Projet de décret fixant les règles et procédures applicables à la destruction de haies

Ce texte est une porte ouverte à la poursuite de la destruction des haies dans un seul souci lucratif.

70% des haies, indispensables à la vie de la faune, de la flore, à la préservation de l’eau et à sa filtration etc. ont déjà disparu pour permettre des gains faciles à l’agro industrie

Vu que aucun régime politique n’a le courage de freiner l’appétit financier dévorant de l’agriculture conventionnelle, il convient de ne pas accentuer cette destruction de ce qui devrait être classé comme bien commun

Les haies ne sont pas des obstacles à notre agriculture, au contraire, elles protègent les sols, accueillent la vie, limitent les effets du vent, retiennent l’eau,preservent nos paysages. Stoppons cette destruction absurde, ne recommençons pas les erreurs du remembrement.

l’avis argumenté du CNPN devrait suffire à empêcher ce décret dicté par les syndicats agricoles majoritaires, au mépris du propre intérêt économique de leurs adhérents. une aberration, et une ignominie pour l’eau et les sols, supports de la production agricole, la nature et les générations futures

De nombreuses espèces, dont des espèces protégées, sont abritées par une haie.

La destruction de cette dernière impacte directement certaines espèces, puisque leur habitat est détruit. Le projet de décret ne tient pas compte de ces effets.

Décret totalement absurde et, a bannir. Les haies sont favorables à la biodiversité.

Ce décret donne le droit et facilite la destruction des haies en utilisant le principe de "compensation" . Cela ne peut de plus que nuire à l’objectif de diminuer les émissions de gaz à effet de serre avancent masquées ! Comment faire croire que jouer sur la compensation va effacer des destructions ? Combien de temps pour reconstruire un écosystème viable qui, de toute façon, ne réparera jamais ce qui a été détruit ?

On arrache les haies, on les replante et on les arrache à nouveau. Au bénéfice de qui ? Pas des oiseaux en tout cas ! Et si on laissait un peu de liberté à ceux qui vivent au quotidien au plus proche de la terre. Le bon sens se développe très peu derrière un bureau.

Ce texte est une porte ouverte à la poursuite de la destruction des haies dans un seul souci lucratif.

70% des haies, indispensables à la vie faune/flore, à la préservation de l’eau et à sa filtration etc ont déjà disparu pour permettre des gains faciles à l’agro industrie

Vu que aucun régime politique n’a le courage de freiner l’appétit financier dévorant de l’agriculture conventionnelle, il convient de ne pas accentuer cette destruction de ce qui devrait être classé comme bien commun

Les haies sont le refuge et le garde-manger d’un grand nombre d’animaux. Il faut les préserver.

Une définition de la haie inadaptée, qui facilite sa destruction !
Les trouées, constituées de végétation (ronces, arbustes, buissons), font partie intégrante d’une haie. Or, l’administration exclut des linéaires de haie les trouées de plus de 5 m. En les retirant, on réduit artificiellement la longueur réelle des haies, ce qui diminue leur niveau de protection et réduit également les compensations en cas de destruction.

Un traitement automatisé des demandes de destruction qui ne permet pas de protéger les haies.
Les autorisations de destruction de haies sont basées sur une cartographie générée de façon semi-automatique (photos aériennes), où de nombreuses erreurs sont présentes, ce qui peut faciliter la destruction de ces haies.

La séquence Éviter-Réduire-Compenser (ERC) impose à tout porteur de projet de démontrer qu’il a d’abord évité les atteintes à la biodiversité, puis réduit celles qui n’ont pas pu être évitées et, en dernier recours, compensé les impacts résiduels. Or, le projet de décret ne prévoit aucune prise en compte de l’ERC : le dispositif l’oriente directement vers la compensation.

De nombreuses espèces, dont des espèces protégées, sont abritées par une haie.
La destruction de cette dernière impacte directement certaines espèces, puisque leur habitat est détruit. Le projet de décret ne tient pas compte de ces effets

Le gouvernement nous habitue à des décrets tous aussi stupides les uns que les autres avec pour objectif une pseudo "simplification", mais j’avoue que là, vous vous surpassez : simplifier la destruction de haies pour mieux les préserver et en augmenter la quantité … Parce que vous croyez sincèrement qu’une nouvelle haie repoussera en 1 année, pour compenser celle qui aura été détruite ? Et surtout, qui ira vérifier si ces haies auront été replanté, sachant que vous baissez chaque les budgets des organismes censés le faire ? Les grands penseurs de ce décret ont séché les cours de science, non ?

Les haies doivent être considérées . pourquoi mes saisies sont t elles refusées avec différents messages d erreur ? jean bernard 57

Je refuse catégoriquement ce décret. Après les milliers de projets écocidaires qui fleurissent partout, il faudrait agir pour le bien commun et non pas l’inverse.

Pourquoi les animaux devraient toujours perdre leur espace pour faire plaisir à nos paysans ci nos ancien on fait des hais et des murger c était pour les animaux

Contre ce projet absurde !

les haies sont deja dans un etat de conservation deplorable, arretons le carnage !

Cela est inentendable et inenvisageable !

Les autorisations de destruction de haies sont basées sur une cartographie générée de façon semi-automatique (photos aériennes), où de nombreuses erreurs sont présentes, ce qui peut faciliter la destruction de ces haies.

De nombreuses espèces, dont des espèces protégées, sont abritées par une haie.

La destruction de cette dernière impacte directement certaines espèces, puisque leur habitat est détruit. Le projet de décret ne tient pas compte de ces effets.

Des subventions ont été engagées pour planter, ce serait marcher sur la tête que de dédommager la destruction des ces micro-ecosysteme. Ce sont des refuges pour de nombreuses espèce, dont certaines sont protégées, et qui servent la faune de notre territoire. Au delà de la faune, ces haies aident à l’infiltration des eaux de pluies, réduisant l’impact de l’irrigation sur les nappes phréatiques et limitant les risques d’érosion.

Comment est il possible d’envisager un tel décret. Je refuse catégoriquement ce projet.

Une définition de la haie inadaptée, qui facilite sa destruction !
Les trouées, constituées de végétation (ronces, arbustes, buissons), font partie intégrante d’une haie. Or, l’administration exclut des linéaires de haie les trouées de plus de 5 m. En les retirant, on réduit artificiellement la longueur réelle des haies, ce qui diminue leur niveau de protection et réduit également les compensations en cas de destruction.

Un traitement automatisé des demandes de destruction qui ne permet pas de protéger les haies.

Les autorisations de destruction de haies sont basées sur une cartographie générée de façon semi-automatique (photos aériennes), où de nombreuses erreurs sont présentes, ce qui peut faciliter la destruction de ces haies.

La séquence Éviter-Réduire-Compenser (ERC) impose à tout porteur de projet de démontrer qu’il a d’abord évité les atteintes à la biodiversité, puis réduit celles qui n’ont pas pu être évitées et, en dernier recours, compensé les impacts résiduels. Or, le projet de décret ne prévoit aucune prise en compte de l’ERC : le dispositif l’oriente directement vers la compensation.

De nombreuses espèces, dont des espèces protégées, sont abritées par une haie.

La destruction de cette dernière impacte directement certaines espèces, puisque leur habitat est détruit. Le projet de décret ne tient pas compte de ces effets.