 22 décembre inclus.

  •  Carte illisible, le 1er décembre 2025 à 15h05
    Bonjour, la carte est illisible, impossible de voir si une commune se trouve impactée ou non et de voir les modifications apportées. Donc projet plutôt flou… Clt.
  •  Consultation sur l’arrêté du 22 juillet 2020, le 1er décembre 2025 à 09h07
    Tout d’abord, la qualité de la carte ne permet pas de consultation précise et encore moins de constater les modifications de l’arrêté initial. Par ailleurs, la commune des Sorinières (44840) ne semble pas être concernée par le phénomène de retrait/gonflement des sols argileux alors que de nombreuses habitations sont touchées par l’apparition de fissures. D’autres décalages pourrait sûrement être identifiés avec une cartographie précise.
  •  Sols argileux Creuse Nord 23600, le 30 novembre 2025 à 08h33

    Bonjour,

    J’habite sur la commune de Bussière-Saint-Georges, lieu dit Salvot (23600). Une fissure est apparue le long du mur de la maison causée selon un expert par un sol argileux. L’actuelle carte sur https://georisques.gouv.fr/mes-risques/connaitre-les-risques-pres-de-chez-moi/rapport2?form-adresse=true&isCadastre=false&city=Bussiere-saint-georges&type=adresse&typeForm=adresse&codeInsee=23038&lon=2.142643&lat=46.405653&go_back=/&propertiesType=housenumber&adresse=6%20Route%20de%20l%E2%80%99Eglise%2C%2023600%20Bussi%C3%A8re-Saint-Georges&longitude=2.142643&latitude=46.405653&commune=Bussiere-saint-georges

    Montre un risque faible concernant le retrait gonflement d’argiles.

    Je vous remercie d’avance.
    Cordialement ,

  •  Carte illisible , le 29 novembre 2025 à 20h05
    Nous devons avoir une carte lisible à échelle de notre departement / commune. La consultation et par conséquent le projet ne peut avoir lieu sans ça
  •  POUR QUAND UN DECRET IMPOSANT LA G2 AVP avant toute CONSTRUCTION, le 29 novembre 2025 à 14h56

    Actuellement, l’obligation de réaliser une étude de sol préalable (G1 PGC) est principalement limitée à la vente d’un terrain non bâti situé en zone d’aléa "moyen" ou "fort" au titre du Retrait-Gonflement des Argiles (RGA), conformément à l’article L112-20 du Code de la construction et de l’habitation, issu de la Loi ÉLAN (Évolution du Logement, de l’Aménagement et du Numérique).

    Cette approche, bien que louable, est insuffisante pour garantir la sécurité et la durabilité des ouvrages sur l’ensemble du territoire national. L’anticipation des risques liés au sol est pourtant le seul moyen efficace de réduire la sinistralité et les coûts sociaux et économiques associés.

    Objectifs et Avantages de l’Extension de l’Obligation
    Je propose d’étendre l’obligation de réaliser une étude géotechnique de conception de phase Avant-Projet (G2 AVP minimum) à tout projet de construction (maison individuelle, bâtiment collectif, etc.), quelle que soit :
    - La zone sismique concernée.
    - La sensibilité au RGA de la parcelle.

    1. Maîtrise et Réduction des Risques
    L’étude G2 AVP, en phase de conception, permet d’identifier et de caractériser de manière exhaustive l’ensemble des risques liés au sol, au-delà du seul RGA :

    Présence de nappe phréatique (implications pour les fondations et l’étanchéité).

    Présence de gaz Radon (nécessité de systèmes d’évacuation ou de protection).

    Cavités souterraines, anciennes carrières ou remblais (nécessitant des fondations spéciales).

    Risques sismiques ou de liquéfaction.

    En intégrant ces données dès l’avant-projet, les solutions de fondations et les dispositifs constructifs peuvent être dimensionnés de manière optimale et préventive.

    2. Sécurité Économique pour le Maître d’Ouvrage
    L’intégration précoce de la géotechnique permet au maître d’ouvrage (particulier ou professionnel) de maîtriser ses coûts de construction en amont. En effet, la connaissance précise du sol permet :

    D’éviter les surcoûts imprévus en cours de chantier, souvent engendrés par la découverte tardive d’un aléa (changement de type de fondations, drainage, etc.).

    D’optimiser le choix et le dimensionnement des fondations, évitant ainsi un surdimensionnement inutile ou, à l’inverse, un sous-dimensionnement dangereux.

