Projet d’arrêté précisant les conditions d’exercice de la pêche de loisir réalisant des captures de thon rouge (Thunnus thynnus) dans le cadre du plan pluriannuel de gestion des stocks de thon rouge dans l’Atlantique Est et la Méditerranée pour l’année 2025

Bonjour,
Je suis contre ce projet et demande plus de quotas, un thon par bateau et par bague, de ne pas comptabiliser les thons morts en pêche no kill.

Cordialement
MR THIOLLET DENIS
2 rte des bois 79600 Saint Généroux

Le quota de 1 % est inadmissible. Comment est-il possible que la pêche industrielle puisse s’approprier 89% d’une ressource qui appartient à tous. Alors qu’il est clair que la qualité de la pêche de plaisance est bien plus respectueuse de la biodiversité que la pêche industrielle qui est très largement privilégiée dans cette attribution de quotas. Il serait également bien plus logique d’attribuer sur le principe d’1 bague = 1 poisson afin de contrôler de manière efficace le nombre de poissons prélevés et donc de contrôler l’impact réel sur la ressource.

Bonjour,
Je suis totalement contre ce projet d'arrêté du 19 février 2025 pour la pêche de loisir du thon pour la
saison 2025, pour ces raisons :
déjà je ne comprends pas le quota des 1%, donné aux plaisanciers cela me semble injuste par rapport aux professionnels. Il me semble que nous pratiquons une pêche responsable et raisonnée et que la vie de nos associations et de tous ce qui tourne autour de notre pêche loisir ou sportive devrait être mieux attendu et prise en considération.

Veuillez trouver ci-joint ma réponse sur la consultation publique : projet d'arrêté encadrant la pêche
de loisir du thon rouge pour 2025.
L arrêté, tel qu il est proposé est tout à fait inacceptable pour les raisons suivantes et je suis contre
sa publication :
Le quota de 1 % est inadmissible. Il décourage toute pratique sereine et tout développement de
cette pêche, alors que la ressource est abondante. Il ne permet en pratique que la prise d un thon
par bateau tous les 10 ans. Il empêche le développement d une pêche de plaisance, du
développement d un tourisme halieutique, bien plus respectueux de la ressource que les tonnes de
thon pêchés par les industriels de la Pêche du thon qui approprient 89 % du quota)

1/je pense que la consultation publique est une très bonne chose et aussi meilleure lorsqu’elle fait suite à une confrontation avec les associations concernées sources de propositions raisonnables et complémentaires . 2/ la part de 1% dévolue à la pêche de plaisance semble très en dessous des attentes des plaisanciers , 99% pour la pêche industrielle c est énorme . Et quand on voit comment elle est pratiquée avec plusieurs grosses unités enferment un banc entier de thons rouges dans ses filets étanche même dans la partie inférieure pour en faire une réserve cela me retourne , pas vous ? Cette pêche massive et autorisée ne laissant aucune chance à ces poissons , c est loin de l objectif fixé ici de bio-diversité et me laisse très songeur quant au nouveau projet de règlementation soumis …. pour 1% des captures . 3/L’ utilisation des bagues est une bonne chose mais la règlementation l’accompagnant tellement complexe et administrative me semble peu appropriée et me dérange fpour si peu d impactes face à la pêche industrielle du thon rouge…. dont j aimerai connaitre les règles …

Il est anormal , étant donné le poids économique de la pêche de loisir, que les plaisanciers soient limité à la pêche de 1% des quotas attribués au thon rouge.
Faut-il que la plaisance fasse comme les "gilets jaunes", et bloque l’accès des ports et brûle de vieux pneus, pour être entendue ?
Dans quelque temps ce sera la seule solution pour que nous soyons entendus par la "bureaucratie" qui décide à Paris dans le ministère sans avoir navigué un jour ni tenu une canne à pêche sur un bateau de plaisance.

Faites attention, la révolte gronde.

Un poisson (pourquoi pas deux ? ) par bateau et par an , ça n’est pourtant pas un objectif irréalisable. De toutes façon, les plaisanciers moyens n’en prendront pas autant.
Salutations.

