Projet d’arrêté fixant les prescriptions techniques générales applicables aux plans d’eau, y compris en ce qui concerne les modalités de vidange, soumis à autorisation ou à déclaration en application des articles L. 214-1 à L. 214-3 du code de l’environnement et relevant de la rubrique 3.2.3.0 de la nomenclature annexée à l’article R. 214-1 du code de l’environnement
Commentaires
L’arrêté traite de la gestion de l’élément essentiel à l’humain. L’évolution de son exploitation est un enjeu majeur. Nous aurions pu espérer avoir, un texte plus compréhensible, plus accessible aux gens qui, dans certaine zones s’en occupent de générations en générations, avec les impératifs de la société , de la nature, qui doivent s’accommoder de tous leurs excès actuels, qui tentent de la conserver et en bon état.
Les mesures proposées, ici, sont difficilement lisibles, compréhensibles, dans ce qu’elles vont nous offrir comme amélioration et évolution. En deux mots, quatre jours pour réagir à un texte ardu sont très courts, pour ceux, qui sur le terrain essaient de garder le cap ; alors, prenons un peu plus de temps et de collaboration, non?.
La réglementation doit rester souple afin de ne pas conduire à des assèchements de réserves ponctuelles créées par l’homme.
Je suis contre ce projet qui va être très contraignant pour maintenir les niveaux d’eau acceptable dans les différentes mares et ainsi provoquer leur assèchement. Ce qui se traduira par la disparition de nombreuses espèces vivantes
Projet aberrant qui ne corrige en rien le bilan catastrophique des lois de 1992 et de 2006 avec, en plus, de nouvelles difficultés en vue pour les propriétaires d’étangs et les pisciculteurs.
Comme toujours, ce projet ne s’appuie pas sur des études scientifiques crédibles mais sur les affirmations gratuites habituelles et sur les contre-vérités véhiculées depuis longtemps par des pseudo-écologistes.
Il existe pourtant des travaux très sérieux sur le sujet, par exemple à l’Université d’ORLEANS (Voir la thèse remarquable de Mohammad ALDOMANY), qui mettent à mal les bases prétendues scientifiques des lois actuelles.
Un colloque Etangs et lacs « 2020 » aura lieu sur le site de cette université les 18 et 19 mai 2020.
Je tiens à signaler, que bien qu’universitaire HDR (habilitation à diriger des recherches), je n’ai aucun lien avec l’Université d’ORLEANS.
La notion à géométrie variable de « zones humides » est toujours d’actualité et va renforcer le pouvoir d’appréciation de l’administration.
La création de retenues collinaires va devenir impossible. Il est pourtant urgent d’en créer pour diminuer les prélèvements d’eau dans les rivières et les nappes phréatiques.
Comme cela a été fait dans plusieurs pays européens, il est également nécessaire de compenser la disparition des mares et de certains étangs par la création de nouveaux plans d’eau.
Propriétaire d’un étang dans le bocage Bourbonnais, j’ai pu constater durant l’été dernier le rôle bénéfique des plans d’eau où pouvaient se réfugier les animaux chassés des cours d’eau et des mares à sec, et cela est valable pour les autres régions.
Je suis contre ce projet qui va être très contraignant pour maintenir les niveaux d’eau acceptable dans les différentes mares et ainsi provoquer leur assèchement. Ce qui se traduira par la disparition de nombreuses espèces vivantes.
Je suis contre ce projet qui va être très contraignant pour maintenir les niveaux d’eau acceptable dans les différentes mares et ainsi provoquer leur assèchement. Ce qui se traduira par la disparition de nombreuses espèces vivantes.
Votre projet est en totale contradiction avec le plan pour le climat et va engendrer une catastrophe écologique de grande ampleur. La perte de biodiversité sera énorme et va décourager les derniers gestionnaires de zones humides à ne plus entretenir ces écosystèmes fragile. De plus, les gestionnaires vont être considérés comme des délinquants. Nous maintenons les niveaux par un apport d’eau sans conséquence sur la ressource en eau et de plus nous ne faisons que reprendre de l’eau qui partait à la mer. Cela lui permet de d’infiltrer en ayant été purifié vers les nappes phréatiques. En agissant ainsi vous allez favoriser la prédation des batraciens, des poissons, je pense à l’anguille qui fait l’objet de toutes les attentions. Les zones humides sont sous tension par la gestion partisane et une politique agressive de destructions. Votre motivation repose uniquement sur la préservation de l’usage économique de l’eau. Vous allez nous priver, nous les ruraux de l’usage de l’eau, bien commun à la nation pour financiariser son accés. C’est contraire aux droits fondamentaux et des accords internationaux sur l’accés à l’eau. L’eau dont on semble découvrir l’importance, va devenir une marchandise alors que notre droit à l’eau, à l’air ne peux pas être monétisé ! Demain, devront nous payer pour respirer et consommer l’air tout aussi vital…Il s’agit d’une violation du code civil qui indique que chaque propriétaire d’un cours d’eau non domanial est propriétaire de l’eau et qu’il peut en faire usage. De plus, vous allez organiser une catastrophe sanitaire jamais égalée avec l’apparition à grande échelle du botulisme qui tue sans ménagement nos oiseaux et à grande échelle. Je vous demande donc d’abandonner ce projet liberticide et destructeur de biodiversité. Je reste à votre disposition. Passionnément biodiversité
Je m’oppose à ce projet d’arreté.
