décret relatif à la décentralisation de la gestion des sites Natura 2000 exclusivement terrestres et modifiant certaines dispositions relatives à Natura 2000
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Commentaires
Je demande la suppression du point 37 (alevinage) du projet.
. Les opérations d’alevinage ne peuvent être soumises à évaluation d’incidence au titre de Natura 2000.
.Soumettre les alevinages à une telle procédure conduira irrémédiablement à la fin de la pisciculture extensive en étangs d’abord , à l’atterrissement des étangs ensuite .
.L’ajout des alevinages au sein des opérations soumises à évaluation d’incidence N2000 est un nouveau signal de la stratégie du MTES à voir disparaître la pisciculture en étangs et l’ensemble de la filière attachée .
Complètement opposé au point 37. C’est la mort de la pisciculture.
Je suis en désaccord complet avec l article 37 et demande sa suppression du projet.
Je suis en désaccord complet avec l article 37 et demande sa suppression du projet.
Les opérations d’alevinage ne peuvent être soumises à évaluation d’incidence au titre de Natura 2000
Procéder ainsi conduirait à la fin de la pisciculture en étangs
Les opérations d’alevinage ne peuvent être soumises à évaluation d’incidence au titre de Natura 2000
Procéder ainsi conduirait à la fin de pisciculture en étangs
Bonjour, une étude d’impact pour pratiquer l’alevinage et un reempoisonnement est à supprimer.
Une étude d’impact c’est 4/5000€
Son maintien serait une condamnation de cette pratique utile pour faire vivre un etang.
Un mauvais coup pour les professionnels et un mauvais coup pour la reconquête d’une biodiversité lorsqu’elle est menacée.
Laissez vivre le territoire rural.
Bonjour, une étude d’impact pour pratiquer l’alevinage et un reempoisonnement est à supprimer.
Une étude d’impact c’est 4/5000€
Son maintien serait une condamnation de cette pratique utile pour faire vivre un etang.
Un mauvais coup pour les professionnels et un mauvais coup pour la reconquête d’une biodiversité lorsqu’elle est menacée.
Laissez vivre le territoire rural.
Il est nécessaire et utile de conserver ces pratiques de chasse sélectives qui permettent de réguler le gibier et surtout de garder la chevrotine qui est bien sûr moins dangereuse que la balle avec le biotope de la chalosse ( petite région des landes) .
cordialement P Lubet
Il est nécessaire et utile de conserver ces pratiques de chasse sélectives qui permettent de réguler le gibier et surtout de garder la chevrotine qui est bien sûr moins dangereuse que la balle avec le biotope de la chalosse ( petite région des landes) .
cordialement P Lubet
le point 37 est beaucoup trop contraignant et fera engager d’importantes dépenses à un simple propriétaire d’étang pour réintroduire du poisson. Ce sera donc la fin du rempoissonnement.
Je demande la suppression du point 37 de ce projet de décret.
jE SOUHAITE VOIR SUPPRIMER LE POINT 37 afin de permettre après une pêche le réempoisonnement d’un étang par un professionnel
Au-delà du fait que cette terminologie « alevinage » n’est nulle part définie réglementairement, nous comprenons que toute mise en place de poissons, que ce soit dans un étang ou dans un cours d’eau, devra dorénavant faire l’objet d’une étude d’incidence au titre de Natura 2000.
Nous vous informons que l’alevinage fait partie des opérations nécessaires à nos exploitations, elle succède à la mise en eau des étangs et précède leur vidange et la récolte du poisson après grossissement et reproduction.
Exiger des pisciculteurs une étude d’incidence N 2000 pour toute opération d’alevinage, c’est comme contraindre un céréalier à produire le même type d’étude avant son semis de maïs ! C’est surtout totalement incompatible avec nos activités et sans intérêt aucun pour la biodiversité.
Nous vous rappelons que les plus grandes zones de production piscicole sont en zone Natura 2000, Brenne, Dombes, Forez, Sologne… Ainsi donc chaque exploitant piscicole devrait produire et donc financer une étude d’incidence avant tout déversement de poisson dans chaque étang qu’il exploite ! Chaque association de pêcheurs devrait conduire le même type d’étude pour tout déversement de poisson dans les eaux qu’il gère !
Vous comprendrez, Monsieur le ministre, que l’intégration du point 37 « alevinage » dans ledit projet de Décret est une erreur grave, qu’il convient urgemment de corriger
Bonjour
Après lecture du projet concerné, je demande la suppression du point 37 de ce projet de decret.
vous souhaitant bonne réception de cette demande
cordialement
Bonjour
Après la lecture du projet de décret, je demande la suppression du point 37 de ce projet de décret
cordialement
Je demande que ce paragraphe soit supprimé ou précisé car tel qu’écrit il risque d’empêcher sinon de supprimer la pisciculture extensive dans les étangs, en particulier en Sologne où j’habite, zone entièrement dans Natura 2000.
Je demande que ce paragraphe soit supprimé ou précisé car tel qu’écrit il risque d’empêcher sinon de supprimer la pisciculture extensive dans les étangs, en particulier en Sologne où j’habite, zone entièrement dans Natura 2000.
Je demande que ce paragraphe soit supprimé ou précisé car tel qu’écrit il risque d’empêcher sinon de supprimer la pisciculture extensive dans les étangs, en particulier en Sologne où j’habite, zone entièrement dans Natura 2000.
Le conseil régional est composé d’élus (qui dictent les politiques régionales) très proches des territoires dans lesquels les sites Natura 2000 sont désignés.
A ce titre, la présence de ces élus dans les COPIL et les démarches de concertation est nécessaire.
Par contre, ces élus sont soumis à des pressions très locales de divers acteurs que les sites Natura 2000 irritent. En tant qu’acteurs orientant directement la gestion des sites, cela fait des élus régionaux des cibles faciles de certains groupes de pression.
Parallèlement, les enjeux de biodiversité sont encore très mal compris de la plupart des élus locaux. Ces enjeux sont confondus avec ceux de changements climatiques, la dimension des services écosystémiques, de la valeur patrimoniale de certaines espèces et habitats sont autant d’éléments à 1000 lieues de leurs préoccupation.
Dans ce contexte, leur confier la responsabilité de gérer ces sites représente pour le moins une aberration.
Et le risque c’est que la nature et la biodiversité - qui sont d’intérêt commun - en paie encore et toujours les pots cassés.