Chasses traditionnelles et détermination des quotas de prélèvements pour la campagne 2018-2019 dans le département des Ardennes

Consultation du 24/07/2018 au 14/08/2018 - 11041 contributions

Sur la base de l’article L. 424-4 du code de l’environnement, reprenant les dispositions de l’article 9 de la directive "oiseaux", qui prévoit que, pour permettre, dans des conditions strictement contrôlées et de manière sélective, la chasse de certains oiseaux de passage en petites quantités, deux arrêtés ministériels du 17 août 1989 fixent les conditions particulières d’exercice de ces chasses dans les Ardennes.

L’objet des présents arrêtés soumis à la consultation du public est de définir les quotas de prélèvement autorisés pour chaque saison.

Dès réception de ces arrêtés ministériels et avant la date d’ouverture de ces chasses traditionnelles, le préfet délivre les arrêtés d’autorisation individuelles.

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Commentaires

  •  Non aux chasses traditionnelles, le 26 juillet 2018 à 21h09

    À l’heure où nombre d’espèces d’oiseaux sont en déclin, acteurs majeurs de notre équilibre environnemental, il est totalement inconscient de laisser une poignée d’individus que seuls l’appétit et le goût de faire souffrir animent, détruire ce qu’une grande partie de la population française s’échine à tenter de préserver.
    Les mesures gouvernementales étant nulles en matière d’écologie, il revient aux régions de prendre leurs responsabilités, d’être elles aussi des actrices majeures de la sauvegarde des écosystèmes, faute de quoi il n’y aura bientôt plus ni électeurs ni qui que ce soit à élire : à bons entendeurs !
    Cordialement.

  •  Les pieges, le 26 juillet 2018 à 21h09

    Qui peut être certain que c’est l’oiseau convoité qui va être piège. La chasse c’est dans la préhistoire quand il fallait bien se nourrir, c’est valable aussi pour les tribus qui connaissent bien les prélèvements qu’ils doivent faire pour ne pas menacer l’équilibre de la nature. Nous nous allons faire nos courses nous n’avons plus besoin d’aller à la chasse. Inutile d’en rejouer à ceux qui la font sans en avoir le droit à moins qu’il n’est pas de quoi manger

  •  NON, le 26 juillet 2018 à 21h08

    Non à toutes les chasses traditionnelles (ou non traditionnelles)

  •  Je suis contre ces pratiques, le 26 juillet 2018 à 21h07

    La tenderie aux vanneaux
    En France, pays qui abrite environ 70% des hivernants d’Europe, la tendance des populations nicheuses (-33% sur 1989-2015) et hivernantes (-48% sur 2000-2017) est alarmante. 2 050 oiseaux de ces espèces pourront être prélevés à l’aide du piégeage au filet (tenderie aux vanneaux)pour la saison 2018-2019 selon l’arrêté projeté.

    La tenderie au brancher
    Rien ne garantit que d’autres espèces non ciblées ne se retrouvent pas également prises au piège et la nature même du piège empêche tout relâcher d’une espèce non ciblée et potentiellement protégée, puisque la technique consiste à étrangler l’oiseau. La tenderie au brancher est donc non sélective. En cela elle est contraire au droit européen et l’Etat le sait parfaitement puisque l’arrêté ministériel du 17 août 1989 encadrant ce mode de chasse prévoit que « Tout gibier autre que les grives et merles pris accidentellement dans une tenderie est déclaré dans les vingt-quatre heures » – et non pas « relâché » – à l’ONF ou à la fédération des chasseurs ». L’année dernière, les chasseurs prétendent avoir capturé 5 711 oiseaux. Pourquoi donc autoriser le piégeage de 20 000 grives ou merles noirs pour la saison 2018-2019 ainsi que le prévoit l’arrêté en consultation ?

  •  Piégeage non sélectif, le 26 juillet 2018 à 21h07

    Les traditions n’ont de valeur que si elles n’ont pas d’impact néfaste. Ici il y a un impact néfaste. Des espèces non ciblées peuvent être piégées blessées ou tuées par ce type de techniques.

  •  Il est peut-être temps d’arrêter, non ?, le 26 juillet 2018 à 21h07

    Une pression supplémentaire, inutile et non sélective, sur des populations d’oiseaux dont on nous dit qu’elles se portent mal. Qu’on leur foute la paix !

  •  stop, le 26 juillet 2018 à 21h06

    Quand la terre sera vide de toute vie, vos ferez quoi ? Laissez vivre la faune pour que le cycle de la vie existe

  •  Martyre d’oiseaux, le 26 juillet 2018 à 21h05

    Bonsoir, il y a peu les médias dénonçaient qu’un tiers des oiseaux avaient disparu.. comment comprendre alors cette chasse aussi cruelle qu’inutile? Abolir ce genre de pratique relèverait de la dignité humaine

  •  Stoppez cette barbarie , le 26 juillet 2018 à 21h05

    Non à ces chasses barbares et non sélectives.
    Il est intolérable pour un pays comme le notre d’accepter la souffrance animale !