    3. Équité et Transparence du Marché
    L’obligation générale d’une étude G2 AVP permet de rétablir une concurrence loyale entre les différents acteurs de la construction (constructeurs, architectes, maîtres d’œuvre). Elle met fin à la pratique consistant à minimiser les coûts initiaux en ignorant volontairement les risques, ce qui conduit in fine à une sinistralité accrue et à une détérioration de l’image de la filière.

    La législation pourrait être modifiée afin d’intégrer l’obligation de la fourniture d’une étude géotechnique G2 AVP (ou équivalent) pour le dépôt de toute demande de Permis de Construire ou de Déclaration Préalable relative à la création d’une nouvelle surface de plancher.

    Cette mesure, simple dans son application, est un investissement minimal pour des bénéfices majeurs en termes de prévention des risques, de sécurité publique et de soutenabilité économique pour l’ensemble du secteur de la construction et des assureurs.

  •  demande de modification cartographie commune de Moulins-sur-Céphons (36), le 27 novembre 2025 à 17h27
    Habitant la commune de Moulins-sur-Céphons dans l’Indre, je viens de regarder la carte soumise à enquête et je m’aperçois que ma maison, située lieu-dit La Planche à l’Aubier, pourtant située sur un massif argileux très important n’est pas incluse dans la zone exposition au retrait-gonflement des argiles qualifiée d’importante, elle est seulement dans la zone qualifiée de modérée. A l’appui de ma demande de modification de la limite de la cartographie, j’ai pu constater que le massif argileux atteint une profondeur de plus de 2m sous ma maison. Des désordres sont existants et les conditions climatiques récentes font que cette situation se dégrade. Je me tiens à votre disposition pour apporter toutes informations complémentaires pour appuyer ma demande de modification. Bien cordialement.
  •  Comment faire reconnaître un secteur à risque au regard des dégâts réellement constatés?, le 27 novembre 2025 à 13h37
    Le lien vers la carte n’est pas donné, cette consultation se donne t elle les moyens d’aller au delà de l’obligation de consultation? Je suis personnellement touché par le phénomène rue Léon Jouhaux, à Tourcoing et mon habitation n’est pas en zone rouge, juste orange. Je souhaite ici faire connaître et reconnaître la réalité de mon sinistre et la sensibilité de mon secteur par le biais de cette consultation.
  •  Chancelade 24650 en Dordogne , le 26 novembre 2025 à 20h36
    Depuis maintenant 3 ans nous sommes une cinquantaine de propriétaires à avoir déposé des dossiers complets à la mairie et chaque fois même réponse de la préfecture "non classé zone sinistrée" Alors que toutes les petites communes alentours sont elles classés et depuis belle lurette indemnisées Les assurances ne peuvent commencer les travaux sans cette reconnaissance et nous voyons nos maisons se détériorer de plus en plus chaque année qui passe Merci pour cette révision en espérant que notre petite commune soit enfin reconnue.
  •  Importance de l’ingénierie géotechnique préalable dans la construction de maisons individuelles neuves, le 26 novembre 2025 à 12h44

    Bonjour,

    La maison individuelle demeure le segment résidentiel majoritaire en France. À ce titre, la maîtrise du risque géotechnique constitue un prérequis indispensable avant tout engagement contractuel entre maître d’ouvrage et constructeur.

    Les évolutions récentes du climat, et notamment l’intensification des cycles de retrait-gonflement des sols argileux (RGA), ont entraîné une augmentation significative des profondeurs hors dessiccation. Dans ce contexte, les techniques particulières de fondation, historiquement tolérées dans certains cas, ne présentent plus un niveau de résilience suffisant face aux sollicitations mécaniques induites par ces phénomènes.
    Par ailleurs, le DTU 13.1 – Conception et calcul des fondations superficielles rappelle que, dans les zones d’aléa moyen ou fort vis-à-vis du RGA, la réalisation d’une étude géotechnique de type G2 PRO constitue une exigence essentielle pour définir :

    - les caractéristiques mécaniques des horizons porteurs ;
    - la profondeur d’ancrage des semelles ou radiers ;
    - les dispositions constructives nécessaires pour garantir la stabilité de l’ouvrage.

    La suppression de la possibilité de recourir aux techniques particulières est cohérente avec ce référentiel, celles-ci n’étant plus adaptées aux contraintes géomécaniques observées.

    Intérêt opérationnel d’une G2 réalisée avant acquisition foncière
    La conduite d’une mission G2 (phase AVP ou PRO) avant la signature d’un contrat ou l’achat du terrain constitue un levier stratégique pour le maître d’ouvrage. Cette étude permet de :
    - quantifier précisément le coût des fondations adaptées (semelles filantes approfondies, radiers, micropieux, etc.) et supprimer les avenants d’adaptation post signature du contrat et non conforme juridiquement dans le cadre d’un CCMI ;
    - ajuster l’évaluation du coût global du foncier en intégrant les contraintes géotechniques ;
    - prévenir les désordres structurels, notamment fissurations différentielles liées au RGA.