P.S.
Je ne comprends pas non plus pourquoi les plaisanciers n’ont pas le droit de prendre un espadon (le poisson d’une vie de pêcheur) de temps en temps. Pour ce faire, nous sommes obligés d’aller à l’étranger y dépenser nos sous. (de la TVA qui ne rentre pas dans les caisses de l’État)

Bonjour, le quota de 1% est vraiment déséquilibré par rapport au nombre de plaisanciers qui aimerait pouvoir pecher du thon. Lorsque l’on connait l’origine de ce 1% qui veint du jour ou il a été décidé arbitrairement, et aurait pu etre 2 ou 10 par exemple. 10% du quota permettrait au moins de pouvoir pecher un thon une fois par an, ou une fois tous les deux ans par bateau. Aujourd’hui la ressource est revenu, un partage plus equitable serait quand même plus juste. Pour pouvoir pecher du thon aujourd’hui, nous en sommes reduit a aller pecher en exotique et depenser notre argent hors de France. Le bilan economique serait probablement plus favorable à la France, si nous restions chez nous, et depensions notre argent en France. Enfin, ce quota, il est clair a tendance à motiver de nonbreuses rises illegales et cela est bien domage car celles -ci ne sont pas comptabilisées. Bien cordialement Pascal Richard

Bonjour,

La pêche sportive est responsable et respectueuse de l’environnement pourquoi lui octroyer si peut?

Le quota de 1% est inadmissible !

La pêche par les plaisanciers est bien plus sélective, respectueuse de l’environnement et de la biodiversité, pourquoi pénalisé les pêcheurs amateurs?
Les quotas alloués ne sont pas juste et ne permettent que la prise d’un thon par bateau tous les 10 ans.
- Pourquoi les industrielles se permettent de s’approprié la casi totalité d’une ressource qui appartient à tous ?
C’est un abus de position dominante.

Le suivi des prises devrait se faire au nombre de thons pêchés et non pas au poids…
Mon message n’apportera sûrement peu d’attention.
Cordialement

Bonjour,

La pêche sportive est responsable et respectueuse de l’environnement pourquoi lui octroyer si peut?

- Le quota de 1% est inadmissible !

La pêche par les plaisanciers est bien plus sélective, respectueuse de l’environnement et de la biodiversité, pourquoi pénalisé les pêcheurs amateurs?
Les quotas alloués ne sont pas juste et ne permettent que la prise d’un thon par bateau tous les 10 ans.
- Pourquoi les industrielles se permettent de s’approprié la casi totalité d’une ressource qui appartient à tous ?
C’est un abus de position dominante.

Le suivi des prises devrait se faire au nombre de thons pêchés et non pas au poids…
Mon message n’apportera sûrement peu d’attention.
Cordialement

Je voudrais faire une remarque concernant le projet d’arrêté précisant les conditions d’exercice de la pêche de loisir réalisant des captures de thon rouge.

Tout d’abord, il faut remarquer qu’il est possible d’avoir une autorisation pour pêcher le thon en No-kill sans être affilié à une fédération. Comment contacter ces pêcheurs. Et à qui seront imputées les captures mortes (sur le quota des pêcheurs professionnels ?).

Ma remarque concerne la rédaction des articles 4.1 et 4.2. Ils sont confus et incohérents entre eux.

1) un thon pêché en No-kill et qui arrive mort au bateau doit être déclaré et laissé dans l’eau. Comment estimer le poids pour la déclaration ? Comment faire une déclaration quand on a une autorisation de pêcher le thon mais que l’on n’est pas affilié à une fédération ? Qui verra son quota imputé de la prise ? La confédération ? La pêche professionnelle ? Cette imprécision m’inquiète.

2) c’est la période des captures autorisées qui conditionne les captures et la poursuite du No-Kill à partir du 11 juillet 2025. Et il est très probable que la pêche avec capture soit fermée au plus tard le 10 octobre 2025 (80% ou 90% des quotas atteints), voire plus tôt. Alors pourquoi parler de fermeture du No-Kill au 15 novembre ?

Il aurait été préférable de commencer par un préambule, puis de décliner en 1) pêche avec captures et en 2) pêche en No-Kill, car l’objectif non-dit mais sous-jacent est de décompter tous les poissons, capturés ou morts et laissés dans l’eau.

Je ne reviendrai par sur l’attribution de 1% qui reste toujours inexpliquée.

Madame,Monsieur, par la présente, je tiens à exprimer mon opposition au projet d’arrêté fixant les conditions de la pêche du thon rouge, qui prévoit d’octroyer seulement 1% du quota à la pêche de loisir. Cette répartition est profondément déséquilibrée et ne prend en compte l’importance socio-économique de la pêche de loisir, ainsi que son impact limité sur les ressources halieutiques par rapport à la pêche professionnelle. La pêche récréative constitue un moteur essentiel pour l’économie littorale, notamment en matière de tourisme, de commerce local et d’emplois indirects. Une répartition plus équitable des quotas est indispensable afin de garantir une gestion durable et partagée de la ressource. A ce titre, je vous demande de bien vouloir réévaluer cette proposition et d’accorder une part plus significative aux pêcheurs de loisir, en cohérence avec les pratiques européennes et la durabilité de l’espèce. Dans l’attente d’un projet d’arrêté reconsidéré, je vous prie d’agréer Madame, Monsieur l’expression de mes salutations distinguées. Eric MONTESANO

