Projet d’arrêté accordant dérogation à l’interdiction d’addition de radionucléides, énoncée à l’article R. 1333-2 du code de la santé publique, pour l’ajout de krypton-85 et du thorium-232 dans certaines lampes à décharge
Consultation du 27/11/2025 au 07/12/2025 - 13 contributions
Ce projet d’arrêté ministériel prévoit une dérogation à l’interdiction d’ajout de radionucléides fixée par l’article R.1333-2 du code de la santé publique. Il s’inscrit dans la continuité de la dérogation déjà accordée pour cinq ans par l’arrêté du 25 mai 2020.
Conformément à l’article R. 1333-4 du même code, de telles dérogations peuvent être délivrées lorsque les avantages qu’elles présentent justifient les risques sanitaires potentiels.
Par rapport à l’arrêté précédent, seul l’article 4 est modifié : il introduit l’obligation de réaliser, dans un délai de deux ans après la publication du nouvel arrêté, un bilan de l’usage des lampes à décharge pour l’éclairage public et automobile. Ce bilan doit permettre d’évaluer l’avancement de leur remplacement par d’autres technologies et d’identifier les besoins éventuels d’accompagnement.
Commentaires
Le krypton est particulièrement dangereux :
Un gramme de krypton 85 présente une radioactivité de 14,5 × 1012 Bq.
Il a une demi-vie de 10,756 ans et une énergie de désintégration de 687 keV[
Les ampoules utilisées dans les automobiles ont tendance à se casser en cas de chocs, ce qui libèrerait le gaz déjà radioactif quand il est prisonier dans le bulbe de l’ampoule.
A BANIR DE TOUTE UTILISATION OU VIVENT DES HUMAINS ;
C’est n’importe quoi, on sait très bien s’éclairer sans utiliser d’éléments radioactifs.
Intérêt = aucun.
Risque sanitaire = certain.