    Elle participe ainsi à la sécurisation technique, juridique et financière de l’opération.

    Dans les cas où l’étude G2 n’a pas été réalisée en amont, il apparaît pertinent de conditionner la souscription des garanties d’assurance (DO, CNR, RCD) à la fourniture d’une étude géotechnique G2 conforme aux normes en vigueur. Cette exigence permet peu importe le professionnel à l’acte de construire (Constructeurs, Maîtres d’œuvre/Architecte, Contractant général…) :

    - d’élever le niveau de prévention du risque ;
    - de réduire l’exposition aux sinistres RGA, dont la fréquence et les coûts indemnisés sont en forte croissance ;
    - de lutter contre les pratiques déloyales, en valorisant les opérateurs intégrant les exigences techniques dès la conception.

    Enfin, il apparaît nécessaire de mettre en place un dispositif de suivi continu des opérateurs (constructeurs, maîtres d’œuvre, entreprises exécutantes) fondé sur une surveillance préventive systématique, pilotée ou coordonnée par les assureurs.
    Ce suivi pourrait prendre la forme :

    - d’un audit technique annuel, réalisé selon un protocole standardisé (contrôle des procédures internes, vérification des études préalables, conformité aux normes DTU, gestion des interfaces, traçabilité des contrôles et autocontrôles) ;
    - d’un examen technique préalable au renouvellement des contrats d’assurance (RCD, CNR, DO), conditionnant la poursuite de la garantie à la mise en œuvre et au respect des bonnes pratiques constructives ;
    - d’un reporting géotechnique, structurel et organisationnel permettant l’évaluation du niveau de maîtrise du risque par l’opérateur.

    L’objectif est double :
    Renforcer la prévention des sinistres en s’assurant de la bonne application des référentiels techniques, notamment en matière de géotechnique et de conception des ouvrages fondés sur des sols sensibles.
    Valoriser les opérateurs conformes et performants, en instaurant un mécanisme incitatif et avantageuse qui différencie les acteurs respectueux des règles professionnelles et des obligations techniques.
    Ce dispositif contribue à instaurer une culture de prévention structurée, améliore la qualité des ouvrages et participe à la stabilisation du risque pour les assureurs comme pour les maîtres d’ouvrage.

    Restant à votre disposition,

  •  Carte illisible - procédure illégale, le 26 novembre 2025 à 11h36
    Je suis entièrement d’accord avec le commentaire en date du 21/11/2025 à 10h20.
  •  Carte illisible ! , le 26 novembre 2025 à 11h19
    Impossible de zoomer sur la carte, par ailleurs le lien vers le site géorisque renvoie vers la page d’accueil, impossible de trouver la carte sur le site.
  •  Evolution de la carte , le 25 novembre 2025 à 18h38
    la carte proposée ne met pas en avant les nouvelles zones concernées ni les éventuelles zones supprimées.
  •  Carte introuvable ?, le 25 novembre 2025 à 17h29
    Comment faire un commentaire avisé si on ne peut pas accéder au projet de carte ?
  •  Cartographie trop macro, le 25 novembre 2025 à 16h30
    La carte proposée n’est pas assez facilement lisible : il n’est pas possible de zoomer précisément sur un lieu… La consultation publique est donc inadaptée.
  •  carte illisible et critères non évaluables à l’échelon local, le 25 novembre 2025 à 16h02
    Afin d’apprécier si la requalification à la hausse du risque RGA est pertinente, il conviendrait que la carte soit zoomable par département et par commune. Et il conviendrait également que la matrice d’évaluation du risque (critères et pesées) soit communiquée en toute transparence. Il est d’ores et déjà certain que la qualification en risque moyen et élevée n’est crédible et appropriable que si elle est étayée par des éléments transparents et accessibles partagés avec les citoyens
  •  Carte illisible, le 25 novembre 2025 à 10h52

    Bonjour,

    merci de publier une carte lisible en haute définition et dans un format exploitable sur outil SIG (format .SHP si possible).

  •  Comment la carte est-elle obtenue ?, le 25 novembre 2025 à 08h54
    La note n’explique pas comment est constituée la carte. le croisement de susceptibilité et de sinistralité n’est pas évoqué. Aucune explication sur comment les niveaux de susceptibilité sont définis et comment la sinistralité est calculée.
  •  cartographie illisible, le 21 novembre 2025 à 13h59
    Pourquoi faire une consultation si la carte n’est pas accessible ?

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