Veuillez trouver ci-joint ma réponse sur la consultation publique : projet d’arrêté encadrant la pêche de loisir du thon rouge pour 2025. L’arrêté, tel qu’il est proposé est tout à fait inacceptable pour les raisons suivantes et je suis contre sa publication : Le quota de 1 % est inadmissible. Il décourage toute pratique sereine et tout développement de cette pêche, alors que la ressource est abondante. Il ne permet en pratique que la prise d’un thon par bateau tous les 10 ans. Il empêche le développement d’une pêche de plaisance, du développement d’un tourisme halieutique, bien plus respectueux de la ressource que les tonnes de thon pêchés par les industriels de la Pêche du thon qui s’approprient 89 % du quota). Cela pourrait même faire l’objet de procédures européennes pour "Atteinte au droit de la Concurrence" et "Abus de position dominante". Comment se fait-il qu’une branche industrielle de la pêche, peut s’approprier 89% d’une ressource qui appartient à tous. Il serait judicieux d’attribuer 10 % du quota pour la pêche de Loisir et "activités professionnelles de loisir", de façon à avoir "Une bague=1 poisson". Il serait bien plus judicieux d’allouer un nombre suffisant de bagues par exemple10 % du quota, sur le principe d’1 bague = 1 poisson afin de contrôler de manière efficace le nombre de poissons prélevés et donc de contrôler l’impact réel sur la ressource, et de moduler le nombre de bagues en fonction de l’évolution de l’état de la ressource. L’argument qui consiste à dire qu’en domaine de pêche, le suivi des prises se fait sur le poids et non sur le nombre d’individus capturés, ne tient pas s’agissant du thon rouge : Les pêcheurs professionnels sont capables de compter jusqu’à 100 ou 200 après un coup de senne, en complément de la pesée au débarquement.
- Il serait temps que les commentaires, dont certains je pense sont pertinents, et qu’on revoit tous les ans dans la consultation publique, soient pris en compte par les autorités, et non archivés quelque part dans les tiroirs d’un ministère.

Bonjour. Je suis contre le projet d’arrêté du 19/02/25, en effet : Le quota de 1% alloué aux pêcheurs plaisanciers est totalement anormal, au regard de la pêche professionnelle (nous pratiquons une pêche bien plus respectueuse). Il serait préférable et surtout beaucoup plus pratique d’appliquer la règle d’un poisson pêché et non plus du poids (ressources importants) et peut être d’attribuer une bague par bateau déclaré au sein des associations. Merci. Bien cordialement.

Veuillez trouver ci-joint ma réponse sur la consultation publique : projet d’arrêté encadrant la pêche de loisir du thon rouge pour 2025. L’arrêté, tel qu’il est proposé est tout à fait inacceptable pour les raisons suivantes et je suis contre sa publication : Le quota de 1 % est inadmissible. Il décourage toute pratique sereine et tout développement de cette pêche, alors que la ressource est abondante. Il ne permet en pratique que la prise d’un thon par bateau tous les 10 ans. Il empêche le développement d’une pêche de plaisance, du développement d’un tourisme halieutique, bien plus respectueux de la ressource que les tonnes de thon pêchés par les industriels de la Pêche du thon qui s’approprient 89 % du quota). Cela pourrait même faire l’objet de procédures européennes pour "Atteinte au droit de la Concurrence" et "Abus de position dominante". Comment se fait-il qu’une branche industrielle de la pêche, peut s’approprier 89% d’une ressource qui appartient à tous. Il serait judicieux d’attribuer 10 % du quota pour la pêche de Loisir et "activités professionnelles de loisir", de façon à avoir "Une bague=1 poisson". Il serait bien plus judicieux d’allouer un nombre suffisant de bagues par exemple10 % du quota, sur le principe d’1 bague = 1 poisson afin de contrôler de manière efficace le nombre de poissons prélevés et donc de contrôler l’impact réel sur la ressource, et de moduler le nombre de bagues en fonction de l’évolution de l’état de la ressource. L’argument qui consiste à dire qu’en domaine de pêche, le suivi des prises se fait sur le poids et non sur le nombre d’individus capturés, ne tient pas s’agissant du thon rouge : Les pêcheurs professionnels sont capables de compter jusqu’à 100 ou 200 après un coup de senne, en complément de la pesée au débarquement.
- Il serait temps que les commentaires, dont certains je pense sont pertinents, et qu’on revoit tous les ans dans la consultation publique, soient pris en compte par les autorités, et non archivés quelque part dans les tiroirs d’un ministère.