Etant exploitante piscicultrice professionnelle sur des étangs et je suis franchement désolée que nous, garant de la bonne gestion des étangs, n’ayons jamais été consultés sur une tel projet.
Comme expliqué par plusieurs autre personnes et représentants de notre profession, ce projet ne prends nullement en compte les particularités de la pisciculture d’étangs et de ses modes de gestion par les pisciculteurs professionnels. Des avis des experts en environnement, les étangs sont nécessaires au maintien de la biodiversité.
Ce projet menacerait sévèrement la pérennité de notre métier.
Je m’oppose à ce projet d’arreté.
Etant exploitante piscicultrice professionnelle sur des étangs et je suis franchement désolée que nous, garant de la bonne gestion des étangs, n’ayons jamais été consultés sur une tel projet.
Comme expliqué par plusieurs autre personnes et représentants de notre profession, ce projet ne prends nullement en compte les particularités de la pisciculture d’étangs et de ses modes de gestion par les pisciculteurs professionnels.
Ce texte va à l’encontre des pratiques ancestrales de piscicultures d’étangs qui ont permis depuis des siècles de maintenir ,d’entretenir, de gérer les étangs piscicoles dont chacun reconnait les atouts en terme de production piscicole de qualité locale ,de proximité, de biodiversité de gestion de l’eau, de patrimoines et paysages, de loisir de pêche et de tourisme.
Ce projet menacerait sévèrement la pérennité de notre métier.
Je suis complètement opposé a ce projet qui une fois de plus pénalisera l’exploitation des marais, chasse, agriculture, biodiversité. Projet utopique certainement pas avec les gens du terrain, fait par des bureaucrates
Contre se projet de loie
Complètement contre se projet
Bonjour, ce projet sera inefficace, il va à l opposé de ce que vous souhaitez obtenir en terme de résultats et va être extrêmement coûteux.
Je pense qu une consultation plus vaste notamment auprès d autres départements français qui ont eu les mêmes problématiques serait plus judicieuse.
Cordialement
Non a ce projet qui sert à rien qu’,ils occupe des vrais problème qui en France chômage délinquance
Comme d’habitude nous sommes pris pour des enfants incapable de gérer nos installations
Je suis contre le projet d’arrêté fixant les prescriptions techniques générales applicables aux plans d’eau, y compris en ce qui concerne les modalités de vidange, soumis à autorisation ou à déclaration en application des articles L. 214-1 à L. 214-3 du code de l’environnement et relevant de la rubrique 3.2.3.0 de la nomenclature annexée à l’article R. 214-1 du code de l’environnement.
Je suis contre se projet. Je donne un avis défavorable
Il est inadmissible qu’un tel projet se mette en place sans la consultation au préalable des acteurs concernés par le sujet.
Nous demandons la suspension de la procédure en cours pour arriver à l’instauration d’une cellule de concertation de l’ensermble des acteurs concernés par ce projet.
Les plans d’eau existant seront soumis à des règles de vidange selon un calendrier auxquelles le préfet ne pourra déroger qu’ en cas de difficultés sérieuses d’ordre technique ou lorsque ces dispositions spécifiques sont manifestement disproportionnées, au regard de la sensibilité et des enjeux de la préservation du milieu. Il peut notamment prolonger les échéances fixées, d’un délai strictement justifié par la nécessité de résolution de ces difficultés ou leur financement. » (article 1).
Dans le cas des plans d’eau alimentés par prélèvement en cours d’eau et nappe d’accompagnement, le remplissage sera interdit du 15 juin au 30 septembre, ce qui ruinera par avance les velléités des chasseurs de gibier d’eau qui souhaiteraient compléter le niveau de leurs mares à quelques jours de l’ouverture ( article 8).
L’article 11 impose de prendre toutes les dispositions respectueuses de l’environnement pour éradiquer les plantes exotiques envahissantes et en réduire l’expansion. Il impose la vidange du plan d’eau en cas d’invasion incontrôlée. Cette disposition est applicable sans délai aux plans d’eau existants.
Obligation pour tous les plans d’eau de pouvoir être vidangés avec un dispositif permettant de contrôler le débit, la surverse des eaux de fond et le départ des sédiments. Cette disposition est applicable dans les 3 ans pour les plans d’eau existants.
Obligation d’entretien des abords et de la digue avec information préalable de l’autorité de police des opérations d’entretien significatives.
Obligation de pose de repères de niveau d’eau et de prélèvement, d’une échelle limnimétrique accessible. Cette disposition est applicable aux plans d’eau existants dans les 5 ans.
Obligation de tenir un carnet de suivi des interventions et manœuvre des ouvrages
avis défavorable pour se projet