Projet d’arrêté portant désignation du site Natura 2000 embouchure du Stabiaccu, domaine public maritime et îlot Ziglione (zone spéciale de conservation)

Consultation du 08/12/2015 au 29/12/2015 - 1 contribution

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Commentaires

  •  Consultation publique FR9400586 « embouchure du Stabiacciu, domaine public maritime et îlot de Ziglione », le 22 décembre 2015 à 19h58

    Annexe :
    1 - Liste des habitats naturels justifiant la désignation du site et figurant en annexe de l’arrêté du 16 novembre 2001 modifié
    Rajouter le numéro de l’annexe : Annexe I
    2 - Liste des espèces de faune et flore sauvages justifiant la désignation du site et figurant en annexe de l’arrêté du 16 novembre 2001 modifié
    Rajouter le numéro de l’annexe : Annexe II
    Commentaire : Dans la cadre de l’élaboration du DOCOB, des inventaires naturalistes devront être réalisés afin de compléter ces listings.
    Notice :
    III Objectif du présent arrêté :
    En complément des enjeux du site, exposés dans la Notice du présent arrêté, il faut rappeler aussi sa vulnérabilité (formulaire standard de données INPN – MNHN) :
    Le site a déjà souffert par le passé de modifications non négligeables : création des marais salants il y a deux siècles et tout récemment aménagements portuaires. Ainsi, dans le carde de sa préservation, toutes infrastructures et aménagements divers (touristiques, portuaires) sur ou en périphérie du site devront être interdits.
    Actuellement se pose le problème de la qualité de l’eau du Stabiaccu qui réceptionne les eaux polluées de l’amont et qui peut dégrader le milieu à terme.
    Par contre la pratique de l’élevage semi extensif des bovins et l’exploitation du sel (Marais salants) constituent un atout de diversité, de qualité du milieu et plaident pour la conservation de la zone.
    De même la pêche professionnelle et amateur dépend en grande partie de la préservation du delta et de la zone marine contiguë.
    Dans le cadre de l’élaboration du Document d’Objectifs Natura 2000, les actions de conservation devront intégrer la vulnérabilité du site vis-à-vis des perturbations anthropiques (travaux d’infrastructures, aménagements touristiques, assèchement, pollution) et la nécessité de maintenir les activités traditionnelles (pastoralisme, exploitation du sel).