  •  Non au piegeage, le 26 juillet 2018 à 21h04

    Je m oppose à la chasse contrôlée et au piégeage des oiseaux

  •  Stop aux massacres en tous genre !!!, le 26 juillet 2018 à 21h04

    Les constats sont ALARMANTS…Les oiseaux disparaissent ! La biodiversité se meurt non pas à petits feux, mais à vitesse grand V, et on en est toujours à devoir se battre pour qu’on arrête ce genre de pratiques innommables ! Ceux qui commentent ou cautionnent ces actes rétrogrades sont des pervers, car tuer sans aucune utilité juste pour s’amuser, c’est bien de la perversité ! Vous l’aimez votre beau pays ? Alors protégez-le !

  •  Non aux chasses traditionnelles des oiseaux "communs" et oiseaux des champs , le 26 juillet 2018 à 21h04

    Je suis complètement opposé au maintien des chasses traditionnelles des oiseaux. On sait aujourd’hui que les populations d’oiseaux (notamment d’oiseaux des champs et d’oiseau "communs" sont en chute libre. Je trouve cela inadmissible de participer et cautionner ce massacre sous prétexte de maintenir les traditions.

  •  Pratiques ancestrales a supprimer , le 26 juillet 2018 à 21h04

    La population des oiseaux est en chute libre , il est temps que le gouvernement arrete toutes ses pratiques ancestrales qui vont contribuer au declin des population d’oiseaux .

  •  STOP aux Chasses traditionnelles et détermination des quotas de prélèvements pour la campagne 2018-2019 dans le département des Ardennes, le 26 juillet 2018 à 21h02

    En France, pays qui abrite environ 70% des hivernants d’Europe, la tendance des populations nicheuses (-33% sur 1989-2015) et hivernantes (-48% sur 2000-2017) est alarmante. 2 050 oiseaux de ces espèces pourront être prélevés à l’aide du piégeage au filet (tenderie aux vanneaux)pour la saison 2018-2019 selon l’arrêté projeté.
    La tenderie au brancher

    Rien ne garantit que d’autres espèces non ciblées ne se retrouvent pas également prises au piège et la nature même du piège empêche tout relâcher d’une espèce non ciblée et potentiellement protégée, puisque la technique consiste à étrangler l’oiseau. La tenderie au brancher est donc non sélective. En cela elle est contraire au droit européen et l’Etat le sait parfaitement puisque l’arrêté ministériel du 17 août 1989 encadrant ce mode de chasse prévoit que « Tout gibier autre que les grives et merles pris accidentellement dans une tenderie est déclaré dans les vingt-quatre heures » – et non pas « relâché » – à l’ONF ou à la fédération des chasseurs ». L’année dernière, les chasseurs prétendent avoir capturé 5 711 oiseaux. Pourquoi donc autoriser le piégeage de 20 000 grives ou merles noirs pour la saison 2018-2019 ainsi que le prévoit l’arrêté en consultation ? C’est une honte d’autoriser cette barbarie.

  •  Contre !, le 26 juillet 2018 à 21h02

    Il n’y a aucune justification de ces pratiques traditionnelles qui ne sont ni à l’encontre d’espèces nuisibles ni sélectives.
    ces pratiques doivent être arrêtées.

  •  La tradition n’est pas toujours à perpétrer… Parfois il faut savoir évoluer !, le 26 juillet 2018 à 21h01

    Ces chasses sont dites « traditionnelles » car elles dérogent aux directives européennes. Elles datent d’une période où les populations rurales avaient besoin de se nourrir de protéines animales à bon compte. Ce n’est plus justifié aujourd’hui. D’autant que le piégeage est difficilement contrôlable, et les pratiques cruelles :

    Difficilement contrôlable : lorsque la police de la nature arrive sur place, si jamais elle arrive, il est souvent trop tard. Et quand bien même, lorsqu’un pinson ou un chardonneret est pris et que le garde arrive, le piégeur a beau jeu de dire qu’il allait le relâcher.
    Cruel : lors des opérations de contrôle qu’elles conduisent elles-mêmes, les associations ont souvent trouvé des oiseaux blessés voire même morts dans les pièges. Au stress s’ajoutent les heurts physiques du grillage, la souffrance des oiseaux collés par les pattes, par les plumes des ailes, par la queue ou par le corps, et lorsqu’ils sont décollés, aux stress des manipulations, à la violence des collets…

  •  Non à votre projet cruel pièges pour oiseaux, le 26 juillet 2018 à 21h00

    Bonjour la tradition n excuse pas la cruauté et des pratiques anti écologiques. En tant que Ministre de L écologie Mr Hulot Vous devriez plutôt soutenir la diversité en pleine régression en interdisant des pratiques d un autre âge.
    Je dis NON au retour à l automne des pièges pour oiseaux.

  •  Stop à la destruction de la biodiversité, le 26 juillet 2018 à 21h00

    Ces techniques sont celles, destructrices et difficilement contrôlables. Je suis estomaqué de constater que le "ministère de la transition écologique et solidaire" ait besoin d’une consultation pour interdire ces pratiques barbares d’un autre temps.

  •  biodiversité.., le 26 juillet 2018 à 20h58

    A l’heure où l’on se rend compte de l’effondrement des populations d’oiseaux, de mammifères ou d’insectes,ces pratiques doivent cesser immédiatement…

  •  Contre le piégeage !, le 26 juillet 2018 à 20h57

    Bonjour
    je suis absolument contre le piégeage car il n’est pas sélectif et décime malheureusement de nombreux animaux et nuie totalement à la biodiversité si chère à notre siècle
    merci de tenir compte de mon avis

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