encore une grosse arnaque de l etat et des senneurs setois deja quand on a une bague c est pour 3 bateaux avec en moyennes 3 ou 4 pecheurs sur le bateau si vous avez de la chance de pouvoir baguer un poisson de 30kg divisé par le nombre de pecheur il vous reste 20kg de chair divisé par 12 participants 1.6kg de thon pour la saison .mais sachant que toute les equipes de 3 bateaux ne peuvent pas baguer un poisson cela correspond a 1 année sur 3 ou vous pouvez baguer un poisson c est deja du foutage de gueule. on pourrait prendre un poisson par jour sans changer ou sans perturber l eco systeme .un thonier qui fait un seul encerclage de thon prend en une seule fois toute la peche reative de tous les pecheurs de mediterranée.

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encore une grosse arnaque de l etat et des senneurs setois deja quand on a une bague c est pour 3 bateaux avec en moyennes 3 ou 4 pecheurs sur le bateau si vous avez de la chance de pouvoir baguer un poisson de 30kg divisé par le nombre de pecheur il vous reste 20kg de chair divisé par 12 participants 1.6kg de thon pour la saison .mais sachant que toute les equipes de 3 bateaux ne peuvent pas baguer un poisson cela correspond a 1 année sur 3 ou vous pouvez baguer un poisson c est deja du foutage de gueule. on pourrait prendre un poisson par jour sans changer ou sans perturber l eco systeme .un thonier qui fait un seul encerclage de thon prend en une seule fois toute la peche reative de tous les pecheurs de mediterranée.

bonjour je m oppose totalement contre se projet sur la pêche au thon car je rois que s est pas les particuliers qui font périr le stock de thon car 1 thon pour 3 bateaux s est inadmissible . Cordialement Mr favardin

Je vous écris pour vous dire que je m’oppose au projet d’arrêté encadrant la pêche de loisir du thon rouge pour l’année 2025. Effectivement, le quota de 1% proposé n’a pas de sens et est inacceptable puisque mathématiquement il ne permet pas d’avoir un nombre suffisant de bague pour permettre à chaque bateau enregistré de disposer d’une bague par an. Les populations de thon rouge se portent bien alors pourquoi ne pas proposer un quota de 4% qui permettrai à chaque bateau enregistré de pouvoir disposer d’une bague par an. L’équipage d’un bateau est constitué de 3 pêcheurs qui payent chacun leur cotisation annuelle et seulement un thon sera prélevé par cet équipage de 3 pécheurs. En d’autres termes, proposer un quota de 4 % permettra à un pêcheur d’avoir la possibilité de prélever un thon rouge tous les 3 ans. C’est peu mais c’est toujours plus acceptable de ce que vous proposez à savoir un quota de 1 % qui correspond à peu près à 1 thon prélevé pour 1 pécheur tous les 9 ans ! De plus, la pêche de loisir du thon rouge n’est pas "exterminatrice" comme peut l’être la pêche professionnelle qui peut prélever la totalité d’un banc de thon rouge en un seul coup de senne tournante ! Enfin, pour la pêche de loisir, la taille réglementaire du thon prélevé correspond à un thon adulte qui se sera reproduit une fois au moins avant d’être capturé. Cette taille n’est semble-t-il pris en compte pour les professionnels puisque le suivi des prises se fait sur le poids et non sur la taille ; aussi des thons "juvéniles" sont prélevés en masse avant même qu’ils aient pu assurer leur descendance. Cela est très important pour les ressources futures. Je comprends que les professionnels de la pêche au thon rouge fassent du lobbying pour monopoliser la quasi-totalité du quota annuel, mais je reste convaincu qu’en octroyant un pourcentage de prise plus important à la pêche de loisir (> 4 %), la filière professionnelle y sera également gagnante en permettant à un plus grand nombre de thons adultes d’assurer leur descendance avant d’être péchés. Merci pour me permettre de vous exposer mon point de vue, j’espère qu’il sera pris en compte.

Bonjour, Nous avons déjà vivement critiqué la répartition des quotas entre la pêche de loisirs et la pèche professionnelle, en espérant que vous prendrez en compte le poids économique de la pêche de plaisance lors des prochaines répartitions Il est inadmissible que d’un coté, vous fassiez un report de quota d’une année sur l’autre si le quota est dépassée sans prendre en compte un report de quota d’une année sur l’autre lorsque le quota n’est pas atteint. Ce point devrait figurer dans ce projet d’arrêté La fermeture au 10 octobre de la période de Kill me semble très tôt dans le calendrier. Une fermeture au 17 octobre me semble plus appropriée